Tahiti, le 17 avril 2024 - Cinq ans après le premier volume, Valérie Muller et Anabel Montenot-Robert signent FlexiFood 2 qu'elles dédicaceront ce samedi de 9 heures à midi à Odyssey. Un second livre axé sur l'alimentation “anti-inflammatoire”, une cuisine naturelle et de “bon sens” que nous présente ce duo passionné et complémentaire. La première mettant en éveil nos papilles avec 120 recettes toujours aussi saines que gourmandes, et la seconde qui sublime en images les recettes de cet ouvrage publié Au Vent des îles.
“Ce n'est pas parce qu'il faut manger sainement qu'il faut manger triste.” C'est ainsi que nous reçoit Valérie Muller ce mercredi matin avec sa complice Anabel Montenot-Robert pour une dégustation qui débute par une virgin sangria aux framboises. Une conférence de presse gourmande pour nous présenter leur nouveau livre, FlexiFood 2, toujours dédié à une alimentation “healthy”.
Une cuisine “familiale” et “de tous les jours” qui revient finalement aux savoir-faire de nos mamans et nos grands-mères. C'est d'ailleurs en les observant que Valérie Muller a pris goût à la cuisine. Une passion qu'elle a transmise à ses enfants et qu'elle aime partager avec tout le monde. Après FlexiFood 1 elle avait d'ailleurs mis en place des ateliers qui avaient très bien marché avant d'être stoppés dans leur élan par la crise sanitaire. Des ateliers de six à sept personnes qu'elle reprendra dès le mois de septembre.
“Slow food” plutôt que le “fast food”
Se retrouver autour d'une bonne table, se parler, déguster, et surtout, prendre le temps, c'est la philosophie de la cuisine qu'elle défend. En opposition aux “fastfood” qui prolifèrent et qui sont souvent synonymes de “junk food”, la “slow food” qui caractérise Valérie Muller permet d'allier gourmandise avec bien se nourrir en choisissant les bons produits pour prendre soin de sa santé.
Sans vouloir être dogmatique – surtout pas – Valérie Muller souhaite partager ses expériences. “Je suis mon propre cobaye”, explique-t-elle, confiant être passé par tous les types de comportements alimentaires. Après avoir notamment été végétarienne pendant quatre ans, elle est aujourd'hui flexitarienne. Autrement dit, elle a réintroduit la viande et le poisson dans son alimentation en en limitant la quantité et en privilégiant les légumes secs et les féculents complets, tout en bannissant évidemment tous les produits transformés.
“Ce n'est pas parce qu'il faut manger sainement qu'il faut manger triste.” C'est ainsi que nous reçoit Valérie Muller ce mercredi matin avec sa complice Anabel Montenot-Robert pour une dégustation qui débute par une virgin sangria aux framboises. Une conférence de presse gourmande pour nous présenter leur nouveau livre, FlexiFood 2, toujours dédié à une alimentation “healthy”.
Une cuisine “familiale” et “de tous les jours” qui revient finalement aux savoir-faire de nos mamans et nos grands-mères. C'est d'ailleurs en les observant que Valérie Muller a pris goût à la cuisine. Une passion qu'elle a transmise à ses enfants et qu'elle aime partager avec tout le monde. Après FlexiFood 1 elle avait d'ailleurs mis en place des ateliers qui avaient très bien marché avant d'être stoppés dans leur élan par la crise sanitaire. Des ateliers de six à sept personnes qu'elle reprendra dès le mois de septembre.
“Slow food” plutôt que le “fast food”
Se retrouver autour d'une bonne table, se parler, déguster, et surtout, prendre le temps, c'est la philosophie de la cuisine qu'elle défend. En opposition aux “fastfood” qui prolifèrent et qui sont souvent synonymes de “junk food”, la “slow food” qui caractérise Valérie Muller permet d'allier gourmandise avec bien se nourrir en choisissant les bons produits pour prendre soin de sa santé.
Sans vouloir être dogmatique – surtout pas – Valérie Muller souhaite partager ses expériences. “Je suis mon propre cobaye”, explique-t-elle, confiant être passé par tous les types de comportements alimentaires. Après avoir notamment été végétarienne pendant quatre ans, elle est aujourd'hui flexitarienne. Autrement dit, elle a réintroduit la viande et le poisson dans son alimentation en en limitant la quantité et en privilégiant les légumes secs et les féculents complets, tout en bannissant évidemment tous les produits transformés.
