L'Association Puna Ora Nō Papeete, a organisé un Forum de l'Emploi ce mardi 17 septembre de 9h à 15h à la salle omnisports Ateivi (en face du lycée-collège Pomare IV). Plusieurs entités publiques étaient présentes pour recevoir les jeunes, venus en petits comités, mais avec la ferme intention de se fixer des objectifs.
Les membres de l’association Puna Ora Nō Papeete ont permis à plus d’une centaine de jeunes, parfois accompagnés, d’obtenir toutes les informations pour créer leur entreprise. D’autres, au contraire, étaient venus se renseigner sur les possibilités de carrière au sein de la police nationale par exemple, ou encore au GSMA, Groupement du Service Militaire Adapté.
S’il n’y avait pas foule ce mardi matin, l’évènement était toutefois bien organisé. L’association avait tout prévu : tables, chaises, sono, allant même jusqu’aux bouteilles d’eau et les plats préparés à midi. « C’est normal aussi qu’il n’y a pas beaucoup de gens car c’est la période qui veut ça. On est en vacances et les jeunes sont plutôt dans les districts ou chez eux. » nous a expliqué un des membres chargés d’organiser l’évènement.
Du côté des visiteurs, tous semblaient plutôt très satisfaits. Lana, 22 ans, a obtenu les informations qu’elle recherchait : « Franchement, c’est bien dommage qu’il n’y a pas autant de mobilisation autour de cette association. Moi, en tous les cas, j’ai pu longuement discuter avec le stand du CFPA. Et même si ce n’était pas un intervenant du Centre même qui était là, mais je trouve que les māmā de l’association nous ont bien aidé à leur manière. J’ai pu récupérer des fiches de présentation. » Hiro, 19 ans, avait choisi le stand de la police nationale : « J’aimerai entrer dans la police pour aider les petites gens. Ce forum était le bon moment car on n’ose pas forcément se rendre au commissariat pour poser des questions, tandis qu’ici, c’était plus facile. Je pense que je me présenterai au concours de cadet de la république, puis si je réussis, je tenterai de passer le concours pour être gardien de la paix. Je ne sais pas encore, mais il faut voir… »
Le stand de l’ADIE, Association au Droit à l’Initiative Economique, a reçu les porteurs de projets. Spécialisés dans l’accompagnement des plus démunis, les deux agents ont su orienter chaque visiteur désireux de travailler à son compte. Ingrid, de Pira’e était ravie de son entretien : « Honnêtement, je pense ouvrir ma micro-entreprise de plats à emporter. Ça va être dur et long, mais si on fait bien les choses, et si en plus l’ADIE peut m’accompagner, c’est réalisable. Donc, je veux me lancer. »
L’un des stands qui aura obtenu le plus de succès fut celui du CMA, Centre des Métiers d’Art, fièrement représentés par les élèves de 3ème année. Des garçons et des filles qui ont acquis une certaine dextérité au fil de leur temps d’apprentissage. Accompagné de leur moniteur d’atelier de sculpture et de gravure, Roger Tetuira a voulu adresser un message direct à la nouvelle génération : « Si vous ne trouvez pas de travail, il faut rentrer dans l’artisanat. C’est vrai que l’on ne gagne pas énormément, mais tu peux te nourrir avec ce métier. Au commencement, c’est dur parceque tu n’es pas connu, mais à la longue, ç a marche. »
L’association Puna ora nō Papeete a renouvelé son bureau il y a quelques semaines et a déjà organisé une collecte de vêtements puis une visite de la vallée de Tipaerui il y a deux semaines. D’autres actions sont en cours de préparation telles qu’une rencontre inter-quartiers, des rencontres sportives ou culturelles et d’autres visites-découvertes des vallées de Tahiti. Le nouveau président, Jean Michel Carlson, se réjouit de la réussite des ceux premières actions en faveur de la ville de Papeete dont « il faudrait redynamiser la politique d’animation . »
TP
Les membres de l’association Puna Ora Nō Papeete ont permis à plus d’une centaine de jeunes, parfois accompagnés, d’obtenir toutes les informations pour créer leur entreprise. D’autres, au contraire, étaient venus se renseigner sur les possibilités de carrière au sein de la police nationale par exemple, ou encore au GSMA, Groupement du Service Militaire Adapté.
