Paris, France | AFP | jeudi 18/01/2017 - Jeux à gratter, paris sportifs et jeux sur bornes informatisées, la Française des Jeux (FDJ) a battu un nouveau record de ventes en 2016 avec un bond de 4,6% à 14,3 milliards d'euros.
La FDJ a reversé 9,5 milliards d'euros aux joueurs et 718 millions d'euros aux commerces de proximité distribuant ses produits. L'Etat, qui détient 72% de la société, a de son côté reçu 3,1 milliards d'euros, précise le groupe dans un communiqué.
Au total, 26 millions de clients ont misé 10,6 euros par semaine en moyenne, contre 10 euros l'année précédente.
Dans le détail, les jeux de loterie ont représenté l'essentiel des ventes de la société, avec 11,8 milliards d'euros de recettes, soit une croissance de 3,3% portée par les jeux à gratter et les jeux interactifs (+7%). Les jeux de tirage ont quant à eux accusé un repli de 1,6%, détaille le groupe.
Les ventes de paris sportifs, en progression de 11% à 2,5 milliards d'euros, ont profité de l'engouement suscité par l'Euro-2016 qui a rapporté 174 millions d'euros et dans une moindre mesure des jeux Olympiques de Rio (23 millions d'euros).
Les ventes numérisées, c'est-à-dire sur les bornes informatiques installées dans les points de vente ou effectuées sur le site internet et les applications de la FDJ, ne représentent que 6,5%, mais marquent une forte augmentation de 65% par rapport à 2015.
Le numérique, est d'ailleurs une des clés de voûte du plan stratégique de la FDJ lancé en 2015, à coup de 500 millions d'euros d'investissement.
Pour poursuivre son développement, la FDJ espère recruter un million de nouveaux joueurs en 2020, ciblant plus particulièrement "les jeunes adultes et les femmes".
L'entreprise veut également consolider son réseau de distribution, alors que le nombre de points de vente a baissé en 2016, dans un contexte marqué par les difficultés du secteur de la presse et du tabac.
La FDJ a reversé 9,5 milliards d'euros aux joueurs et 718 millions d'euros aux commerces de proximité distribuant ses produits. L'Etat, qui détient 72% de la société, a de son côté reçu 3,1 milliards d'euros, précise le groupe dans un communiqué.
Au total, 26 millions de clients ont misé 10,6 euros par semaine en moyenne, contre 10 euros l'année précédente.
Dans le détail, les jeux de loterie ont représenté l'essentiel des ventes de la société, avec 11,8 milliards d'euros de recettes, soit une croissance de 3,3% portée par les jeux à gratter et les jeux interactifs (+7%). Les jeux de tirage ont quant à eux accusé un repli de 1,6%, détaille le groupe.
Les ventes de paris sportifs, en progression de 11% à 2,5 milliards d'euros, ont profité de l'engouement suscité par l'Euro-2016 qui a rapporté 174 millions d'euros et dans une moindre mesure des jeux Olympiques de Rio (23 millions d'euros).
Les ventes numérisées, c'est-à-dire sur les bornes informatiques installées dans les points de vente ou effectuées sur le site internet et les applications de la FDJ, ne représentent que 6,5%, mais marquent une forte augmentation de 65% par rapport à 2015.
Le numérique, est d'ailleurs une des clés de voûte du plan stratégique de la FDJ lancé en 2015, à coup de 500 millions d'euros d'investissement.
Pour poursuivre son développement, la FDJ espère recruter un million de nouveaux joueurs en 2020, ciblant plus particulièrement "les jeunes adultes et les femmes".
L'entreprise veut également consolider son réseau de distribution, alors que le nombre de points de vente a baissé en 2016, dans un contexte marqué par les difficultés du secteur de la presse et du tabac.