Le troisième stage d'initiation aux arts traditionnels polynésiens s'est ouvert dans la bonne humeur et avec une multiplicité de sourires ce lundi à 13h, au conservatoire, dans la salle de danse de Vanina Ehu et de mamie Louise Kimitete : cette grande dame de la danse a accueilli les stagiaires l'une après l'autre en leur remettant une petite fleur de miri.
Souhaitant à son tour la bienvenue à la quinzaine de danseuses inscrites pour cette nouvelle session - 13 japonaises et deux américaines - le directeur de l'établissement, Fabien Dinard, n'a pas manqué de rappeler l'importance de la promotion et de la valorisation de nos arts, au moment où le 'ori tahiti est en pleine croissance, qu'il soit question du Japon, du Mexique ou bien encore des États-unis. Saluant les partenaires - dont les agences de voyage de la place, M. Chisaka et Yoko - ainsi que les enseignants et les musiciens de l'orchestre, mais également les écoles de danse privées, qui concourent à la promotion de la discipline, Fabien Dinard a présenté un programme exigeant, que les stagiaires devront maîtriser l'espace d'une semaine. Sont ainsi inscrites au programme quotidien du
matin, dés huit heures, deux heures de danse, une heure de percussions et une heure de Ukulele soit 20h pleines en cinq jours, avant un final très attendu : le traditionnel passage du vendredi 14h, devant un jury composé de grands noms de la danse.
D'ici là, les danseuses auront entre autre appris... à tresser leurs couronnes ! Et dire qu'après quelques minutes à peine, les corps étaient déjà en sueur !
Souhaitant à son tour la bienvenue à la quinzaine de danseuses inscrites pour cette nouvelle session - 13 japonaises et deux américaines - le directeur de l'établissement, Fabien Dinard, n'a pas manqué de rappeler l'importance de la promotion et de la valorisation de nos arts, au moment où le 'ori tahiti est en pleine croissance, qu'il soit question du Japon, du Mexique ou bien encore des États-unis. Saluant les partenaires - dont les agences de voyage de la place, M. Chisaka et Yoko - ainsi que les enseignants et les musiciens de l'orchestre, mais également les écoles de danse privées, qui concourent à la promotion de la discipline, Fabien Dinard a présenté un programme exigeant, que les stagiaires devront maîtriser l'espace d'une semaine. Sont ainsi inscrites au programme quotidien du
matin, dés huit heures, deux heures de danse, une heure de percussions et une heure de Ukulele soit 20h pleines en cinq jours, avant un final très attendu : le traditionnel passage du vendredi 14h, devant un jury composé de grands noms de la danse.
D'ici là, les danseuses auront entre autre appris... à tresser leurs couronnes ! Et dire qu'après quelques minutes à peine, les corps étaient déjà en sueur !