Après de multiples événements organisés depuis le 10 mars 2010, la soirée de ce mercredi 16 juin 2010 débutera à 18h00 dans les jardins de la Maison de la Culture, autour du paepae a Hiro récemment restauré.
Quatre unu réalisés par les élèves du Centre des Métiers d’Art seront installés sur le paepae, précédant des lectures de poèmes d’Henri Hiro par des personnalités du monde culturel et artistique. Jean-Paul Barral, Valérie Gobrait, Matani Kainuku, mais aussi John Mairai et Isidore Hiro se relaieront avant de céder la place à Henri Hiro lui-même, enregistré en train de lire l’un de ses poèmes préférés.
Ce moment de remémoration et d’émotion sera suivi d’une projection dans le cadre de Cinematamua avec l’ICA. Ce soir là, c’est Ariipaea vahine qui sera diffusé à partir de 19h. Tiré d’un poème d’Henri Hiro et joué plusieurs fois en pièce de théâtre au Grand Théâtre, ce film raconte le parcours d’une jeune femme qui vivait entre le monde des dieux et celui des hommes. Mais elle décide de se convertir, perdant ainsi le lien avec les dieux et entraînant la mort de la culture tahitienne.
L’ensemble de la soirée se déroule dans les jardins de la Maison de la culture en entrée libre.
Toutes les infos sont sur www.maisondelaculture.pf
Quatre unu réalisés par les élèves du Centre des Métiers d’Art seront installés sur le paepae, précédant des lectures de poèmes d’Henri Hiro par des personnalités du monde culturel et artistique. Jean-Paul Barral, Valérie Gobrait, Matani Kainuku, mais aussi John Mairai et Isidore Hiro se relaieront avant de céder la place à Henri Hiro lui-même, enregistré en train de lire l’un de ses poèmes préférés.
Ce moment de remémoration et d’émotion sera suivi d’une projection dans le cadre de Cinematamua avec l’ICA. Ce soir là, c’est Ariipaea vahine qui sera diffusé à partir de 19h. Tiré d’un poème d’Henri Hiro et joué plusieurs fois en pièce de théâtre au Grand Théâtre, ce film raconte le parcours d’une jeune femme qui vivait entre le monde des dieux et celui des hommes. Mais elle décide de se convertir, perdant ainsi le lien avec les dieux et entraînant la mort de la culture tahitienne.
L’ensemble de la soirée se déroule dans les jardins de la Maison de la culture en entrée libre.
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