Après l’adoption de ce projet de loi à Samoa, le Président a néanmoins souhaité marquer un temps d’arrêt, en fixant une pause à la mise en œuvre de ce projet de casino, dont les recettes à venir sont censée financer des projets à caractère sportifs et pur la jeunesse.
Néanmoins, le ministre de tutelle, Tuilaepa Sa’ilele Malielegaoi, a annoncé que les études se poursuivraient, maintenant que le principe est entériné, afin de déterminer quel type de projet et dans quelles conditions de fonctionnement serait préférable et le plus adapté.
Le Conseil National des Églises samoanes s’était élevé contre le principe de casinos dans le pays, en invoquant aussi d’éventuelles répercussions aux plans social et économique pour les populations locales.
L’une des solutions qui pourrait être privilégiées pourrait être, tout comme c’est déjà le cas dans plusieurs États océaniens où les casinos sont implantés, de restreindre l’accès aux locaux tout en rendant ces installations disponibles aux touristes.
À Fidji, jeudi, Aiyaz Sayed-Khaiyum, Attorney General (chef des services juridiques du gouvernement) et également ministre du tourisme, a lui aussi lancé un appel d’offres pour la mise en place de ce qui sera le premier casino de l’archipel.
Là aussi, ce sont les avantages au plan touristique qui sont mis en avant.
Dans le cas spécifique de Fidji, M. Sayed-Khaiyum a évoqué, au cours d’une conférence de presse, la nécessité, selon lui, de donner un nouveau coup de pouce à « l’attractivité » de Fidji auprès de ses marchés sources, avec un accent particulier ces dernières années sur le cœur de cible : l’Asie, y compris la Chine et la Corée du Sud.
Or, a-t-il expliqué, pour les touristes de ce pays, le jeu est une composante importante de la notion de loisirs et de vacances.
Il a aussi évoqué comme cibles potentielles les marchés européen et indien, ainsi que Nord-américain.
Le chef du gouvernement fidjien, le Contre-amiral Franck Bainimarama, a tenu, vendredi, à souligner qu’une large partie des fonds collectés dans ce genre d’établissement seraient redistribués vers des projets consacrés à la lutte contre la pauvreté et que pour le moment, une seule licence serait octroyé pour un seul établissement, qui serait très probablement situé au cœur du centre touristique de Fidji, autour de l’aéroport international de Nadi (Ouest de l’île principale de Viti Levu).
Selon le Contre-amiral, un texte de loi régissant ce genre d’activité devrait prochainement être élaboré et il comporterait aussi des dispositions et des garde-fous réservant l’entrée aux seuls touristes.
En Papouasie-Nouvelle-Guinée, la société de téléphonie mobile a elle aussi annoncé, dans la même veine, cette semaine, une toute nouvelle activité, sous forme de services offerts à ses clients : la possibilité, via son appareil, de participer à une loterie « en ligne », en partenariat avec la société locale PNG Lotto Ltd.
Le système fonctionne par SMS contenant une série de six numéros représentant le choix du joueur, qui reçoit ensuite un reçu, moyennant un coût de l’équivalent d’un dollar et soixante cents US.
Là aussi, la société a promis de reverser dix pour cent des recettes de ces activités à des projets publics à caractère sportif, pour la jeunesse.
En théorie, la participation à ces jeux est réservée aux personnes âgées de plus de dix huit ans, clause qui est rappelée dans le SMS.
Le premier tirage aura lieu le 6 novembre 2010, avec comme prix annoncé un million de Kina (soit environ 265.000 euros).
pad
Néanmoins, le ministre de tutelle, Tuilaepa Sa’ilele Malielegaoi, a annoncé que les études se poursuivraient, maintenant que le principe est entériné, afin de déterminer quel type de projet et dans quelles conditions de fonctionnement serait préférable et le plus adapté.
Le Conseil National des Églises samoanes s’était élevé contre le principe de casinos dans le pays, en invoquant aussi d’éventuelles répercussions aux plans social et économique pour les populations locales.
L’une des solutions qui pourrait être privilégiées pourrait être, tout comme c’est déjà le cas dans plusieurs États océaniens où les casinos sont implantés, de restreindre l’accès aux locaux tout en rendant ces installations disponibles aux touristes.
À Fidji, jeudi, Aiyaz Sayed-Khaiyum, Attorney General (chef des services juridiques du gouvernement) et également ministre du tourisme, a lui aussi lancé un appel d’offres pour la mise en place de ce qui sera le premier casino de l’archipel.
Là aussi, ce sont les avantages au plan touristique qui sont mis en avant.
Dans le cas spécifique de Fidji, M. Sayed-Khaiyum a évoqué, au cours d’une conférence de presse, la nécessité, selon lui, de donner un nouveau coup de pouce à « l’attractivité » de Fidji auprès de ses marchés sources, avec un accent particulier ces dernières années sur le cœur de cible : l’Asie, y compris la Chine et la Corée du Sud.
Or, a-t-il expliqué, pour les touristes de ce pays, le jeu est une composante importante de la notion de loisirs et de vacances.
Il a aussi évoqué comme cibles potentielles les marchés européen et indien, ainsi que Nord-américain.
Le chef du gouvernement fidjien, le Contre-amiral Franck Bainimarama, a tenu, vendredi, à souligner qu’une large partie des fonds collectés dans ce genre d’établissement seraient redistribués vers des projets consacrés à la lutte contre la pauvreté et que pour le moment, une seule licence serait octroyé pour un seul établissement, qui serait très probablement situé au cœur du centre touristique de Fidji, autour de l’aéroport international de Nadi (Ouest de l’île principale de Viti Levu).
Selon le Contre-amiral, un texte de loi régissant ce genre d’activité devrait prochainement être élaboré et il comporterait aussi des dispositions et des garde-fous réservant l’entrée aux seuls touristes.
En Papouasie-Nouvelle-Guinée, la société de téléphonie mobile a elle aussi annoncé, dans la même veine, cette semaine, une toute nouvelle activité, sous forme de services offerts à ses clients : la possibilité, via son appareil, de participer à une loterie « en ligne », en partenariat avec la société locale PNG Lotto Ltd.
Le système fonctionne par SMS contenant une série de six numéros représentant le choix du joueur, qui reçoit ensuite un reçu, moyennant un coût de l’équivalent d’un dollar et soixante cents US.
Là aussi, la société a promis de reverser dix pour cent des recettes de ces activités à des projets publics à caractère sportif, pour la jeunesse.
En théorie, la participation à ces jeux est réservée aux personnes âgées de plus de dix huit ans, clause qui est rappelée dans le SMS.
Le premier tirage aura lieu le 6 novembre 2010, avec comme prix annoncé un million de Kina (soit environ 265.000 euros).
pad