Marseille, France | AFP | samedi 18/07/2015 - Des niveaux significatifs d'hydrocarbures sont encore enregistrés dans l'atmosphère, quatre jours après les deux explosions suivies d'incendies survenues sur des cuves du site pétrochimique LyondellBasell de Berre-l'Etang, a indiqué AirPACA samedi.
"Les mesures réalisées" (samedi matin) près "du site industriel de Berre confirmaient encore la présence de niveaux significatifs d’hydrocarbures dans l’atmosphère", a souligné l'organisme chargé de la surveillance de la qualité de l'air en Provence-Alpes-Côte d'Azur dans un communiqué.
Les bacs incendiés, qui ne sont plus étanches, laissent échapper dans l'atmosphère des composés volatils, qui ont engendré plus de cent plaintes de riverains : "Des odeurs de gaz continuent à être ressenties par une partie de la population autour du site industriel, mais le nombre de plaintes enregistrées depuis cette nuit a fortement diminué", a précisé AirPACA.
"Selon le site industriel, les actions mises en oeuvre pour étancher et vidanger les bacs d’hydrocarbures, endommagés depuis le sinistre de mardi 14 juillet, sont renforcées pour réduire au maximum les rejets d’hydrocarbures dans l’atmosphère. Une amélioration significative de la situation est attendue dès aujourd’hui", a expliqué l'organisme.
"Compte tenu de la situation météorologique, chaude et ensoleillée, tant que des émissions supplémentaires de composés organiques volatils persistent, elles peuvent induire un pic d’ozone plus intense, aujourd’hui et demain sur les Bouches-du-Rhône et les départements limitrophes", a-t-il souligné, une situation qui perdure depuis quatre jours.
La pollution à l'ozone touche particulièrement la commune d'Aix-en-Provence, avec un indice de qualité de l'air de 8 sur 10 samedi, qui ne devrait s'améliorer que lundi, selon les prévisions d'AirPACA
"Les mesures réalisées" (samedi matin) près "du site industriel de Berre confirmaient encore la présence de niveaux significatifs d’hydrocarbures dans l’atmosphère", a souligné l'organisme chargé de la surveillance de la qualité de l'air en Provence-Alpes-Côte d'Azur dans un communiqué.
Les bacs incendiés, qui ne sont plus étanches, laissent échapper dans l'atmosphère des composés volatils, qui ont engendré plus de cent plaintes de riverains : "Des odeurs de gaz continuent à être ressenties par une partie de la population autour du site industriel, mais le nombre de plaintes enregistrées depuis cette nuit a fortement diminué", a précisé AirPACA.
"Selon le site industriel, les actions mises en oeuvre pour étancher et vidanger les bacs d’hydrocarbures, endommagés depuis le sinistre de mardi 14 juillet, sont renforcées pour réduire au maximum les rejets d’hydrocarbures dans l’atmosphère. Une amélioration significative de la situation est attendue dès aujourd’hui", a expliqué l'organisme.
"Compte tenu de la situation météorologique, chaude et ensoleillée, tant que des émissions supplémentaires de composés organiques volatils persistent, elles peuvent induire un pic d’ozone plus intense, aujourd’hui et demain sur les Bouches-du-Rhône et les départements limitrophes", a-t-il souligné, une situation qui perdure depuis quatre jours.
La pollution à l'ozone touche particulièrement la commune d'Aix-en-Provence, avec un indice de qualité de l'air de 8 sur 10 samedi, qui ne devrait s'améliorer que lundi, selon les prévisions d'AirPACA