S’il n’y avait pas foule ce mardi matin, l’évènement était toutefois bien organisé. L’association avait tout prévu : tables, chaises, sono, allant même jusqu’aux bouteilles d’eau et les plats préparés à midi. « C’est normal aussi qu’il n’y a pas beaucoup de gens car c’est la période qui veut ça. On est en vacances et les jeunes sont plutôt dans les districts ou chez eux. » nous a expliqué un des membres chargés d’organiser l’évènement.
Du côté des visiteurs, tous semblaient plutôt très satisfaits. Lana, 22 ans, a obtenu les informations qu’elle recherchait : « Franchement, c’est bien dommage qu’il n’y a pas autant de mobilisation autour de cette association. Moi, en tous les cas, j’ai pu longuement discuter avec le stand du CFPA. Et même si ce n’était pas un intervenant du Centre même qui était là, mais je trouve que les māmā de l’association nous ont bien aidé à leur manière. J’ai pu récupérer des fiches de présentation. » Hiro, 19 ans, avait choisi le stand de la police nationale : « J’aimerai entrer dans la police pour aider les petites gens. Ce forum était le bon moment car on n’ose pas forcément se rendre au commissariat pour poser des questions, tandis qu’ici, c’était plus facile. Je pense que je me présenterai au concours de cadet de la république, puis si je réussis, je tenterai de passer le concours pour être gardien de la paix. Je ne sais pas encore, mais il faut voir… »
Le stand de l’ADIE, Association au Droit à l’Initiative Economique, a reçu les porteurs de projets. Spécialisés dans l’accompagnement des plus démunis, les deux agents ont su orienter chaque visiteur désireux de travailler à son compte. Ingrid, de Pira’e était ravie de son entretien : « Honnêtement, je pense ouvrir ma micro-entreprise de plats à emporter. Ça va être dur et long, mais si on fait bien les choses, et si en plus l’ADIE peut m’accompagner, c’est réalisable. Donc, je veux me lancer. »
L’un des stands qui aura obtenu le plus de succès fut celui du CMA, Centre des Métiers d’Art, fièrement représentés par les élèves de 3ème année. Des garçons et des filles qui ont acquis une certaine dextérité au fil de leur temps d’apprentissage. Accompagné de leur moniteur d’atelier de sculpture et de gravure, Roger Tetuira a voulu adresser un message direct à la nouvelle génération : « Si vous ne trouvez pas de travail, il faut rentrer dans l’artisanat. C’est vrai que l’on ne gagne pas énormément, mais tu peux te nourrir avec ce métier. Au commencement, c’est dur parceque tu n’es pas connu, mais à la longue, ç a marche. »
L’association Puna ora nō Papeete a renouvelé son bureau il y a quelques semaines et a déjà organisé une collecte de vêtements puis une visite de la vallée de Tipaerui il y a deux semaines. D’autres actions sont en cours de préparation telles qu’une rencontre inter-quartiers, des rencontres sportives ou culturelles et d’autres visites-découvertes des vallées de Tahiti. Le nouveau président, Jean Michel Carlson, se réjouit de la réussite des ceux premières actions en faveur de la ville de Papeete dont « il faudrait redynamiser la politique d’animation . »
TP
Tau’ara’aparau nō te ‘ohipa i Pape’ete : ha’amaura taiete iti a ore ra e fa’atōro’ara’a
Fa’atupu iho ra te tā’atira’a Puna Ora Nō Pape’ete i tetahi tau’ara’aparau nō te parau o te ‘ohipa i teie mahana piti 17 nō tētepa, mais i te hora īva tae atu i te hora toru i te pae avatea, i te Fare Tū’aro Rau ‘Āteivi ( i mua noa i te fare ha’api’ira’a tuarua nō Pōmare Maha). Rau mau piha ‘ohipa a te hau o tei ‘āmui mai i roto i teie fa’anahora’a. ‘Ua fa’ari’i hia tetahi mau taure’are’a o tei nu’u mai marū noa mai, mea pūai ra i te mana’o hi’o ātea i tā rātou fā.
