LONDRES, 29 avr 2013 (AFP) - Cherche sous-chef, salaire annuel 27.000 euros pour 45 heures hebdomadaires, qualifié pour déjeuners en tête-à-tête, banquets de 200 couverts et réceptions de 800 personnes, logé sur le lieu de travail : le palais de Buckingham recrute par petite annonce sur internet un royal cuistot.
Les candidats doivent être habités d'une "véritable passion pour la cuisine", prêts à passer trois mois de l'année dans d'autres demeures royales (telles que le château écossais de Balmoral et la résidence de Sandringham), satisfaire à des exigences draconiennes en matière de sécurité et de confidentialité.
Ils ont jusqu'au 10 mai pour postuler, précise l'annonce disponible à l'adresse http://www.royal.gov.uk/.
Le sous-chef contribuera à obtenir de la brigade de cuisiniers et d'apprentis au service de sa majesté "une nourriture fraîche répondant aux critères de qualité les plus élevés".
La mention dans le CV d'une expérience dans un hôtel 5 étoiles ou un restaurant étoilé constitue un plus. Il en va de même pour de "bonnes connaissances de la cuisine traditionnelle française" et des notions linguistiques du "français de cuisine" (sic).
Mark Flanagan, qui règne depuis une dizaine d'années sur les cuisines du palais de Buckingham, observe le secret professionnel qui sied à la fonction sur les goûts de la souveraine.
L'un de ses prédécesseurs, Darren McGrady, s'est montré un peu plus loquace, après avoir rendu sa toque.
Il a révélé l'intérêt de la reine pour des mets simples, céréales, sandwiches et gâteau spongieux au chocolat.
Cependant, McGrady a aussi indiqué qu'une sole de Douvres meunière sur un lit d'épinards pour le déjeuner et un dîner composé de gibier ou de saumon en provenance des domaines royaux avaient les faveurs de la reine, aujourd'hui âgée de 87 ans. Sans oublier, pour une bonne nuit, un Gin-Dubonnet (dit zaza) bien tassé.
Les candidats doivent être habités d'une "véritable passion pour la cuisine", prêts à passer trois mois de l'année dans d'autres demeures royales (telles que le château écossais de Balmoral et la résidence de Sandringham), satisfaire à des exigences draconiennes en matière de sécurité et de confidentialité.
Ils ont jusqu'au 10 mai pour postuler, précise l'annonce disponible à l'adresse http://www.royal.gov.uk/.
Le sous-chef contribuera à obtenir de la brigade de cuisiniers et d'apprentis au service de sa majesté "une nourriture fraîche répondant aux critères de qualité les plus élevés".
La mention dans le CV d'une expérience dans un hôtel 5 étoiles ou un restaurant étoilé constitue un plus. Il en va de même pour de "bonnes connaissances de la cuisine traditionnelle française" et des notions linguistiques du "français de cuisine" (sic).
Mark Flanagan, qui règne depuis une dizaine d'années sur les cuisines du palais de Buckingham, observe le secret professionnel qui sied à la fonction sur les goûts de la souveraine.
L'un de ses prédécesseurs, Darren McGrady, s'est montré un peu plus loquace, après avoir rendu sa toque.
Il a révélé l'intérêt de la reine pour des mets simples, céréales, sandwiches et gâteau spongieux au chocolat.
Cependant, McGrady a aussi indiqué qu'une sole de Douvres meunière sur un lit d'épinards pour le déjeuner et un dîner composé de gibier ou de saumon en provenance des domaines royaux avaient les faveurs de la reine, aujourd'hui âgée de 87 ans. Sans oublier, pour une bonne nuit, un Gin-Dubonnet (dit zaza) bien tassé.