Pointe-à-Pitre, France | AFP | mardi 18/07/2017 - La gendarmerie a lancé un appel à témoins mardi en Guadeloupe après l’évasion de deux détenus étrangers considérés comme dangereux, dans la nuit de lundi à mardi, du centre pénitentiaire de Baie-Mahault, près de Pointe-à-Pitre.
Les évadés, condamnés pour "agression sexuelle et meurtre" selon une source proche de l’enquête, pourraient être "dangereux".
Originaires des îles indépendantes de Sainte-Lucie pour l'un et de Saint-Vincent pour l'autre, ces hommes, "très défavorablement connus des forces de sécurité intérieure", se sont évadés de prison dans la nuit de lundi à mardi, indique la gendarmerie dans un communiqué, confirmant l’information de médias locaux.
"Anglophones, de corpulence moyenne et mesurant entre 1m70 et 1m80, ils chercheraient à quitter le territoire guadeloupéen", souligne la gendarmerie dans un avis accompagné des photos des évadés.
Elle invite "toute personne susceptible de fournir des informations sur ces individus" à contacter la gendarmerie de Guadeloupe.
Selon Radio Caraïbes International, les deux hommes "sont parvenus à écarter les barreaux de leur fenêtre avant de s’échapper par le toit, prenant ensuite la direction de l’entrée principale".
Selon la même source, les deux hommes, nés en 1985, ont été condamnés en 2016 par la cour d’assises de Fort-de-France pour "violences armées, agression sexuelle, rébellion sur dépositaire de la force publique" et "extorsion et meurtre au coutelas", respectivement à perpétuité et à 12 ans de réclusion avec une période de sûreté de 6 ans.
Les évadés, condamnés pour "agression sexuelle et meurtre" selon une source proche de l’enquête, pourraient être "dangereux".
Originaires des îles indépendantes de Sainte-Lucie pour l'un et de Saint-Vincent pour l'autre, ces hommes, "très défavorablement connus des forces de sécurité intérieure", se sont évadés de prison dans la nuit de lundi à mardi, indique la gendarmerie dans un communiqué, confirmant l’information de médias locaux.
"Anglophones, de corpulence moyenne et mesurant entre 1m70 et 1m80, ils chercheraient à quitter le territoire guadeloupéen", souligne la gendarmerie dans un avis accompagné des photos des évadés.
Elle invite "toute personne susceptible de fournir des informations sur ces individus" à contacter la gendarmerie de Guadeloupe.
Selon Radio Caraïbes International, les deux hommes "sont parvenus à écarter les barreaux de leur fenêtre avant de s’échapper par le toit, prenant ensuite la direction de l’entrée principale".
Selon la même source, les deux hommes, nés en 1985, ont été condamnés en 2016 par la cour d’assises de Fort-de-France pour "violences armées, agression sexuelle, rébellion sur dépositaire de la force publique" et "extorsion et meurtre au coutelas", respectivement à perpétuité et à 12 ans de réclusion avec une période de sûreté de 6 ans.