SUVA, mardi 20 septembre 2011 (Flash d’Océanie) – Le gouvernement fidjien a accueilli, coup sur coup, ces derniers jours, deux missions commerciales exploratoires, l’un des États-Unis et l’autre du Canada.
La délégation d’investisseurs américains participait à un séminaire organisé dans un hôtel de la capitale Suva par le gouvernement de l’archipel.
Shaheen Ali, directeur de cabinet au ministère du commerce et de l’industrie, a rappelé à cette occasion le potentiel « prometteur » pour les entreprises fidjiennes à exporter vers les marchés nord-américains.
La valeur annoncée par le gouvernement fidjien, pour ces exportations fidjiennes vers les États-Unis, est pour 2010 de quelque 325 millions de dollars fidjiens (134 millions d’euros).
Les secteurs sur lesquels Fidji compte insister dans les mois à venir, notamment pour des projets « destination d’investissement » de création d’entreprises mixtes, sont notamment ceux de l’agriculture, du tourisme et des énergies renouvelables, a précisé le responsable, dans un créneau plutôt haut de gamme.
Il a aussi souligné que les formalités de création d’entreprises avaient été singulièrement allégées ces dernières années, dans le cadre d’un plan de réforme visant à augmenter le capital sympathie de cette destination.
Concernant le Canada, c’est une délégation conduite par un ancien résidant indo-fidjien, désormais établi au Canada, qui se trouvait dans l’archipel la semaine dernière, avec des projets d’investissement et toujours dans le cadre d’un séminaire consacré aux échanges entre Fidji et le Canada.
Les acteurs économiques canadiens ont évoqué, à l’issue de leur séjour, une économie « robuste ».
Intervenant brièvement lors de ce séminaire, le Contre-amiral Premier ministre Franck Bainimarama (qui a pris le pouvoir à la suite de son putsch du 5 décembre 2006) a aussi rappelé que depuis 2009, les anciens citoyens fidjiens ayant émigré dans un autre pays pouvaient réacquérir leur national, du fait d’une disposition prise en avril 2009 rendant possible, pour la première fois, la double nationalité.
Concernant le seul Canada, cette communauté d’anciens citoyens de Fidji ayant émigré dans ce pays est actuellement estimée à une soixantaine de milliers de personnes.
Récemment aussi, Fidji a organisé des séminaires similaires consacrés à ses échanges commerciaux à venir avec la Chine ou encore la Thaïlande.
pad
La délégation d’investisseurs américains participait à un séminaire organisé dans un hôtel de la capitale Suva par le gouvernement de l’archipel.
Shaheen Ali, directeur de cabinet au ministère du commerce et de l’industrie, a rappelé à cette occasion le potentiel « prometteur » pour les entreprises fidjiennes à exporter vers les marchés nord-américains.
La valeur annoncée par le gouvernement fidjien, pour ces exportations fidjiennes vers les États-Unis, est pour 2010 de quelque 325 millions de dollars fidjiens (134 millions d’euros).
Les secteurs sur lesquels Fidji compte insister dans les mois à venir, notamment pour des projets « destination d’investissement » de création d’entreprises mixtes, sont notamment ceux de l’agriculture, du tourisme et des énergies renouvelables, a précisé le responsable, dans un créneau plutôt haut de gamme.
Il a aussi souligné que les formalités de création d’entreprises avaient été singulièrement allégées ces dernières années, dans le cadre d’un plan de réforme visant à augmenter le capital sympathie de cette destination.
Concernant le Canada, c’est une délégation conduite par un ancien résidant indo-fidjien, désormais établi au Canada, qui se trouvait dans l’archipel la semaine dernière, avec des projets d’investissement et toujours dans le cadre d’un séminaire consacré aux échanges entre Fidji et le Canada.
Les acteurs économiques canadiens ont évoqué, à l’issue de leur séjour, une économie « robuste ».
Intervenant brièvement lors de ce séminaire, le Contre-amiral Premier ministre Franck Bainimarama (qui a pris le pouvoir à la suite de son putsch du 5 décembre 2006) a aussi rappelé que depuis 2009, les anciens citoyens fidjiens ayant émigré dans un autre pays pouvaient réacquérir leur national, du fait d’une disposition prise en avril 2009 rendant possible, pour la première fois, la double nationalité.
Concernant le seul Canada, cette communauté d’anciens citoyens de Fidji ayant émigré dans ce pays est actuellement estimée à une soixantaine de milliers de personnes.
Récemment aussi, Fidji a organisé des séminaires similaires consacrés à ses échanges commerciaux à venir avec la Chine ou encore la Thaïlande.
pad
