Le 6 décembre dernier, le conseil d’administration de l’Office des Postes et Télécommunications avait validé une stratégie quinquennale de développement durable qui s’étendra jusqu’en 2018. Cela s’est traduit par la signature, ce mercredi matin, d’une convention avec la Société de l’Environnement Polynésien. Désormais, tous les agents de cette structure publique seront sensibilisés au tri des déchets. L’OPT montre l’exemple.
Faire du Développement Durable, une des actions prioritaires de l’Office des Postes et des Télécommunications, tel est l’objectif de Benjamin Teihotu, directeur général de l’établissement public. L’établissement a déjà engagé un processus d’éco-citoyenneté en y intégrant par exemple les différents prestataires en nettoyage industrielle ou encore la construction de bâtiments écologiques.
Aujourd’hui, une étape supplémentaire a été franchie. En signant une convention de partenariat avec la SEP, l’OPT veut sensibiliser l’ensemble de ses employés, près de 1280 personnes (personnels de Vini, ISS, TNS et Mana compris ), au tri sélectif. Cela concerne aussi les agences présentes dans les îles, sans exception. Pour ces dernières, le concours des communes sera sollicité.
Autant dire que cela constituera une grande révolution dans le quotidien des agents des postes et des télécommunications. L’OPT est l’un des propriétaires immobiliers les plus importants du fenua : 87 agences postales, 210 sites télécoms, 5 sites administratifs, soit un cumul de 48 000 m2 de surfaces construites.
Autre point important dans l’implication de l’OPT dans l’organisation des grands évènements culturels et sportifs du Territoire, désormais toutes les associations qui solliciteront un sponsoring se verront dans l’obligation d’inclure une clause de respect de l’environnement. Ceci, afin de prévenir les nombreuses dégradations souvent constatées sur les lieux des manifestations. Comme l’indique son communiqué de presse, « La volonté de l’OPT s’inscrit avant tout dans une démarche de responsabilisation des organisateurs d’évènement et manifestations en intégrant les principes du Développement Durable (DD), notamment de respect de l’Environnement… »
Pour l’heure, si aucune quantification du tonnage de papiers et autres produits utilisés par l’OPT, n’existe, la direction de l’office tient à préciser que : « …un système de suivi et une logistique particulière seront mis en place afin d’évaluer les rejets de l’ensemble de nos services. Il s’agit surtout de s’assurer que toutes les consignes seront respectées. Bien qu’il s’agisse d’une sensibilisation, nous souhaitons que l’ensemble des employés s’implique afin de rendre toutes les démarches, efficace ! »
Du côté de la SEP, on se félicite de ce partenariat. Benoît Layrle, son directeur explique : « Le fait qu’un établissement public aussi important que celui-ci soit sensibliser à la démarche de « l’éco-responsabilité », nous en sommes évidemment fiers. L’office a tout son rôle à jouer dans cette volonté d’être un exemple pour les autres services publics. Mais, d’une manière plus générale, si les entreprises suivent le mouvement, il est clair que nous baisserons largement la quantité de déchets à enfouir au centre technique, car c’est surtout l’objectif. »
Faire du Développement Durable, une des actions prioritaires de l’Office des Postes et des Télécommunications, tel est l’objectif de Benjamin Teihotu, directeur général de l’établissement public. L’établissement a déjà engagé un processus d’éco-citoyenneté en y intégrant par exemple les différents prestataires en nettoyage industrielle ou encore la construction de bâtiments écologiques.
Aujourd’hui, une étape supplémentaire a été franchie. En signant une convention de partenariat avec la SEP, l’OPT veut sensibiliser l’ensemble de ses employés, près de 1280 personnes (personnels de Vini, ISS, TNS et Mana compris ), au tri sélectif. Cela concerne aussi les agences présentes dans les îles, sans exception. Pour ces dernières, le concours des communes sera sollicité.
Autant dire que cela constituera une grande révolution dans le quotidien des agents des postes et des télécommunications. L’OPT est l’un des propriétaires immobiliers les plus importants du fenua : 87 agences postales, 210 sites télécoms, 5 sites administratifs, soit un cumul de 48 000 m2 de surfaces construites.
