CITÉ DU VATICAN, 8 mai 2014 - Le Gouvernorat (administration) de la Cité du Vatican a lancé une mise en garde jeudi contre des sociétés qui proposent de faux contrats d'embauche dans le petit Etat, appelant à dénoncer les escrocs.
"Des sociétés font signer de faux contrats en vue d'une embauche auprès du Gouvernorat et auprès de certaines sociétés fournissant des services à l'Etat du Vatican", a dénoncé le Gouvernorat dans un communiqué qui fait état de "dénonciations préoccupantes", mais ne cite pas de noms.
"Les procédures d'embauche n'ont jamais été confiées à des sociétés tierces, et, en ce moment, aucune embauche n'est prévue" au Vatican, a tenu a souligner le Gouvernorat qui s'est déclaré indigné que "la bonne foi de tant de jeunes" soit abusée "surtout en cette période de crise".
Le Gouvernorat a invité ceux qui sont victimes de ces escroqueries à dénoncer ces faits aux "autorités compétentes italiennes", en adressant les copies de leurs plaintes à la Gendarmerie vaticane.
La période est à l'austérité dans le plus petit Etat du monde, où les heures supplémentaires et les embauches ont été gelées par le pape François. Ce qui crée une certaine tension sociale parmi les quelque 3.000 employés.
L'élection du pape argentin et son succès populaire ont pourtant entraîné une augmentation de la charge de travail.
"Des sociétés font signer de faux contrats en vue d'une embauche auprès du Gouvernorat et auprès de certaines sociétés fournissant des services à l'Etat du Vatican", a dénoncé le Gouvernorat dans un communiqué qui fait état de "dénonciations préoccupantes", mais ne cite pas de noms.
"Les procédures d'embauche n'ont jamais été confiées à des sociétés tierces, et, en ce moment, aucune embauche n'est prévue" au Vatican, a tenu a souligner le Gouvernorat qui s'est déclaré indigné que "la bonne foi de tant de jeunes" soit abusée "surtout en cette période de crise".
Le Gouvernorat a invité ceux qui sont victimes de ces escroqueries à dénoncer ces faits aux "autorités compétentes italiennes", en adressant les copies de leurs plaintes à la Gendarmerie vaticane.
La période est à l'austérité dans le plus petit Etat du monde, où les heures supplémentaires et les embauches ont été gelées par le pape François. Ce qui crée une certaine tension sociale parmi les quelque 3.000 employés.
L'élection du pape argentin et son succès populaire ont pourtant entraîné une augmentation de la charge de travail.