Tahiti, le 19 juillet 2024 – Le ministre de l’Environnement, Taivini Teai, a rencontré vendredi matin à la présidence les 17 associations de protection de l’environnement auxquelles le Pays a accordé des subventions pour développer des projets. Au total, le gouvernement leur aura octroyé un peu plus de huit millions de francs.
Six mois après le lancement d’un appel à projets par le ministère de l’Environnement via la Direction de l’environnement (Diren) pour accompagner des projets portés par des associations, les 17 lauréats ont rencontré, vendredi matin à la présidence, le ministre Taivini Teai afin de signer les conventions de subventions. Les 17 associations sélectionnées, parmi lesquelles Oceania, Coureurs des Gambier ou bien encore Niuhi ma, avaient présenté des projets portant aussi bien sur l’éducation à l’environnement que la gestion des espèces protégées lors de cet appel à projets. Au total, le Pays leur octroiera un peu plus de huit millions de francs.
Le ministre de l’Environnement a tenu à remercier les associations pour leur “engagement”. “Je souhaitais pouvoir les recevoir et signer les conventions. Auparavant, j’étais de l’autre côté de la barrière, je participais à des actions de ramassage de déchets sur les plages, notamment avec les associations Université et Tamarii Pointe des pêcheurs. Cette fois, je suis de l’autre côté de la barrière et je connais donc l’importance de l’engagement de membres de ces associations.”
“Challenge”
Le ministre a également profité de cette occasion pour affirmer que la protection de l’environnement était, “bien entendu”, une priorité du gouvernement. “C’est un portefeuille qui m’a été attribué et cela fait sens puisque j’ai d’abord eu la charge du secteur primaire où j’avais sous ma tutelle la direction de la biosécurité. C’est-à-dire la protection de notre environnement mais au niveau de nos frontières. Aujourd’hui, il s’agit de pouvoir faire un développement tout en préservant l’environnement et cela va être un beau challenge”, a-t-il poursuivi.
Pour Aeata Richerd, la fondatrice de l’association Reva Atea qui œuvre dans le domaine de la communication et de la médiation scientifiques, cette subvention est un réel “coup de pouce”. Avec la subvention accordée par la Diren, Reva Atea va pouvoir financer la mise en place de livrets pédagogiques qui seront remis à des élèves dans les classes desquels des aquariums vont être installés durant cinq semaines. Un “énorme bénéfice” pour une mission salutaire de sensibilisation et d’apprentissage.
Six mois après le lancement d’un appel à projets par le ministère de l’Environnement via la Direction de l’environnement (Diren) pour accompagner des projets portés par des associations, les 17 lauréats ont rencontré, vendredi matin à la présidence, le ministre Taivini Teai afin de signer les conventions de subventions. Les 17 associations sélectionnées, parmi lesquelles Oceania, Coureurs des Gambier ou bien encore Niuhi ma, avaient présenté des projets portant aussi bien sur l’éducation à l’environnement que la gestion des espèces protégées lors de cet appel à projets. Au total, le Pays leur octroiera un peu plus de huit millions de francs.
Le ministre de l’Environnement a tenu à remercier les associations pour leur “engagement”. “Je souhaitais pouvoir les recevoir et signer les conventions. Auparavant, j’étais de l’autre côté de la barrière, je participais à des actions de ramassage de déchets sur les plages, notamment avec les associations Université et Tamarii Pointe des pêcheurs. Cette fois, je suis de l’autre côté de la barrière et je connais donc l’importance de l’engagement de membres de ces associations.”
“Challenge”
Le ministre a également profité de cette occasion pour affirmer que la protection de l’environnement était, “bien entendu”, une priorité du gouvernement. “C’est un portefeuille qui m’a été attribué et cela fait sens puisque j’ai d’abord eu la charge du secteur primaire où j’avais sous ma tutelle la direction de la biosécurité. C’est-à-dire la protection de notre environnement mais au niveau de nos frontières. Aujourd’hui, il s’agit de pouvoir faire un développement tout en préservant l’environnement et cela va être un beau challenge”, a-t-il poursuivi.
Pour Aeata Richerd, la fondatrice de l’association Reva Atea qui œuvre dans le domaine de la communication et de la médiation scientifiques, cette subvention est un réel “coup de pouce”. Avec la subvention accordée par la Diren, Reva Atea va pouvoir financer la mise en place de livrets pédagogiques qui seront remis à des élèves dans les classes desquels des aquariums vont être installés durant cinq semaines. Un “énorme bénéfice” pour une mission salutaire de sensibilisation et d’apprentissage.