Autre point important dans l’implication de l’OPT dans l’organisation des grands évènements culturels et sportifs du Territoire, désormais toutes les associations qui solliciteront un sponsoring se verront dans l’obligation d’inclure une clause de respect de l’environnement. Ceci, afin de prévenir les nombreuses dégradations souvent constatées sur les lieux des manifestations. Comme l’indique son communiqué de presse, « La volonté de l’OPT s’inscrit avant tout dans une démarche de responsabilisation des organisateurs d’évènement et manifestations en intégrant les principes du Développement Durable (DD), notamment de respect de l’Environnement… »
Pour l’heure, si aucune quantification du tonnage de papiers et autres produits utilisés par l’OPT, n’existe, la direction de l’office tient à préciser que : « …un système de suivi et une logistique particulière seront mis en place afin d’évaluer les rejets de l’ensemble de nos services. Il s’agit surtout de s’assurer que toutes les consignes seront respectées. Bien qu’il s’agisse d’une sensibilisation, nous souhaitons que l’ensemble des employés s’implique afin de rendre toutes les démarches, efficace ! »
Du côté de la SEP, on se félicite de ce partenariat. Benoît Layrle, son directeur explique : « Le fait qu’un établissement public aussi important que celui-ci soit sensibliser à la démarche de « l’éco-responsabilité », nous en sommes évidemment fiers. L’office a tout son rôle à jouer dans cette volonté d’être un exemple pour les autres services publics. Mais, d’une manière plus générale, si les entreprises suivent le mouvement, il est clair que nous baisserons largement la quantité de déchets à enfouir au centre technique, car c’est surtout l’objectif. »
Les étapes de la convention
La première phase consiste en l’identification des types de déchets recyclables et des filières de collecte à préparer sur l’ensemble du patrimoine immobilier de l’OPT.
En second lieu, il s’agit de mettre en place une logistique adaptée afin d’entreposer les déchets émanant de tous les services, avant leur récupération par la SEP.
L’opération concernera, en priorité, les sites des îles-du-vent : Tahiti et Mo’orea lesquels sont déjà rôdées dans le système de collecte des déchets. De là, s’ensuivront les Îles-sous-le-vent, les Australes, les Tuamotu-Gambiers pour finir aux îles Marquises. La mise en place se fera sur plusieurs mois.
Les déchets se répartissent en plusieurs catégories, appelées également « filières » qui sont : les cartons, le papier, les batteries, les piles, les câbles, les déchets inertes. En s’impliquant ainsi, l’OPT contribue à la baisse des coûts de traitement de ses déchets. Toujours selon son communiqué de presse, « Les déchets de entreprises assimilables aux ordures ménagères du bac gris, déposés en mélange au Centre de Recyclage et de Transfert (CRT) de Motu Uta coûtent 15 500 FCP par tonne. »
En signant cette convention, l’OPT est élligible de facto au concours de la « tortue d’or » organisée chaque année par la SEP. Tous espèrent qu’en montrant l’exemple, l’Office puisse devenir une pierre d’achoppement pour l’ensemble du secteur public.
TP
La première phase consiste en l’identification des types de déchets recyclables et des filières de collecte à préparer sur l’ensemble du patrimoine immobilier de l’OPT.
En second lieu, il s’agit de mettre en place une logistique adaptée afin d’entreposer les déchets émanant de tous les services, avant leur récupération par la SEP.
L’opération concernera, en priorité, les sites des îles-du-vent : Tahiti et Mo’orea lesquels sont déjà rôdées dans le système de collecte des déchets. De là, s’ensuivront les Îles-sous-le-vent, les Australes, les Tuamotu-Gambiers pour finir aux îles Marquises. La mise en place se fera sur plusieurs mois.
Les déchets se répartissent en plusieurs catégories, appelées également « filières » qui sont : les cartons, le papier, les batteries, les piles, les câbles, les déchets inertes. En s’impliquant ainsi, l’OPT contribue à la baisse des coûts de traitement de ses déchets. Toujours selon son communiqué de presse, « Les déchets de entreprises assimilables aux ordures ménagères du bac gris, déposés en mélange au Centre de Recyclage et de Transfert (CRT) de Motu Uta coûtent 15 500 FCP par tonne. »
En signant cette convention, l’OPT est élligible de facto au concours de la « tortue d’or » organisée chaque année par la SEP. Tous espèrent qu’en montrant l’exemple, l’Office puisse devenir une pierre d’achoppement pour l’ensemble du secteur public.
