Photo Présidence
Doté d’un talent hors-du-commun, reconnu par les plus grands, François TERIITEHAU était un artiste accompli, dont l’œuvre – considérable, riche, originale et unique – était le prolongement de son âme.
Avec son pinceau, qu’il maniait avec une parfaite dextérité, il croquait la vie, et dessinait le monde tel qu’il aimait, en le sublimant, humblement, sans jamais le copier.
Ce monde, c’est celui d’une Polynésie française chaleureuse, où il vit le jour, à laquelle, malgré l’éloignement de l’adoption, il était viscéralement attaché, et qu’il ne quitta plus jamais, par amour, en devenant l’un de ses plus précieux défenseurs.
Ce monde, c’est également celui d’une Chine millénaire, où il vécut une enfance aux multiples périples, dans laquelle il forgeât son art dans la plus pure tradition calligraphique asiatique, érigé par la suite au rang de l’excellence du cœur.
C’est avec beaucoup de douleur que nous avons appris la disparition de celui qui était plus qu’un artiste, celui qui était le symbole d’une harmonie culturelle accomplie de deux pays, respectueux de leurs traditions ancestrales et riches de leurs diversités culturelles, desquels François avait su en extraire le meilleur.
Aussi, au nom du Vice-Président et des ministres du gouvernement de la Polynésie française, et également des Polynésiennes et des Polynésiens, je tiens à adresser mes plus vives et mes plus sincères condoléances à l’épouse, aux enfants, ainsi qu’aux proches de celui qui restera à jamais dans nos mémoires.
Que François TERIITEHAU, notre ami, repose en paix.
Gaston TONG SANG
Avec son pinceau, qu’il maniait avec une parfaite dextérité, il croquait la vie, et dessinait le monde tel qu’il aimait, en le sublimant, humblement, sans jamais le copier.
Ce monde, c’est celui d’une Polynésie française chaleureuse, où il vit le jour, à laquelle, malgré l’éloignement de l’adoption, il était viscéralement attaché, et qu’il ne quitta plus jamais, par amour, en devenant l’un de ses plus précieux défenseurs.
Ce monde, c’est également celui d’une Chine millénaire, où il vécut une enfance aux multiples périples, dans laquelle il forgeât son art dans la plus pure tradition calligraphique asiatique, érigé par la suite au rang de l’excellence du cœur.
C’est avec beaucoup de douleur que nous avons appris la disparition de celui qui était plus qu’un artiste, celui qui était le symbole d’une harmonie culturelle accomplie de deux pays, respectueux de leurs traditions ancestrales et riches de leurs diversités culturelles, desquels François avait su en extraire le meilleur.
Aussi, au nom du Vice-Président et des ministres du gouvernement de la Polynésie française, et également des Polynésiennes et des Polynésiens, je tiens à adresser mes plus vives et mes plus sincères condoléances à l’épouse, aux enfants, ainsi qu’aux proches de celui qui restera à jamais dans nos mémoires.
Que François TERIITEHAU, notre ami, repose en paix.
Gaston TONG SANG