Vaea compte bien tenter de conserver son titre de championne de Polynésie
Les toutes jeunes golfeuses du fenua font souvent parler de leurs exploits, notamment Maggy Dury ou encore Flavia Reid-Amaru mais Vaea Nauta est également bien là puisqu’elle est la championne de Polynésie en titre. Elle habite à Papara, près du domaine d’Atimaono, et peut donc vivre à 100% sa passion pour le golf. Rencontre avec la jeune athlète.
Vaea Nauta, une jeune polynésienne passionnée
Parole à Vaea Nauta :
Peux tu te présenter ?
« Je m’appelle Vaea Nauta, j’ai 23 ans. J’ai passé une licence en informatique et je fais du golf depuis 8 ans maintenant. A la base, mon père travaillait au club house du domaine d’Atimaono. Je l’aidais à ramasser les balles sur le practice. Depuis je n’ai pas arrêté, un pro est venu me voir, il m’a donné quelques cours, j’ai continué avec lui puis il est parti. Je suis maintenant en cours avec Francis Mayès, mon coach depuis 5 ans. »
Quels sont tes points forts, tes points faibles ?
« J’ai parfois des soucis avec mon petit jeu par contre mon jeu long est « parfait » (rires), c’est un peu ça. J’habite juste à côté du golf depuis un an. Avant j’habitais plus loin à Papara, j’ai toujours habité par là, mes parents sont originaires de Papara où j’ai grandi. Cela me permet d’avoir une pratique régulière du golf sans trop de difficultés pratiques. J’ai gagné le titre de championne de Polynésie en 2016, j’espère le conserver cette année. »
Qu’est ce qui te plait dans ce sport ?
« A la base, je n’aimais pas trop le golf, je n’étais pas attiré par cette discipline. Ce n’est qu’en essayant que cela m’a plu. Même si beaucoup de gens disent que le golf est un sport pour les personnes qui ont un certain âge, je ne pense pas que ce soit aussi catégorisé que ça. Le golf me permet de voir un peu plus de nature, de me concentrer un peu plus, d’être un peu plus attentive à ce que je fais. »
Quelles qualités cela demande justement ?
« Cela demande beaucoup d’attention, beaucoup de concentration, je suis très patiente pour tout. Quand on se concentre au golf, on fait travailler son cerveau par rapport aux coups que l’on veut faire, ceux que l’on sait faire. Cela se répercute dans la vie de tous les jours. Pendant mes études à l’université, j’ai progressé en concentration grâce au golf, je me dispersais un petit peu moins. »
Quels sont tes objectifs, un dernier mot ?
« J’aimerais continuer dans la branche du golf et pouvoir enseigner le golf par la suite. Justement, j’aide la fédération à donner des cours de golf, avec mon coach, tous les mercredis et samedis. J’aimerais remercier le club Central qui m’a beaucoup aidée, merci surtout à mon coach Francis Mayès qui m’accompagne depuis longtemps maintenant. » Propos Recueillis par SB
Peux tu te présenter ?
« Je m’appelle Vaea Nauta, j’ai 23 ans. J’ai passé une licence en informatique et je fais du golf depuis 8 ans maintenant. A la base, mon père travaillait au club house du domaine d’Atimaono. Je l’aidais à ramasser les balles sur le practice. Depuis je n’ai pas arrêté, un pro est venu me voir, il m’a donné quelques cours, j’ai continué avec lui puis il est parti. Je suis maintenant en cours avec Francis Mayès, mon coach depuis 5 ans. »
Quels sont tes points forts, tes points faibles ?
« J’ai parfois des soucis avec mon petit jeu par contre mon jeu long est « parfait » (rires), c’est un peu ça. J’habite juste à côté du golf depuis un an. Avant j’habitais plus loin à Papara, j’ai toujours habité par là, mes parents sont originaires de Papara où j’ai grandi. Cela me permet d’avoir une pratique régulière du golf sans trop de difficultés pratiques. J’ai gagné le titre de championne de Polynésie en 2016, j’espère le conserver cette année. »
Qu’est ce qui te plait dans ce sport ?
« A la base, je n’aimais pas trop le golf, je n’étais pas attiré par cette discipline. Ce n’est qu’en essayant que cela m’a plu. Même si beaucoup de gens disent que le golf est un sport pour les personnes qui ont un certain âge, je ne pense pas que ce soit aussi catégorisé que ça. Le golf me permet de voir un peu plus de nature, de me concentrer un peu plus, d’être un peu plus attentive à ce que je fais. »
Quelles qualités cela demande justement ?
« Cela demande beaucoup d’attention, beaucoup de concentration, je suis très patiente pour tout. Quand on se concentre au golf, on fait travailler son cerveau par rapport aux coups que l’on veut faire, ceux que l’on sait faire. Cela se répercute dans la vie de tous les jours. Pendant mes études à l’université, j’ai progressé en concentration grâce au golf, je me dispersais un petit peu moins. »
Quels sont tes objectifs, un dernier mot ?
« J’aimerais continuer dans la branche du golf et pouvoir enseigner le golf par la suite. Justement, j’aide la fédération à donner des cours de golf, avec mon coach, tous les mercredis et samedis. J’aimerais remercier le club Central qui m’a beaucoup aidée, merci surtout à mon coach Francis Mayès qui m’accompagne depuis longtemps maintenant. » Propos Recueillis par SB
Flavia, Maggy, Arikinui et Ari
EN BREF
Les quatre jeunes joueurs de golf Flavia Reid-Amaru, Maggy Dury, Arikinui Pecqueur et Ari Demayer, âgés de 12 à 15 ans, sont partis dimanche soir en métropole. Ils seront encadrés et entrainés par Francis Mayes, professeur de l’école de golf de la fédération polynésienne de golf. Ces jeunes participeront au championnat de France qui se déroulera au golf Barrière, à la Baule, du 30 juillet au 5 août.
Les quatre jeunes joueurs de golf Flavia Reid-Amaru, Maggy Dury, Arikinui Pecqueur et Ari Demayer, âgés de 12 à 15 ans, sont partis dimanche soir en métropole. Ils seront encadrés et entrainés par Francis Mayes, professeur de l’école de golf de la fédération polynésienne de golf. Ces jeunes participeront au championnat de France qui se déroulera au golf Barrière, à la Baule, du 30 juillet au 5 août.