Une des responsables de la société Comptoir Tahitien, tout droit venue de Tahaa.
PAPEETE, 3 septembre 2014 - Ce mardi matin, l’EPIC Vanille de Tahiti a inauguré son 7ème salon dédié à la vanille. Le hall de l’Assemblée s’embaume du doux parfum de cet or brun polynésien. Les producteurs et autres exploitants recevront le public jusqu’à samedi.
Cette année, les producteurs de vanille sont mis à l’honneur. Depuis mardi, le hall de l’Assemblée ressemble presque à une serre. Sauf qu’ici, on y trouve les différents maillons de la filière. Outre les producteurs, on parle aussi des acheteurs et autres exploitants de cette orchidée riche en parfum. Pour mieux intéresser le public, l’EPIC Vanille de Tahiti a prévu la mise en place d’ateliers comme celui de la préparation, de la culture et de l’arôme. L’objectif est de permettre au public de découvrir les multiples vertus de la vanille tahitienne.
Les producteurs viennent de partout, de Taha’a, Raiatea mais aussi de la presqu’île comme mama Tepairu Taaroa qui œuvre à Papeari depuis trois ans. "Je plante deux variétés, la « Haapape » et la vanille tahitienne. La différence entre les deux c’est que la première variété est plus longue et grosse surtout. En revanche, la « tahitensis » est très parfumée et fine". En peu de temps d’exploitation, elle a déjà vendu deux récoltes de "Haapape".
La vanille est également vendue sous différentes formes, en poudre ou encore mélangée à des confitures. Philippe Brillant exporte la majorité de sa production qui se situe à Taha’a, le fief de la vanille. Pour lui, ce salon est l’occasion de "prendre la température". "Ce qui est intéressant, c’est de faire le point. Dans ce genre de micro-salon (car il n’y a qu’une dizaine d’exposants), ça nous permet par exemple de voir si nos packaging tiennent la route", explique-t-il.
A partir d’aujourd’hui, des dégustations seront préparées, histoire de "flirter" de très près avec cette belle orchidée sauvage dont "la renommée mondiale n’est plus à faire !" comme le souligne mama Tepairu Taaroa. Parmi les exploitants, on retrouve la famille Tauatiti, les organisateurs du repas gastronomique qui aura lieu à l'hôtel Radisson de Tahiti, ce vendredi soir. Rappelons que le menu sera concocté par trois chefs cuisiniers normands.
Dernier élément qui ajoute au charme de ce salon, la présence d’une dizaine d’artisans. Ces derniers ont été invités à exposer des œuvres spécialement conçues en lien avec le thème. Des parures alliant la nacre, des coquillages, des fibres végétales et bien sûr la vanille, subtil mélange dont les sens et les "vahine" ne ressortent pas indemnes. "Époustouflant !" lâche Emilienne qui vient de poser une parure autour de son cou. Des surprises "il y en aura toute la semaine", promet un des agents organisateurs de cette exposition à découvrir jusqu'au 5 septembre.
TP
Cette année, les producteurs de vanille sont mis à l’honneur. Depuis mardi, le hall de l’Assemblée ressemble presque à une serre. Sauf qu’ici, on y trouve les différents maillons de la filière. Outre les producteurs, on parle aussi des acheteurs et autres exploitants de cette orchidée riche en parfum. Pour mieux intéresser le public, l’EPIC Vanille de Tahiti a prévu la mise en place d’ateliers comme celui de la préparation, de la culture et de l’arôme. L’objectif est de permettre au public de découvrir les multiples vertus de la vanille tahitienne.
Les producteurs viennent de partout, de Taha’a, Raiatea mais aussi de la presqu’île comme mama Tepairu Taaroa qui œuvre à Papeari depuis trois ans. "Je plante deux variétés, la « Haapape » et la vanille tahitienne. La différence entre les deux c’est que la première variété est plus longue et grosse surtout. En revanche, la « tahitensis » est très parfumée et fine". En peu de temps d’exploitation, elle a déjà vendu deux récoltes de "Haapape".
