Les sponsors, l'organisation (Léo Marais) et plusieurs chanteurs de l'événement (Andy Tupaia, Teiva LC et les découvertes Eto et Manon)
PAPEETE, le 18 juin 2014 – C’est la seule occasion de l’année de visiter les jardins de l’ancien hôtel Tahara’a, et pour l’occasion ce sont 6 heures de musique et de fête qui sont offerts aux habitants de Arue et de Tahiti. Une occasion à ne pas rater.
Plus de 3000 personnes sont attendues ce samedi 21 juin de 18h à minuit dans les jardins du Tahara’a à l’occasion de la Fête de la Musique. Organisé par le Collectif Tahiti Rock et le service de la Jeunesse de la Mairie de Arue, cette soirée offrira 6 heures de musique à toute la population.
L’entrée sera gratuite et des vendeurs de brochettes et de plats seront placés à côté du parking. Il n’y aura pas de problèmes pour se garer puisqu’une partie du jardin sera consacré aux voitures, qui seront tout même filtrées à l’entrée pour empêcher l’entrée d’alcool : l’événement se veut totalement familial. Sur ces 1,5 hectares de parc, il restera tout de même 2000 m² pour les spectateurs et les artistes. Léo Marais, animateur de la soirée, assure avec humour que le public peut même venir avec fauteuils et canapés ! Et si l’année dernière, 13 spectateurs avaient été piqués par des cent-pieds, cette fois le parc a été traité et aucun incident ne devrait venir ternir les célébrations.
11 artistes et des happenings
Les artistes seront nombreux. Six groupes professionnels se succéderont sur scène : Toa Ura, Manahune, Teiva LC, Andy Tupaïa, Da Roadside Boyz et le Patrick Noble quartet. Le public pourra aussi découvrir 5 jeunes artistes polynésiens qui essayent de percer, mais qui sont tous bourrés de talents. Les « pro » resteront sur scène 45 minutes chacun, alors que les amateurs chanteront 1 à 3 chansons, des compositions de préférence. En tout, le public en aura pour 6 heures de musique et de fête. Un écran géant sera même installé pour permettra à tous de suivre les concerts, même ceux qui se seront éloignés de la foule sur leurs peue.
La soirée sera entrecoupée de trois petits interludes festifs offerts par les sponsors : une flash mob à 18h45 (vous pouvez apprendre la chorégraphie en vous connectant sur le Facebook de la mairie, « Arue une ville où il fait bon vivre ») ; à 20h30 une opération « fête des bulles » où le public est invité à amener de quoi faire des bulles de savon, pour jouer avec la lumière et transformer le parc en un endroit féérique ; enfin à 22h un tirage au sort permettra d’attribuer un casque Bose.
Pour le transport, la mairie d’Arue met en place une navette gratuite qui desservira la commune de 17h30 à minuit passé. Et ceux qui ne pourront vraiment pas venir pourront voir une petite partie de la soirée en direct sur Polynésie première, et en direct toute la soirée sur la radio du même groupe.
Léo Marais se réjouit d’avance : « C’est la cinquième édition, et la troisième dans les jardins du Tahara’a. Avant nous étions le seul gros événement, aujourd’hui il y en a beaucoup mais nous restons un des principaux. C’est très bien pour la musique ! »
Plus de 3000 personnes sont attendues ce samedi 21 juin de 18h à minuit dans les jardins du Tahara’a à l’occasion de la Fête de la Musique. Organisé par le Collectif Tahiti Rock et le service de la Jeunesse de la Mairie de Arue, cette soirée offrira 6 heures de musique à toute la population.
