Crédit Ludovic MARIN / AFP
Paris, France | AFP | jeudi 19/09/2024 - Le dirigeant de LR, Laurent Wauquiez, a annoncé jeudi aux députés de son groupe à l'Assemblée nationale qu'il renonçait à participer au gouvernement de Michel Barnier, tandis que le sénateur Bruno Retailleau est proposé à l'Intérieur, ont indiqué à l'AFP des sources concordantes.
"Michel Barnier m'a proposé Bercy et j'ai donc décliné pour rester à la tête du groupe", a déclaré le député de Haute-Loire, qui préside le groupe de la Droite républicaine qui compte 47 députés, précisant que LR disposerait de neuf "postes" au prochain gouvernement, dont trois ministères de plein exercice, a précisé ce participant.
"Depuis le début, j'ai dit qu'entrer au gouvernement n'était pas mon obsession (et) j'avais dit que j'irais uniquement si je pouvais être utile au ministère de l'Intérieur", a expliqué Laurent Wauquiez, dont le nom a longtemps circulé pour la place Beauveau.
Dans son intervention, il a donné les noms des ministres LR "transmis par Michel Barnier" qui seront proposés pour faire partie de son exécutif, dont le patron des sénateurs LR Bruno Retailleau qui serait nommé au ministère de l'Intérieur, une information confirmée par d'autres sources.
Les autres LR proposés pour le gouvernement seraient le député Patrick Hetzel à l'Enseignement supérieur, la députée et secrétaire générale de LR Annie Genevard à l'Agriculture, Othman Nasrou à la Laïcité, Jean-Lous Thieriot aux Anciens combattants, Laurence Garnier à la Famille, Sophie Primas au Commerce extérieur et au Tourisme et François-Noël Buffet à l'Outre-mer.
"C'est un poids en gros de 20%" pour LR au sein du gouvernement, a estimé Laurent Wauquiez, qui considère toutefois que ces neuf postes sont "largement en-dessous de notre poids au Parlement", Les Républicains considérant qu'ils constituent le plus grand groupe parlementaire en additionnant les sénateurs et les députés.
Appelant les élus LR à "être à la hauteur de l'attente des Français", Laurent Wauquiez s'est engagé à aider avec LR le Premier ministre "dans sa difficile mission".
"Mais ce ne peut pas être la continuité du +en même temps+, il faut une rupture avec les années écoulées", a-t-il prévenu, estimant que "les groupes parlementaires vont avoir un rôle essentiel pour s'en assurer".
"Michel Barnier m'a proposé Bercy et j'ai donc décliné pour rester à la tête du groupe", a déclaré le député de Haute-Loire, qui préside le groupe de la Droite républicaine qui compte 47 députés, précisant que LR disposerait de neuf "postes" au prochain gouvernement, dont trois ministères de plein exercice, a précisé ce participant.
"Depuis le début, j'ai dit qu'entrer au gouvernement n'était pas mon obsession (et) j'avais dit que j'irais uniquement si je pouvais être utile au ministère de l'Intérieur", a expliqué Laurent Wauquiez, dont le nom a longtemps circulé pour la place Beauveau.
Dans son intervention, il a donné les noms des ministres LR "transmis par Michel Barnier" qui seront proposés pour faire partie de son exécutif, dont le patron des sénateurs LR Bruno Retailleau qui serait nommé au ministère de l'Intérieur, une information confirmée par d'autres sources.
Les autres LR proposés pour le gouvernement seraient le député Patrick Hetzel à l'Enseignement supérieur, la députée et secrétaire générale de LR Annie Genevard à l'Agriculture, Othman Nasrou à la Laïcité, Jean-Lous Thieriot aux Anciens combattants, Laurence Garnier à la Famille, Sophie Primas au Commerce extérieur et au Tourisme et François-Noël Buffet à l'Outre-mer.
"C'est un poids en gros de 20%" pour LR au sein du gouvernement, a estimé Laurent Wauquiez, qui considère toutefois que ces neuf postes sont "largement en-dessous de notre poids au Parlement", Les Républicains considérant qu'ils constituent le plus grand groupe parlementaire en additionnant les sénateurs et les députés.
Appelant les élus LR à "être à la hauteur de l'attente des Français", Laurent Wauquiez s'est engagé à aider avec LR le Premier ministre "dans sa difficile mission".
"Mais ce ne peut pas être la continuité du +en même temps+, il faut une rupture avec les années écoulées", a-t-il prévenu, estimant que "les groupes parlementaires vont avoir un rôle essentiel pour s'en assurer".