New Delhi, Inde | AFP | mardi 23/08/2016 - Un policier indien, qui a dû être opéré après avoir ingurgité quarante couteaux en deux mois, a affirmé mardi à l'AFP que des "pouvoirs spirituels" l'avaient poussé à cet acte insensé.
Il a fallu cinq heures aux médecins dans la ville d'Amritsar (nord, dans l'Etat du Pundjab) pour retirer les couteaux de l'estomac du policier, âgé de 42 ans.
"Je ne sais pas pourquoi je l'ai fait, des pouvoirs spirituels m'ont poussé", a déclaré le policier, père de deux enfants, à l'AFP.
"Cela a commencé en juin, quand j'ai avalé le premier couteau, et j'ai apprécié la sensation. C'est vite devenu une habitude", a ajouté l'homme qui a refusé d'être identifié.
Le policier s'était plaint aux médecins de douleurs abdominales sévères.
Les médecins ont d'abord cru qu'il avait une tumeur, les radiographies montrant une large masse solide, mais ont découvert après un examen approfondi des dizaines de couteaux pliants aux manches de métal et de bois, mesurant jusqu'à 18 cm.
"Nous l'avons immédiatement emmené au bloc opératoire et avons retiré les couteaux" vendredi, a déclaré l'un des chirurgiens, Rajinder Rajan, à l'AFP.
Selon lui, l'homme souffrirait de dépression et devrait passer un bilan psychologique avant de quitter l'hôpital.
Les médecins n'écartent pas que le policier souffre du pica, trouble du comportement alimentaire poussant la personne à l'ingestion de substances non comestibles.
Mais l'homme a affirmé qu'il ne le referait plus.
"J'ai avalé un couteau par jour pendant environ deux mois. Je n'ai jamais pensé que cela me ferait du mal, mais quand j'ai souffert je suis allé à l'hôpital", a-t-il dit.
"Je ne le repèterai plus, je suis content qu'ils m'aient sauvé la vie et je veux retrouver ma famille", a-t-il ajouté.
Il a fallu cinq heures aux médecins dans la ville d'Amritsar (nord, dans l'Etat du Pundjab) pour retirer les couteaux de l'estomac du policier, âgé de 42 ans.
"Je ne sais pas pourquoi je l'ai fait, des pouvoirs spirituels m'ont poussé", a déclaré le policier, père de deux enfants, à l'AFP.
"Cela a commencé en juin, quand j'ai avalé le premier couteau, et j'ai apprécié la sensation. C'est vite devenu une habitude", a ajouté l'homme qui a refusé d'être identifié.
Le policier s'était plaint aux médecins de douleurs abdominales sévères.
Les médecins ont d'abord cru qu'il avait une tumeur, les radiographies montrant une large masse solide, mais ont découvert après un examen approfondi des dizaines de couteaux pliants aux manches de métal et de bois, mesurant jusqu'à 18 cm.
"Nous l'avons immédiatement emmené au bloc opératoire et avons retiré les couteaux" vendredi, a déclaré l'un des chirurgiens, Rajinder Rajan, à l'AFP.
Selon lui, l'homme souffrirait de dépression et devrait passer un bilan psychologique avant de quitter l'hôpital.
Les médecins n'écartent pas que le policier souffre du pica, trouble du comportement alimentaire poussant la personne à l'ingestion de substances non comestibles.
Mais l'homme a affirmé qu'il ne le referait plus.
"J'ai avalé un couteau par jour pendant environ deux mois. Je n'ai jamais pensé que cela me ferait du mal, mais quand j'ai souffert je suis allé à l'hôpital", a-t-il dit.
"Je ne le repèterai plus, je suis content qu'ils m'aient sauvé la vie et je veux retrouver ma famille", a-t-il ajouté.