Paris, France | AFP | vendredi 26/04/2019 - Près de neuf ans après "Les Petits mouchoirs", grand succès public, Guillaume Canet et sa bande de copains remettent le couvert dans leur maison de vacances du Cap Ferret pour "Nous finirons ensemble", une suite qui manque de mordant et de rythme.
Avec ses 5,5 millions d'entrées, "Les Petits mouchoirs" avait enregistré le deuxième meilleur score du box-office en France en 2010, juste derrière "Harry Potter", devenant l'un des gros succès du cinéma français en salles de ces dernières années.
Dans "Nous finirons ensemble", Guillaume Canet reconduit l'équipe gagnante: François Cluzet en chef d'entreprise et chef de bande dépressif et irascible, Laurent Lafitte en bon copain naïf et immature, Gilles Lellouche en désormais père célibataire, Benoît Magimel en kiné ayant découvert sur le tard son homosexualité, Marion Cotillard en rebelle désenchantée ou Valérie Bonneton en épouse désormais séparée.
Toute cette petite bande se retrouve à nouveau dans la maison de Max (François Cluzet) au Cap Ferret, pour lui fêter son anniversaire par surprise alors qu'ils ne se sont plus vus depuis trois ans. Mais rien ne se passe comme prévu, les retrouvailles sont difficiles, les vieilles rancoeurs renaissent, tandis que Max tente de cacher à ses amis une situation financière délicate. Déjà éprouvée, leur amitié va être de nouveau mise à l'épreuve.
L'idée de donner une suite à ses "Petits mouchoirs" est née dans l'esprit de Guillaume Canet lors de la promotion de son dernier film, "Rock n'roll", à un moment, où, dit-il, "je fais le constat que j'arrive à un âge où mon entourage comme moi-même ne réagissons plus de la même manière que dix ans auparavant".
"J'ai donc eu envie de plonger les personnages des +Petits mouchoirs+ dans ces situations où on solde les comptes" et "de voir si, une fois leurs quatre vérités dites, ils finiront ensemble ou non", raconte-t-il dans le dossier de presse du film.
Entre règlements de compte et rabibochages, personnages pas toujours sympathiques et décors somptueux pour vacances de privilégiés roulant en 4x4 qui tournent à l'aigre, ce film choral, sixième long métrage de Guillaume Canet, 46 ans, reste dans la lignée du premier, celle du "film de potes" avec un casting d'acteurs populaires, qui avait séduit le public sans enthousiasmer la critique.
Mais ce deuxième opus à nouveau très long (2h15) manque de rythme et peut laisser sceptique, les dialogues ne faisant pas toujours mouche et les acteurs semblant parfois perdus dans des personnages dont les évolutions ne sont pas toujours clairement définies.
Avec ses 5,5 millions d'entrées, "Les Petits mouchoirs" avait enregistré le deuxième meilleur score du box-office en France en 2010, juste derrière "Harry Potter", devenant l'un des gros succès du cinéma français en salles de ces dernières années.
Dans "Nous finirons ensemble", Guillaume Canet reconduit l'équipe gagnante: François Cluzet en chef d'entreprise et chef de bande dépressif et irascible, Laurent Lafitte en bon copain naïf et immature, Gilles Lellouche en désormais père célibataire, Benoît Magimel en kiné ayant découvert sur le tard son homosexualité, Marion Cotillard en rebelle désenchantée ou Valérie Bonneton en épouse désormais séparée.
Toute cette petite bande se retrouve à nouveau dans la maison de Max (François Cluzet) au Cap Ferret, pour lui fêter son anniversaire par surprise alors qu'ils ne se sont plus vus depuis trois ans. Mais rien ne se passe comme prévu, les retrouvailles sont difficiles, les vieilles rancoeurs renaissent, tandis que Max tente de cacher à ses amis une situation financière délicate. Déjà éprouvée, leur amitié va être de nouveau mise à l'épreuve.
L'idée de donner une suite à ses "Petits mouchoirs" est née dans l'esprit de Guillaume Canet lors de la promotion de son dernier film, "Rock n'roll", à un moment, où, dit-il, "je fais le constat que j'arrive à un âge où mon entourage comme moi-même ne réagissons plus de la même manière que dix ans auparavant".
"J'ai donc eu envie de plonger les personnages des +Petits mouchoirs+ dans ces situations où on solde les comptes" et "de voir si, une fois leurs quatre vérités dites, ils finiront ensemble ou non", raconte-t-il dans le dossier de presse du film.
Entre règlements de compte et rabibochages, personnages pas toujours sympathiques et décors somptueux pour vacances de privilégiés roulant en 4x4 qui tournent à l'aigre, ce film choral, sixième long métrage de Guillaume Canet, 46 ans, reste dans la lignée du premier, celle du "film de potes" avec un casting d'acteurs populaires, qui avait séduit le public sans enthousiasmer la critique.
Mais ce deuxième opus à nouveau très long (2h15) manque de rythme et peut laisser sceptique, les dialogues ne faisant pas toujours mouche et les acteurs semblant parfois perdus dans des personnages dont les évolutions ne sont pas toujours clairement définies.