‘Aua’e maōti teie tā’atira’a Puna Ora Nō Pape’ete i noa’a mai i tā vētahi mau taure’are’a mau ha’amaramarama hau roa atu ini’a i te huru fa’anahora’a nō te ha’amau i tā rātou taiete. ‘Āre’a, ‘ua ‘ite ato’a hia tetahi o rātou o tei haere mai e fa’aro’o i te mau ti’a o te ‘āua mūto’i , nā reira atoa tō te pū fa’ehau fa’atōro’ara’a pi’i hia GSMA.
Noa atu ā ‘aita i rahi te ta’ata i haere mai i teie ihoa mahana piti , ‘ua pāpū ra teie ‘ohipa i te fa’aineinera’a hia. Ta’a ‘ē noa i t mau mea ato’a : te mau ‘aira’amā’a, te mau pārahira’a, te ‘upa, tae roa atu i te mau mohina pape ‘e te mā’a. « ‘Aita ihoa i rahi te ta’ata tei haere mai, nō te mea e tau fa’afa’a’eara’a ‘ohipa teie, tei roto ihoa ïa te mau taure’are’a i roto i te mau mata’eina’a ». o tā te mau mero nō teie tā’atira’a i hā’apāpū mai.
‘Āre’a ra i te pae o te mau ta’ata tei ‘āmui mai, ‘ua manuia i tō tere. Hō’ē hi’ora’a, ‘ua noa’a tā Lana, 22 matahiti, mau ha’amaramarama i tītau hia e ana : « Te parau mau, ‘a hani ho’i mea rahi a’e te ta’ata tei haere mai nō te tauturu i teie tā’atira’a. Nō’u nei ra, ‘ua fa’a’ea maoro vau i te ‘aira’amā’a o te pū CFPA. Noatu ā ‘e ‘ere nā tetahi ti’a mau nō taua pu ra tei fa’ari’i mai, ‘ua ‘ite ra teie mau māmā nō te tā’atira’a i te fa’a’ana’anatae īa ‘u, i te mea noa i mara’a īa rātou. ‘Ua ‘ohi ato’a mai vau i te mau ‘api fa’aha’amaramaramara’a. » ‘O Hiro, ‘ua huri atu ‘oia i tō na mata i te ‘aira’amā’a o te mūto’i : « Tē ‘ōpua nei au i te amo i teie tōro’a nō te pāruru i te feiā paruparu. Topa maita’i teie fārereira’a nō te mea ‘e ‘ere i te mea ‘ōhie nō te haere i te ‘āua mūto’i nō te ani haere i te mau ha’amaramaramara’a, i’ō nei ra, mea huru ‘ohie ri’i. E ‘ō ato’a paha vau i roto i te tāta’ura’a mūto’i nō te mau teina a te hau repupirita, i muri mai, mai i te peu e manuia noa atu vau, e horo atu ïa vau i roto i te tāta’ura’a fa’atōro’ara’a mūtoi. ‘Aita ra vau i tae atu i reira, te i te huru noa. … »
‘Aita ato’a te ‘aira’amā’a nō te tā’atira’a ADIE i ‘ere noa a’e i te ta’ata. ‘Ua ‘ite tātou, mea aravihī ihoa tā na mau mero i te arata’i ‘e te ‘āpe’e i te mau ta’ata e hia’ai nei i te rave i te ‘ohipa nō rātou iho. Hōpe i te ‘oa’oa tō Ingrid, e pōti’i nō Pira’e roa mai « Pēnei a’e paha, e ha’amau vau i tā’u taiete iti ho’ora’a mā’a. Parau mau, mea ātea fa’ahou ā ite ‘ē’a, teie ra, mai i te peu, e fa’anaho maita’i ‘oe i tā ‘oe ‘ohipa, e mai te pau ato’a e ‘āpe’e mai te pū ADIE īa’u, e manuia ihoa. Nō reira, hīna’aro vau e tāmata.»
