Jeudi 10 octobre. Stupéfaction lors d’un journal télévisé : le nom de Georgy Adams est directement cité pour une affaire de vol qui se serait déroulée à Fakarava. Rappelons que Georgy, que nous avons interviewé à deux reprises ces derniers mois, est revenu sur le territoire après une brillante carrière sportive en tant que joueur puis entraîneur au sein des plus grands clubs de basket français. Il se dédie aujourd’hui à la formation des jeunes en oeuvrant de manière intense depuis la rentrée dans les écoles de Tahiti. Il est un bel exemple de réussite et de ténacité pour la jeunesse polynésienne.
Suite à ces longues années en France, il avait ressenti le besoin de passer trois ans à Fakarava dans l’archipel de Tuamotu afin de se ressourcer et de vivre sa deuxième passion après le basket : la pêche. Après ce temps passé à Fakarava, il avait décidé de revenir sur Tahiti.
Nous l’avons joint par téléphone, son avocat lui a demandé de ne pas commenter l’affaire, il nous a donné simplement quelques impressions :
« J’avais besoin, après la France, d’un bol d’air, je suis donc parti à Fakarava. J’ai été très bien accueilli par les gens de là bas. Mais d’emblée, comme cela arrive parfois lorsque quelqu’un veut entreprendre quelque chose, des comportements bizarres sont apparus de la part d’une certaine personne, sur fond de jalousie et de règlements de compte avec de tierces personnes, qui ne me concernaient en rien. »
« Par la suite j’ai été victime d’un sabotage, un bateau d’une valeur importante, qui m’avait été confié, a été coulé. Je suis au départ la victime dans cette affaire. La personne dont je suis victime n’en est pas à sa première situation où elle se comporte mal et par la suite ensuite entame une procédure judiciaire. On appelle cela un procédurier. »
« Lorsque j’ai porté plainte pour le sabotage, il s’est passé des mois avant que l’on vienne constater des preuves évidentes. Je n’ai jamais volé de ma vie, ce n’est pas à 46 ans que je vais commencer. Aujourd’hui, j’ai le sentiment que parce qu’il s’agit de ‘Georgy Adams’ le reportage tv me jette en pâture médiatique sans réelle connaissance des faits et avec mon épouse de surcroît, mais je ne m’en fais pas plus que cela. Je n’ai rien a cacher, je suis sincère et l’ai toujours été, je m’expliquerai sans problème. » SB
Suite à ces longues années en France, il avait ressenti le besoin de passer trois ans à Fakarava dans l’archipel de Tuamotu afin de se ressourcer et de vivre sa deuxième passion après le basket : la pêche. Après ce temps passé à Fakarava, il avait décidé de revenir sur Tahiti.
Nous l’avons joint par téléphone, son avocat lui a demandé de ne pas commenter l’affaire, il nous a donné simplement quelques impressions :
« J’avais besoin, après la France, d’un bol d’air, je suis donc parti à Fakarava. J’ai été très bien accueilli par les gens de là bas. Mais d’emblée, comme cela arrive parfois lorsque quelqu’un veut entreprendre quelque chose, des comportements bizarres sont apparus de la part d’une certaine personne, sur fond de jalousie et de règlements de compte avec de tierces personnes, qui ne me concernaient en rien. »
« Par la suite j’ai été victime d’un sabotage, un bateau d’une valeur importante, qui m’avait été confié, a été coulé. Je suis au départ la victime dans cette affaire. La personne dont je suis victime n’en est pas à sa première situation où elle se comporte mal et par la suite ensuite entame une procédure judiciaire. On appelle cela un procédurier. »
« Lorsque j’ai porté plainte pour le sabotage, il s’est passé des mois avant que l’on vienne constater des preuves évidentes. Je n’ai jamais volé de ma vie, ce n’est pas à 46 ans que je vais commencer. Aujourd’hui, j’ai le sentiment que parce qu’il s’agit de ‘Georgy Adams’ le reportage tv me jette en pâture médiatique sans réelle connaissance des faits et avec mon épouse de surcroît, mais je ne m’en fais pas plus que cela. Je n’ai rien a cacher, je suis sincère et l’ai toujours été, je m’expliquerai sans problème. » SB
