Ils n’avaient reçu aucune réponse du ministre de la culture après leur lettre de protestation, mi-février. Les groupes de danse les plus prestigieux prévoient désormais des actions « radicales » pour se faire entendre de Mita Teriipaia.
« Aujourd'hui, mi- mars, nous n'avons toujours pas de nouvelles du ministre de la culture. Il n'a jamais répondu à notre courrier. Il semblerait même qu'il veuille persister dans ses erreurs » dénoncent d’une seule voix les responsables des compagnies de danse professionnelles Hura Tau, des groupes de danse " Hura Ava Tau, et des écoles de danse de Tahiti.
Ces professionnels protestent contre les défaillances de l’organisation du Heiva 2011, dont les dates n’ont toujours pas été fixées, mais aussi les plans de réorganisation de la place Toata. Le ministre de la culture, Mita Teriipaia, prévoit notamment l’instauration de places gratuites au pied de la scène, la mise en retrait des loges ou encore l’installation de sable blanc autour de la scène. "Certes, To'ata n'est pas parfait mais il a le mérite d'exister et fait des envieux dans la zone Pacifique. Vouloir modifier la configuration du site ne nous paraît ni urgent ni nécessaire dans le contexte actuel" dénonçaient déjà les troupes de danse mi-février.
Tous les groupes de danses les plus prestigieux participent à ce mouvement de protestation. Ils indiqueront lundi aux médias les « actions plus radicales» qu’ils s’apprêtent à lancer. Rappelons que le 16 février, ils avaient déjà menacé de boycotter le Heiva. Le ministère de la culture indique de son côté qu’une conférence de presse sera organisée dans la semaine sur le sujet, et confirme que les dates du Heiva des écoles de danse et celles du Heiva 2011 n’ont pas encore été fixées.
« Aujourd'hui, mi- mars, nous n'avons toujours pas de nouvelles du ministre de la culture. Il n'a jamais répondu à notre courrier. Il semblerait même qu'il veuille persister dans ses erreurs » dénoncent d’une seule voix les responsables des compagnies de danse professionnelles Hura Tau, des groupes de danse " Hura Ava Tau, et des écoles de danse de Tahiti.
Ces professionnels protestent contre les défaillances de l’organisation du Heiva 2011, dont les dates n’ont toujours pas été fixées, mais aussi les plans de réorganisation de la place Toata. Le ministre de la culture, Mita Teriipaia, prévoit notamment l’instauration de places gratuites au pied de la scène, la mise en retrait des loges ou encore l’installation de sable blanc autour de la scène. "Certes, To'ata n'est pas parfait mais il a le mérite d'exister et fait des envieux dans la zone Pacifique. Vouloir modifier la configuration du site ne nous paraît ni urgent ni nécessaire dans le contexte actuel" dénonçaient déjà les troupes de danse mi-février.
Tous les groupes de danses les plus prestigieux participent à ce mouvement de protestation. Ils indiqueront lundi aux médias les « actions plus radicales» qu’ils s’apprêtent à lancer. Rappelons que le 16 février, ils avaient déjà menacé de boycotter le Heiva. Le ministère de la culture indique de son côté qu’une conférence de presse sera organisée dans la semaine sur le sujet, et confirme que les dates du Heiva des écoles de danse et celles du Heiva 2011 n’ont pas encore été fixées.