L’entrée sera gratuite et des vendeurs de brochettes et de plats seront placés à côté du parking. Il n’y aura pas de problèmes pour se garer puisqu’une partie du jardin sera consacré aux voitures, qui seront tout même filtrées à l’entrée pour empêcher l’entrée d’alcool : l’événement se veut totalement familial. Sur ces 1,5 hectares de parc, il restera tout de même 2000 m² pour les spectateurs et les artistes. Léo Marais, animateur de la soirée, assure avec humour que le public peut même venir avec fauteuils et canapés ! Et si l’année dernière, 13 spectateurs avaient été piqués par des cent-pieds, cette fois le parc a été traité et aucun incident ne devrait venir ternir les célébrations.
11 artistes et des happenings
Les artistes seront nombreux. Six groupes professionnels se succéderont sur scène : Toa Ura, Manahune, Teiva LC, Andy Tupaïa, Da Roadside Boyz et le Patrick Noble quartet. Le public pourra aussi découvrir 5 jeunes artistes polynésiens qui essayent de percer, mais qui sont tous bourrés de talents. Les « pro » resteront sur scène 45 minutes chacun, alors que les amateurs chanteront 1 à 3 chansons, des compositions de préférence. En tout, le public en aura pour 6 heures de musique et de fête. Un écran géant sera même installé pour permettra à tous de suivre les concerts, même ceux qui se seront éloignés de la foule sur leurs peue.
La soirée sera entrecoupée de trois petits interludes festifs offerts par les sponsors : une flash mob à 18h45 (vous pouvez apprendre la chorégraphie en vous connectant sur le Facebook de la mairie, « Arue une ville où il fait bon vivre ») ; à 20h30 une opération « fête des bulles » où le public est invité à amener de quoi faire des bulles de savon, pour jouer avec la lumière et transformer le parc en un endroit féérique ; enfin à 22h un tirage au sort permettra d’attribuer un casque Bose.
Pour le transport, la mairie d’Arue met en place une navette gratuite qui desservira la commune de 17h30 à minuit passé. Et ceux qui ne pourront vraiment pas venir pourront voir une petite partie de la soirée en direct sur Polynésie première, et en direct toute la soirée sur la radio du même groupe.
Léo Marais se réjouit d’avance : « C’est la cinquième édition, et la troisième dans les jardins du Tahara’a. Avant nous étions le seul gros événement, aujourd’hui il y en a beaucoup mais nous restons un des principaux. C’est très bien pour la musique ! »
Eto, écouté attentivement par Andy Tupaia
Les découvertes
Eto, 24 ans, star en devenir : « J’ai commencé la musique avec les bringues il y a 8 ans maintenant, et depuis je ne lâche plus. Depuis le début de l’année je me lance vraiment, j’essaie de conquérir le public polynésien. Cette scène, c’est un tremplin, et elle me perttra de toucher le public de Arue alors qu’en général je joue plutôt sur la côte Ouest. Et jouer devant 3000 personnes c’est excitant, j’ai hâte de voir s’ils aiment ma musique ou pas. »
Eto, 24 ans, star en devenir : « J’ai commencé la musique avec les bringues il y a 8 ans maintenant, et depuis je ne lâche plus. Depuis le début de l’année je me lance vraiment, j’essaie de conquérir le public polynésien. Cette scène, c’est un tremplin, et elle me perttra de toucher le public de Arue alors qu’en général je joue plutôt sur la côte Ouest. Et jouer devant 3000 personnes c’est excitant, j’ai hâte de voir s’ils aiment ma musique ou pas. »
Manon a démontré son talent aux autres artistes et à la presse
Manon, 18 ans, qui vient de passer son bac : « Je fais du piano depuis que je suis enfant et j’ai ensuite eu envie de chanter. Je viens de métropole, de Lyon, et j’habite à Tahiti depuis un an. La chanson que je vais chanter parle aussi de ce départ. J’ai fait ma première télévision hier sur Polynésie Première, sur Fare Maohi. Mais maintenant c’est ma première scène, et je sens que ça va être stressant, j’ai déjà chanté devant mes amis, en confiance, jamais devant des inconnus. Mais j’ai envie de voir, c’est une bonne expérience je pense. »