PAPEETE, 19 février 2016 - Les accords signés à la mi-journée entre les syndicats et la direction du groupe La Dépêche mettent un terme au mouvement de grève très suivi entamé jeudi matin.
"Nous sommes satisfaits : la direction a fait des efforts conséquents" s’est réjoui un représentant syndical à la mi-journée vendredi, peu après la signature des deux protocoles d’accord qui ont mis un terme à la grève dans le groupe La Dépêche. Depuis jeudi zéro heure le fonctionnement des sept sociétés du groupe de presse tahitien était paralysé à l’appel des centrales syndicales A Ti'a i Mua, CSIP, CSTP-FO, Otahi et O Oe to oe rima.
Imprimé mercredi soir, le quotidien de la Fautaua a pu être distribué jeudi. Vendredi, en revanche, le journal n’était pas en kiosque, plombé par un mouvement de grève "suivi globalement à 80%", selon les syndicats et "exactement 28 personnes sur 96", soit près de 30%, pour la direction.
Jeudi en fin de matinée, à l’issue d'intenses négociations, les syndicats ont notamment obtenu le versement d’une dotation complémentaire réclamée depuis plusieurs mois en faveur du comité d’entreprise du groupe ; le maintien des avantages acquis en faveur des employés recasés dans les nouvelles filiales du groupe ; un plan d’incitation pour les départs volontaires à la retraite avec 12 mois de salaire en indemnité de départ, au lieu des quatre prévus par la convention collective ; et l’engagement de la direction de présenter à terme un plan stratégique de développement.
"Nous sommes parfaitement satisfaits", a déclaré Pierre Marchesini, directeur de la publication en soulignant que les protocoles d'accord signés jeudi respectaient la convention collective de la presse et de l'imprimerie.
"Nous sommes satisfaits : la direction a fait des efforts conséquents" s’est réjoui un représentant syndical à la mi-journée vendredi, peu après la signature des deux protocoles d’accord qui ont mis un terme à la grève dans le groupe La Dépêche. Depuis jeudi zéro heure le fonctionnement des sept sociétés du groupe de presse tahitien était paralysé à l’appel des centrales syndicales A Ti'a i Mua, CSIP, CSTP-FO, Otahi et O Oe to oe rima.
Imprimé mercredi soir, le quotidien de la Fautaua a pu être distribué jeudi. Vendredi, en revanche, le journal n’était pas en kiosque, plombé par un mouvement de grève "suivi globalement à 80%", selon les syndicats et "exactement 28 personnes sur 96", soit près de 30%, pour la direction.
Jeudi en fin de matinée, à l’issue d'intenses négociations, les syndicats ont notamment obtenu le versement d’une dotation complémentaire réclamée depuis plusieurs mois en faveur du comité d’entreprise du groupe ; le maintien des avantages acquis en faveur des employés recasés dans les nouvelles filiales du groupe ; un plan d’incitation pour les départs volontaires à la retraite avec 12 mois de salaire en indemnité de départ, au lieu des quatre prévus par la convention collective ; et l’engagement de la direction de présenter à terme un plan stratégique de développement.
"Nous sommes parfaitement satisfaits", a déclaré Pierre Marchesini, directeur de la publication en soulignant que les protocoles d'accord signés jeudi respectaient la convention collective de la presse et de l'imprimerie.