La vanille est également vendue sous différentes formes, en poudre ou encore mélangée à des confitures. Philippe Brillant exporte la majorité de sa production qui se situe à Taha’a, le fief de la vanille. Pour lui, ce salon est l’occasion de "prendre la température". "Ce qui est intéressant, c’est de faire le point. Dans ce genre de micro-salon (car il n’y a qu’une dizaine d’exposants), ça nous permet par exemple de voir si nos packaging tiennent la route", explique-t-il.
A partir d’aujourd’hui, des dégustations seront préparées, histoire de "flirter" de très près avec cette belle orchidée sauvage dont "la renommée mondiale n’est plus à faire !" comme le souligne mama Tepairu Taaroa. Parmi les exploitants, on retrouve la famille Tauatiti, les organisateurs du repas gastronomique qui aura lieu à l'hôtel Radisson de Tahiti, ce vendredi soir. Rappelons que le menu sera concocté par trois chefs cuisiniers normands.
Dernier élément qui ajoute au charme de ce salon, la présence d’une dizaine d’artisans. Ces derniers ont été invités à exposer des œuvres spécialement conçues en lien avec le thème. Des parures alliant la nacre, des coquillages, des fibres végétales et bien sûr la vanille, subtil mélange dont les sens et les "vahine" ne ressortent pas indemnes. "Époustouflant !" lâche Emilienne qui vient de poser une parure autour de son cou. Des surprises "il y en aura toute la semaine", promet un des agents organisateurs de cette exposition à découvrir jusqu'au 5 septembre.
TP
Faaìteìteraa faanahoraa vanira
Un exploitante de la Presqu'île, mama Tepairu Taaroa.
No haamata atu nei te mau faanahoraa rau i te paeàu o te vanira tahiti i te Fare Àpooraa Rahi , i Tarahoi aè ra. I reira, mai i nanahi ra, te faarii hia nei te huiraatira è te feia e tanu nei i te vanira. Ua tae mai to Raiatea, Tahaa tae noatu to Tahiti iti, Papeari ihoa ra. Te òaòa nei ra o mama Tepairu Taaroa e rave nei tana òhipa i tona iho ùtuafare. “Te vai taù e piti huru vanira : te haapape e ta tatou. Ua hoo aè na vau te haapape a piti taime atu ra. “ Te tutava nei òna i te feia âpi “mai te peu, hinaaro ratou e faao i roto i teie tapura òhipa, e nehenehe ia maua e haapii i te mau faanahoraa rau, i muri mai, e haapii hia atu ratou mea nahea ia tanu anaè i te vanira. “
I roto i teie faaìteìteraa, ua âmui atoà mai tetahi feia rima î. Ua haamani mai ratou i te mau faaùnaùna arapoà o te âmui nei i te rafia, te parau e te vanira. Ua faatano teie na feia i te faito moni ia au i te mau hoani.
I te roaraa o teie faanahoraa, e fanaò atoa outou i tetahi mau àmuàmuraa e faaineine hia mai e te mau tià a te piha « EPIC VANILLE DE TAHITI ». Èi faahaamanoraa, e faatupu te taiete HOTU VANILLA i tana àruì àmuàmuraa faahiahia i teie po mahana pae e farui mai ra. E tupu te reira òhipa i te fare hotera nei Radisson, i Arue. No reira, e ho ma, a tapapa atu i te Fare Àpooraa Rahi, e hope taua faanahoraa ra i teie mahana maa.
TP
I roto i teie faaìteìteraa, ua âmui atoà mai tetahi feia rima î. Ua haamani mai ratou i te mau faaùnaùna arapoà o te âmui nei i te rafia, te parau e te vanira. Ua faatano teie na feia i te faito moni ia au i te mau hoani.
I te roaraa o teie faanahoraa, e fanaò atoa outou i tetahi mau àmuàmuraa e faaineine hia mai e te mau tià a te piha « EPIC VANILLE DE TAHITI ». Èi faahaamanoraa, e faatupu te taiete HOTU VANILLA i tana àruì àmuàmuraa faahiahia i teie po mahana pae e farui mai ra. E tupu te reira òhipa i te fare hotera nei Radisson, i Arue. No reira, e ho ma, a tapapa atu i te Fare Àpooraa Rahi, e hope taua faanahoraa ra i teie mahana maa.
TP