Ne rien s'interdire mais mieux choisir
credit photo Anabel Montenot-Robert
“J'ai testé énormément de produits alimentaires”, dit-elle, après avoir subi une opération urgente de sa vésicule biliaire. “Je l'ai créée moi-même par rapport à un mauvais comportement alimentaire”, poursuit-elle, et c'est le point de départ d'ailleurs de cette aventure culinaire dans laquelle elle s'est lancée. “Si on peut se mettre dans le rouge, on peut se remettre dans le vert”, sourit-elle, mettant toutefois en garde contre le “jusqu'au-boutisme”. Il ne faut rien s'interdire, mais faire les choix appropriés en fonction de chacun.
Car on n'est pas tous fait dans le même moule et notre corps n'a pas nécessairement les mêmes besoins. En revanche, il y a un dénominateur commun : une alimentation naturelle et saine qu'on ne transforme pas avec des cuissons trop marquées permet de lutter contre l'inflammation chronique qui fait le lit de toutes les maladies dites de civilisation comme l'obésité, le diabète, ou encore l'hypertension artérielle pour ne citer qu'elles.
On mange d'abord avec les yeux
C'est pourquoi elle a souhaité mettre l'accent, dans ce deuxième opus, sur l'alimentation “anti-inflammatoire”. Une cuisine naturelle et “de bons sens” avec des recettes qui proposent moins de glucides raffinés et moins de sucre évidemment. Pour les amoureux des desserts pas de panique : Vous pourrez trouver votre bonheur à la fin du livre à la rubrique “Sucre, mon doux ennemi”. Un livre très complet avec des recettes inventives et faciles à faire si “on suit à la lettre les instructions”. Si elle concède que manger sain veut malheureusement souvent dire manger plus cher, ces recettes restent abordables pour la plupart.
Enfin, comme le premier ouvrage, et parce qu'on mange d'abord avec les yeux, ce deuxième volume met l'eau à la bouche rien qu'en le feuilletant, grâce aux photos d'Anabel Montenot-Robert, designer graphique de son métier. Elle a l'œil et le talent pour sublimer les petits plats concoctés par sa complice.
Pas de volume 3 en perspective, en revanche. Valérie Muller ne veut pas s'arrêter là mais elle réfléchit davantage à un autre format, comme des petits recueils d'une trentaine de recettes qui seraient déclinés par thème. À suivre donc. En attendant, dédicace ce samedi à Odyssey de 9 heures à midi. Et le duo continue de nourrir sa page Facebook FlexiFood sur laquelle vous pouvez vous rendre si vous voulez par exemple vous inscrire pour les prochains ateliers.
Car on n'est pas tous fait dans le même moule et notre corps n'a pas nécessairement les mêmes besoins. En revanche, il y a un dénominateur commun : une alimentation naturelle et saine qu'on ne transforme pas avec des cuissons trop marquées permet de lutter contre l'inflammation chronique qui fait le lit de toutes les maladies dites de civilisation comme l'obésité, le diabète, ou encore l'hypertension artérielle pour ne citer qu'elles.
On mange d'abord avec les yeux
C'est pourquoi elle a souhaité mettre l'accent, dans ce deuxième opus, sur l'alimentation “anti-inflammatoire”. Une cuisine naturelle et “de bons sens” avec des recettes qui proposent moins de glucides raffinés et moins de sucre évidemment. Pour les amoureux des desserts pas de panique : Vous pourrez trouver votre bonheur à la fin du livre à la rubrique “Sucre, mon doux ennemi”. Un livre très complet avec des recettes inventives et faciles à faire si “on suit à la lettre les instructions”. Si elle concède que manger sain veut malheureusement souvent dire manger plus cher, ces recettes restent abordables pour la plupart.
Enfin, comme le premier ouvrage, et parce qu'on mange d'abord avec les yeux, ce deuxième volume met l'eau à la bouche rien qu'en le feuilletant, grâce aux photos d'Anabel Montenot-Robert, designer graphique de son métier. Elle a l'œil et le talent pour sublimer les petits plats concoctés par sa complice.
Pas de volume 3 en perspective, en revanche. Valérie Muller ne veut pas s'arrêter là mais elle réfléchit davantage à un autre format, comme des petits recueils d'une trentaine de recettes qui seraient déclinés par thème. À suivre donc. En attendant, dédicace ce samedi à Odyssey de 9 heures à midi. Et le duo continue de nourrir sa page Facebook FlexiFood sur laquelle vous pouvez vous rendre si vous voulez par exemple vous inscrire pour les prochains ateliers.