I roto pū i teie mau ‘aira’amā’a, hō’ē o tei manuia maita’i, i ha’apa’o hia e te pū CMA, te Pū ha'api'ira'a tōro'a rima 'ī, i ti’a hia mai e te mai piahī nō te mau piha piti ‘e toru matahiti. I roto i taua tau ha’api’ira’a ra, ‘ua pāpū roa i te re ima i te tarai i te ra’au, i te nana’o ‘e te pāpa’i. Nā Roger Tetuira, tō rātou ti’a rauti nei i te ‘ohipa nāna’o e te pa’ora’a e arata’i nei i nā feiā ‘āpī nei, teie tā na pi’ira’a i te mau taure’are’a : « Mai te peu ‘aita e noa’a i tā ‘outou ‘ohipa, a rave i te ‘ohipa rima ‘ī. ‘E ‘ere ihoa i te mea moni roa, teie ra, ‘e ora ihoa ‘outou i teie tōro’a. I te ha’amatara’a, meau huru pa’ari ri’i nō te mea ‘aitiā ‘oe i mātau hia atu ra, i muri mai ra, ‘e manuia. »
Nō fa’a’āpī noa mai ra te tā’atira’a Puna Ora nō Pape’ete i tā na mau mero, i fa’atupu ai rātou i tetahi fa’ari’ira’a ‘ahu, tae noa atu i te hō’ē tere ori haerera’a i te ‘āfa’a nō Tīpaeru’i, a piti hepetoma i teienei. Te vai atu ra, mai i tetahi fārerera’a o te mau āroa, mau fārereira’a ato’a i te pae’au tū’aro a ore ra o te hīro’a tumu, ‘e tetahi atu ā tere heheura’a i te mau peho nō Tahiti. Te ‘oa’oa nei te ‘ā’au o te peretiteni nō teie tā’atira’a, o Jean Michel Carlson, nō te mau tuha’a fa’anahora’a e piti tei rave hia i Papeete « nō te mea, e ti’a ‘ia ha’ape’e ri’i i te mau fa’anahora’a fa’a’ana’anataera’a a te ‘oire. »
TP
Fa’atupu iho ra te tā’atira’a Puna Ora Nō Pape’ete i tetahi tau’ara’aparau nō te parau o te ‘ohipa i teie mahana piti 17 nō tētepa, mais i te hora īva tae atu i te hora toru i te pae avatea, i te Fare Tū’aro Rau ‘Āteivi ( i mua noa i te fare ha’api’ira’a tuarua nō Pōmare Maha). Rau mau piha ‘ohipa a te hau o tei ‘āmui mai i roto i teie fa’anahora’a. ‘Ua fa’ari’i hia tetahi mau taure’are’a o tei nu’u mai marū noa mai, mea pūai ra i te mana’o hi’o ātea i tā rātou fā.
‘Aua’e maōti teie tā’atira’a Puna Ora Nō Pape’ete i noa’a mai i tā vētahi mau taure’are’a mau ha’amaramarama hau roa atu ini’a i te huru fa’anahora’a nō te ha’amau i tā rātou taiete. ‘Āre’a, ‘ua ‘ite ato’a hia tetahi o rātou o tei haere mai e fa’aro’o i te mau ti’a o te ‘āua mūto’i , nā reira atoa tō te pū fa’ehau fa’atōro’ara’a pi’i hia GSMA.
Noa atu ā ‘aita i rahi te ta’ata i haere mai i teie ihoa mahana piti , ‘ua pāpū ra teie ‘ohipa i te fa’aineinera’a hia. Ta’a ‘ē noa i t mau mea ato’a : te mau ‘aira’amā’a, te mau pārahira’a, te ‘upa, tae roa atu i te mau mohina pape ‘e te mā’a. « ‘Aita ihoa i rahi te ta’ata tei haere mai, nō te mea e tau fa’afa’a’eara’a ‘ohipa teie, tei roto ihoa ïa te mau taure’are’a i roto i te mau mata’eina’a ». o tā te mau mero nō teie tā’atira’a i hā’apāpū mai.
