PAPEETE, le 10 octobre 2017- Plus de 700 manifestants ont répondu à l'appel de l'intersyndicales des fonctionnaire d'Etat qui organisait ce matin une marche de protestation contre plusieurs mesures annoncées par le gouvernement de Macron.
La marche démarrera à 9h. Pour l'heure, plus de 700 manifestants sont présents. D'autres devraient rejoindre le mouvement d'ici peu. Le cortège se dirigera au Haut-commissariat. Ils occuperont une voie sur la route principale, encadrés par les agents de la DSP.
De fortes perturbations sont à prévoir en marge de la grève des agents de la fonction publique d'Etat. Les grévistes manifestent contre plusieurs mesures annoncées par le gouvernement central : rétablissement de la journée de carence en cas d'arrêt maladie ; gel du point d’indice pour les rémunérations ; suppression de 120 000 postes à l'horizon 2022.
Des mouvements sont organisés un peu partout en France métropolitaine.
Tous les services administratifs de l’Etat devraient être impactés à des degrés divers par ce mouvement : le Trésor public, la justice, la police, les services pénitentiaires, l’aviation civile.
Les maires de Faa’a et de Teva i Uta ont décidé lundi que toutes les écoles primaires de leurs communes seraient fermées mardi, les conditions d’accueil ne pouvant pas garantir la sécurité des enfants. La mobilisation dans le second degré de l’enseignement public est plus incertaine. Les établissements resteront ouverts, l’accueil devant être assurés par les chefs d’établissement dans les collèges et lycées.
La marche démarrera à 9h. Pour l'heure, plus de 700 manifestants sont présents. D'autres devraient rejoindre le mouvement d'ici peu. Le cortège se dirigera au Haut-commissariat. Ils occuperont une voie sur la route principale, encadrés par les agents de la DSP.
De fortes perturbations sont à prévoir en marge de la grève des agents de la fonction publique d'Etat. Les grévistes manifestent contre plusieurs mesures annoncées par le gouvernement central : rétablissement de la journée de carence en cas d'arrêt maladie ; gel du point d’indice pour les rémunérations ; suppression de 120 000 postes à l'horizon 2022.
Des mouvements sont organisés un peu partout en France métropolitaine.
Tous les services administratifs de l’Etat devraient être impactés à des degrés divers par ce mouvement : le Trésor public, la justice, la police, les services pénitentiaires, l’aviation civile.
Les maires de Faa’a et de Teva i Uta ont décidé lundi que toutes les écoles primaires de leurs communes seraient fermées mardi, les conditions d’accueil ne pouvant pas garantir la sécurité des enfants. La mobilisation dans le second degré de l’enseignement public est plus incertaine. Les établissements resteront ouverts, l’accueil devant être assurés par les chefs d’établissement dans les collèges et lycées.