Tahiti, le 24 février 2020 - Le procès de l’ex-entraîneur de boxe du club de l’Aorai, poursuivi pour des viols et des agressions sexuelles sur mineurs, s’est ouvert lundi à huis clos total devant la cour d’assises d’appel de Papeete. Lors de son premier procès, l’accusé avait été condamné à vingt ans de réclusion.
Condamné le 15 septembre 2018 à vingt ans de prison pour des viols et des agressions sexuelles commis sur des mineurs ainsi que pour avoir enregistré et détenu des images à caractère pédopornographique, l’ex-entraîneur de boxe du club de l’Aorai avait fait appel de cette condamnation.
Son procès devant la cour d’assises d’appel s’est donc ouvert lundi pour une durée de quatre jours. Alors que les avocats des victimes avaient demandé un huis clos partiel afin que la presse puisse évoquer l’affaire, la cour d’assises d’appel s’y est opposée tel que l’avait demandé l’avocat de l’accusé.
Condamné le 15 septembre 2018 à vingt ans de prison pour des viols et des agressions sexuelles commis sur des mineurs ainsi que pour avoir enregistré et détenu des images à caractère pédopornographique, l’ex-entraîneur de boxe du club de l’Aorai avait fait appel de cette condamnation.
Son procès devant la cour d’assises d’appel s’est donc ouvert lundi pour une durée de quatre jours. Alors que les avocats des victimes avaient demandé un huis clos partiel afin que la presse puisse évoquer l’affaire, la cour d’assises d’appel s’y est opposée tel que l’avait demandé l’avocat de l’accusé.
Entourage de l’entraîneur
Au cours de l’année 2015, les premiers faits avaient été révélés suite à la plainte d’une mineure. La jeune fille avait dénoncé des abus sexuels commis par l’accusé au sein du club Aorai dont il était l’entraîneur de boxe. La victime avait également indiqué qu’il filmait les scènes de viols.
L’enquête avait permis d’établir que l’homme avait fait trois autres victimes mineures depuis 1991 dont une fille et deux garçons. Toutes ces victimes appartenaient à l’entourage de l’entraîneur et l’une d’entre elle était hébergée chez lui. L’accusé avait pour habitude de filmer ses ébats sordides.
Le procès, qui a débuté ce matin, doit se dérouler sur quatre jours.
L’enquête avait permis d’établir que l’homme avait fait trois autres victimes mineures depuis 1991 dont une fille et deux garçons. Toutes ces victimes appartenaient à l’entourage de l’entraîneur et l’une d’entre elle était hébergée chez lui. L’accusé avait pour habitude de filmer ses ébats sordides.
Le procès, qui a débuté ce matin, doit se dérouler sur quatre jours.