Le ministre des ressources marines en charge des technologies vertes, Temauri Foster, a rencontré mardi M. François Dupont, directeur du développement de la société EDT, et Mme Terainui Hamblin-Ellacott, chargée des relations institutionnelles. Les représentants du groupe EDT ont présenté au ministre le projet d’exploitation d’une centrale d’hydroélectricité dans la vallée de la Papeiha à Faaone.
Ce site a été retenu car il se caractérise par une pluviométrie importante. C'est aussi la 3ème plus grande vallée de l’ile de Tahiti, avec une capacité potentielle de production électrique de 40 millions de Kwh/an.
Mais ce site riche d’une faune et d’une flore endémiques protégées, est culturellement imprégné d’histoire dont certains lieux en gardent les traces. EDT assure que le projet d’étude de cette station hydroélectrique a obligatoirement pris en compte l’impact environnemental.
Le directeur du développement d’EDT a continué par la présentation synthétique des infrastructures, en mettant l’accent sur le système de barrage dit, de « prise d’eau au fil de l’eau » dont l’impact sur l’environnement demeure infime.
Le problème récurrent de ce type d’installations, c'est l’accumulation de déchets verts dans les bassins, forçant ainsi à l’épuration de ces derniers et nécessitant un entreposage pour les déchets organiques.
EDT affirme avoir anticipé la problématique en disposant de façon stratégique chaque bassin de sorte à ne pas impacter les affluents principaux, et soutient par la même occasion que cette accumulation de déchets verts peut être réutilisée à des fins agricoles.
La société EDT s’engage à travers 32 mesures à réduire l’impact environnemental d’un tel projet, et a parfaitement associé les riverains de la vallée de la Papeiha aux réflexions et discussions relative au projet. A noter que ce projet contribuera également à la création d’emplois, en plus de garantir une plus grande indépendance énergétique pour cette partie de l’île de Tahiti.
Ce site a été retenu car il se caractérise par une pluviométrie importante. C'est aussi la 3ème plus grande vallée de l’ile de Tahiti, avec une capacité potentielle de production électrique de 40 millions de Kwh/an.
Mais ce site riche d’une faune et d’une flore endémiques protégées, est culturellement imprégné d’histoire dont certains lieux en gardent les traces. EDT assure que le projet d’étude de cette station hydroélectrique a obligatoirement pris en compte l’impact environnemental.
Le directeur du développement d’EDT a continué par la présentation synthétique des infrastructures, en mettant l’accent sur le système de barrage dit, de « prise d’eau au fil de l’eau » dont l’impact sur l’environnement demeure infime.
Le problème récurrent de ce type d’installations, c'est l’accumulation de déchets verts dans les bassins, forçant ainsi à l’épuration de ces derniers et nécessitant un entreposage pour les déchets organiques.
EDT affirme avoir anticipé la problématique en disposant de façon stratégique chaque bassin de sorte à ne pas impacter les affluents principaux, et soutient par la même occasion que cette accumulation de déchets verts peut être réutilisée à des fins agricoles.
La société EDT s’engage à travers 32 mesures à réduire l’impact environnemental d’un tel projet, et a parfaitement associé les riverains de la vallée de la Papeiha aux réflexions et discussions relative au projet. A noter que ce projet contribuera également à la création d’emplois, en plus de garantir une plus grande indépendance énergétique pour cette partie de l’île de Tahiti.