Fin janvier, cet homme qui venait d'acheter un pavillon à Mérignac (Gironde) faisait des travaux lorsqu'il a buté sur un sac contenant une somme de 165.000 euros en coupures de 50, 100 et 500 euros, a indiqué le quotidien Sud Ouest qui a révélé l'affaire.
Le parquet de Bordeaux a cependant affirmé que le montant du magot n'est pas encore précisément connu à ce jour. Des expertises sont actuellement menées pour le déterminer car les billets qui étaient contenus dans un sac plastique sont assez anciens, a indiqué à l'AFP la secrétaire générale du parquet de Bordeaux, Agnès Aubouin.
"Une somme de 3.000 euros environ a été décomptée" à ce jour, selon Mme Aubouin.
C'est en essayant de régler des achats avec l'un des billets, dégradés par leur séjours dans le sol, que ce nouveau riche a été démasqué.
La caissière d'un hypermarché du centre de Bordeaux a pensé être en présence de billets contrefaits et a fait appel aux services de sécurité du magasin qui ont immédiatement interpellé l'homme et appelé la police.
Passant du rêve au cauchemar, l'homme a révélé aux policiers les conditions de la découverte de l'argent enterré dans son jardin. Les fonctionnaires ont fait le lien avec un meurtre non élucidé à la même adresse, en septembre 2006 et dont ce pactole aurait pu être le mobile.
Cette information a réorienté le travail de la division des affaires criminelles de police judiciaire (PJ) de Bordeaux dans l'enquête judiciaire ouverte à l'époque.
Quant au jardinier, il pourrait remettre la main sur ce pactole si l'enquête ne permet pas de retrouver le propriétaire des billets. "Cet argent est aujourd'hui sous scellé et c'est le magistrat instructeur qui déterminera son sort", a précisé à ce sujet le parquet de Bordeaux.
Le parquet de Bordeaux a cependant affirmé que le montant du magot n'est pas encore précisément connu à ce jour. Des expertises sont actuellement menées pour le déterminer car les billets qui étaient contenus dans un sac plastique sont assez anciens, a indiqué à l'AFP la secrétaire générale du parquet de Bordeaux, Agnès Aubouin.
"Une somme de 3.000 euros environ a été décomptée" à ce jour, selon Mme Aubouin.
C'est en essayant de régler des achats avec l'un des billets, dégradés par leur séjours dans le sol, que ce nouveau riche a été démasqué.
La caissière d'un hypermarché du centre de Bordeaux a pensé être en présence de billets contrefaits et a fait appel aux services de sécurité du magasin qui ont immédiatement interpellé l'homme et appelé la police.
Passant du rêve au cauchemar, l'homme a révélé aux policiers les conditions de la découverte de l'argent enterré dans son jardin. Les fonctionnaires ont fait le lien avec un meurtre non élucidé à la même adresse, en septembre 2006 et dont ce pactole aurait pu être le mobile.
Cette information a réorienté le travail de la division des affaires criminelles de police judiciaire (PJ) de Bordeaux dans l'enquête judiciaire ouverte à l'époque.
Quant au jardinier, il pourrait remettre la main sur ce pactole si l'enquête ne permet pas de retrouver le propriétaire des billets. "Cet argent est aujourd'hui sous scellé et c'est le magistrat instructeur qui déterminera son sort", a précisé à ce sujet le parquet de Bordeaux.