Saint-Pétersbourg, Russie | AFP | lundi 03/04/2017 - Dix personnes ont été tuées et de nombreuses autres blessées lundi dans une explosion survenue dans un wagon du métro de Saint-Petersbourg, les autorités russes disant ne pas écarter la piste terroriste.
Le président Vladimir Poutine, qui se trouvait à Saint-Pétersbourg pour participer à une rencontre avec des journalistes russes, a présenté ses condoléances aux victimes lors d'une courte intervention télévisée peu avant une rencontre avec son homologue bélarusse Alexandre Loukachenko.
"Malheureusement, nous avons à commencer notre rencontre avec cet événement tragique. Les causes ne sont pas encore connues et il est encore tôt pour en parler, l'enquête les déterminera", a déclaré M. Poutine.
"Bien sûr, nous étudions toujours toutes les éventualités: accidentelle, criminelle et avant tout une action à caractère terroriste", a-t-il ajouté.
"Selon les premières informations, 10 personnes ont été tuées et 20 blessées", a pour sa part indiqué à l'agence Interfax une source au sein du ministère russe des Situations d'urgence.
"L'explosion a eu lieu dans l'un des wagons. Il y a des victimes", avait indiqué dans un premier temps une source au sein des forces de l'ordre à l'agence publique Ria Novosti.
La totalité des stations du métro ont ont été fermées, selon le service de presse du métro cité par l'agence Interfax, l'explosion ayant eu lieu dans une rame de métro alors qu'elle se trouvait entre deux stations du sud-ouest de Saint-Pétersbourg.
Des enquêteurs se sont rendus sur place pour déterminer les premiers éléments, a annoncé le Parquet de Saint-Pétersbourg dans un communiqué.
Si le Parquet a évoqué une seule explosion, une source au sein des forces de l'ordre citée par Ria Novosti a évoqué "deux explosions d'engins qui ont été actionnés dans des wagons aux stations Sennaïa Plochiad et Tekhnologuitcheski Institout".
Selon cette source, les engins explosifs étaient artisanaux et de faible puissance.
Les premières images diffusées sur les réseaux sociaux et aux télévisions russes montrent une rame de métro soufflée par une explosion, de nombreux voyageurs tentant de sortir des victimes des décombres.
L'organisation Etat islamique avait appelé à frapper la Russie après le début de son intervention en soutien aux forces de Bachar al-Assad en Syrie en septembre 2015.
La Russie avait depuis été victime de plusieurs attaques, mais toutes situées au sein des instables républiques russes du Caucase.
Les services de sécurité russes ont annoncé à plusieurs reprises avoir démantelé des cellules jihadistes qui s'apprêtaient à frapper Moscou et Saint-Pétersbourg.
Le président Vladimir Poutine, qui se trouvait à Saint-Pétersbourg pour participer à une rencontre avec des journalistes russes, a présenté ses condoléances aux victimes lors d'une courte intervention télévisée peu avant une rencontre avec son homologue bélarusse Alexandre Loukachenko.
"Malheureusement, nous avons à commencer notre rencontre avec cet événement tragique. Les causes ne sont pas encore connues et il est encore tôt pour en parler, l'enquête les déterminera", a déclaré M. Poutine.
"Bien sûr, nous étudions toujours toutes les éventualités: accidentelle, criminelle et avant tout une action à caractère terroriste", a-t-il ajouté.
"Selon les premières informations, 10 personnes ont été tuées et 20 blessées", a pour sa part indiqué à l'agence Interfax une source au sein du ministère russe des Situations d'urgence.
"L'explosion a eu lieu dans l'un des wagons. Il y a des victimes", avait indiqué dans un premier temps une source au sein des forces de l'ordre à l'agence publique Ria Novosti.
La totalité des stations du métro ont ont été fermées, selon le service de presse du métro cité par l'agence Interfax, l'explosion ayant eu lieu dans une rame de métro alors qu'elle se trouvait entre deux stations du sud-ouest de Saint-Pétersbourg.
Des enquêteurs se sont rendus sur place pour déterminer les premiers éléments, a annoncé le Parquet de Saint-Pétersbourg dans un communiqué.
Si le Parquet a évoqué une seule explosion, une source au sein des forces de l'ordre citée par Ria Novosti a évoqué "deux explosions d'engins qui ont été actionnés dans des wagons aux stations Sennaïa Plochiad et Tekhnologuitcheski Institout".
Selon cette source, les engins explosifs étaient artisanaux et de faible puissance.
Les premières images diffusées sur les réseaux sociaux et aux télévisions russes montrent une rame de métro soufflée par une explosion, de nombreux voyageurs tentant de sortir des victimes des décombres.
L'organisation Etat islamique avait appelé à frapper la Russie après le début de son intervention en soutien aux forces de Bachar al-Assad en Syrie en septembre 2015.
La Russie avait depuis été victime de plusieurs attaques, mais toutes situées au sein des instables républiques russes du Caucase.
Les services de sécurité russes ont annoncé à plusieurs reprises avoir démantelé des cellules jihadistes qui s'apprêtaient à frapper Moscou et Saint-Pétersbourg.