‘Āre’a ra i te pae o te mau ta’ata tei ‘āmui mai, ‘ua manuia i tō tere. Hō’ē hi’ora’a, ‘ua noa’a tā Lana, 22 matahiti, mau ha’amaramarama i tītau hia e ana : « Te parau mau, ‘a hani ho’i mea rahi a’e te ta’ata tei haere mai nō te tauturu i teie tā’atira’a. Nō’u nei ra, ‘ua fa’a’ea maoro vau i te ‘aira’amā’a o te pū CFPA. Noatu ā ‘e ‘ere nā tetahi ti’a mau nō taua pu ra tei fa’ari’i mai, ‘ua ‘ite ra teie mau māmā nō te tā’atira’a i te fa’a’ana’anatae īa ‘u, i te mea noa i mara’a īa rātou. ‘Ua ‘ohi ato’a mai vau i te mau ‘api fa’aha’amaramaramara’a. » ‘O Hiro, ‘ua huri atu ‘oia i tō na mata i te ‘aira’amā’a o te mūto’i : « Tē ‘ōpua nei au i te amo i teie tōro’a nō te pāruru i te feiā paruparu. Topa maita’i teie fārereira’a nō te mea ‘e ‘ere i te mea ‘ōhie nō te haere i te ‘āua mūto’i nō te ani haere i te mau ha’amaramaramara’a, i’ō nei ra, mea huru ‘ohie ri’i. E ‘ō ato’a paha vau i roto i te tāta’ura’a mūto’i nō te mau teina a te hau repupirita, i muri mai, mai i te peu e manuia noa atu vau, e horo atu ïa vau i roto i te tāta’ura’a fa’atōro’ara’a mūtoi. ‘Aita ra vau i tae atu i reira, te i te huru noa. … »
‘Aita ato’a te ‘aira’amā’a nō te tā’atira’a ADIE i ‘ere noa a’e i te ta’ata. ‘Ua ‘ite tātou, mea aravihī ihoa tā na mau mero i te arata’i ‘e te ‘āpe’e i te mau ta’ata e hia’ai nei i te rave i te ‘ohipa nō rātou iho. Hōpe i te ‘oa’oa tō Ingrid, e pōti’i nō Pira’e roa mai « Pēnei a’e paha, e ha’amau vau i tā’u taiete iti ho’ora’a mā’a. Parau mau, mea ātea fa’ahou ā ite ‘ē’a, teie ra, mai i te peu, e fa’anaho maita’i ‘oe i tā ‘oe ‘ohipa, e mai te pau ato’a e ‘āpe’e mai te pū ADIE īa’u, e manuia ihoa. Nō reira, hīna’aro vau e tāmata.»
I roto pū i teie mau ‘aira’amā’a, hō’ē o tei manuia maita’i, i ha’apa’o hia e te pū CMA, te Pū ha'api'ira'a tōro'a rima 'ī, i ti’a hia mai e te mai piahī nō te mau piha piti ‘e toru matahiti. I roto i taua tau ha’api’ira’a ra, ‘ua pāpū roa i te re ima i te tarai i te ra’au, i te nana’o ‘e te pāpa’i. Nā Roger Tetuira, tō rātou ti’a rauti nei i te ‘ohipa nāna’o e te pa’ora’a e arata’i nei i nā feiā ‘āpī nei, teie tā na pi’ira’a i te mau taure’are’a : « Mai te peu ‘aita e noa’a i tā ‘outou ‘ohipa, a rave i te ‘ohipa rima ‘ī. ‘E ‘ere ihoa i te mea moni roa, teie ra, ‘e ora ihoa ‘outou i teie tōro’a. I te ha’amatara’a, meau huru pa’ari ri’i nō te mea ‘aitiā ‘oe i mātau hia atu ra, i muri mai ra, ‘e manuia. »
Nō fa’a’āpī noa mai ra te tā’atira’a Puna Ora nō Pape’ete i tā na mau mero, i fa’atupu ai rātou i tetahi fa’ari’ira’a ‘ahu, tae noa atu i te hō’ē tere ori haerera’a i te ‘āfa’a nō Tīpaeru’i, a piti hepetoma i teienei. Te vai atu ra, mai i tetahi fārerera’a o te mau āroa, mau fārereira’a ato’a i te pae’au tū’aro a ore ra o te hīro’a tumu, ‘e tetahi atu ā tere heheura’a i te mau peho nō Tahiti. Te ‘oa’oa nei te ‘ā’au o te peretiteni nō teie tā’atira’a, o Jean Michel Carlson, nō te mau tuha’a fa’anahora’a e piti tei rave hia i Papeete « nō te mea, e ti’a ‘ia ha’ape’e ri’i i te mau fa’anahora’a fa’a’ana’anataera’a a te ‘oire. »
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Forum de l'emploi de l'association Puna Ora nō Pape'ete.