TP
Te poiherera’a i te heipuni : « ‘Ia riro te pū Fare rata ‘ei hi’ora’a nō te mau pū ato’a a te hau fenua ! »
O te mea pāpū, e tauto’ora’a rahi teie o te rave hia ana e te upo’o fa’atere a te pū ‘Fare rata nō Pōrīnetia nei, o Benjamin Teihotu tāne. E riro ihoa teie tārimara’a parau fa’aaura’a nō te tīti’a i te mau pehu rau i roto i te mau piha ‘ohipa ato’a, ‘ei hi’ora’a pāpū nō te mau pū rau a te hau fenua.
Tahiti-Infos : ‘Eāha te hōhonura’a o teie parau fa’aaura’a i roto pū ‘outou ‘e te pū a te SEP ?
Benjamin Teihotu : ‘Ua ‘ite tātou i te mea ē, mea maita’i roa i te ‘ohipa pārurura’a i tō tātou heipuni. Nō reira, ‘ua fa’ari’i vau i te mana’o ē, ‘ua tae i te taime e au ato’a iā te Fare rata e fa’a ō iāna i roto i teie fa’anahora’a nō te ‘ananāhi o tō tātou hua’ai.
Tahiti-Infos : ‘e parare ato’a teie fa’anahora’a nā roto i tā ‘outou mau pū nō te mau motu, ‘e ‘ere ānei ?
Benjamin Teihotu : ‘Ua riro teie fa’anahora’a ‘ei ha’amana’ona’ora’a nō mātou i te mau mahana ato’a. ‘Ia aupuru hia te heipuni. Te hīna’aro nei mātou e fa’a’ohipa i teie mau ‘arata’ira’a i’ō nei, tae roa atu i roto i te mau motu. Te reira te fā rahi o tā’u e tītau nei.
Tahiti-Infos : E riro i teie ‘ohipa ‘ei ha’api’ira’a i tā ‘outou mau rave ‘ohipa mea nāhea ia tīti’a ana’e i te mau pehu huru rau ?
Benjamin : ‘ē ! o te reira ihoa i te arata’ira’a. Nō reira ihoa mātou i tārima ai i teie parau fa’aau. Ma te rave atu i te reira, e fa’ahepo hia i te mau rave ‘ohipa ‘ia tīti’a maita’i i tā rātou mau pehu. ‘Ia tīti’a maīte hia ihoa nā roto i te ta’ato’ara’a o te mau piha ‘ohipa.
Tahiti-Infos : ‘Ua fā’oti ato’a ‘outou i te tahi fa’anahora’a ‘āpī nō te mau tauturu o tā ‘outou e hōro’a nei nā te mau tā’atira’a, ‘eāha ra ?
Benjamin Teihotu : ‘Oia mau ! e taui ri’i te huru teie fa’anahora’a. I te taime e haere mai ai teie mau ta’atira’a nō te āni i te tauturu, e fa’ahepo mātou iā rātou i te ‘āna’i i te tahi ā mau ‘īrava ta’a ‘ē nō i ni’a i te teie tumu parau ‘āpī. Nō te mea, tē ‘ite pinepine noa nei tātou. Mea ‘ōta’a noa te mau pehu i te mau vāhi e fa’atupu hia ra i te mau tāta’ura’a ānei, te mau ha’utira’a ato’a. ‘Aita mātou e fāri’i fa’ahou i te reira mau ravera’a. Mai te peu ‘aita te mau rēni rarahi o te parau fa’aau i fa’atura hia, ‘e tāpū te Fare rata i tā na tauturura’a.
Tahiti-Infos : ‘Eāha atu ra o tā ‘oe parau pōro’ira’a o tā ‘oe e hīna’aro e fa’atae atu i tā ‘outou mau rave ‘ohipa ?
Benjamin Teihotu : ‘ē ! Teriā ihoa ! Te ani atu nei au i te tā’ato’ara’a o te mau rave ‘ohipa nō te Fare rata ‘ia fa’atura mai rātou i teie fa’anahora ‘ia tae ana’ e i te taime e fa’a’ohipa hia ai ‘oia. ‘E ‘ere i te mea ‘ōhie nō te taui i te mau peu. Terā ra, ‘e ‘ohipa maita’i roa i teie. E Mātau hia ihoa i muri mai. Mai te peu ē, e ha’apa’o maīte tātou i te mau arata’ira’a a te pū a te SEP, e riro ihoa tātou e hi’ora’a nō te toe’a o te mau pū rave ‘ohipa a te hau fenua.
O te mea pāpū, e tauto’ora’a rahi teie o te rave hia ana e te upo’o fa’atere a te pū ‘Fare rata nō Pōrīnetia nei, o Benjamin Teihotu tāne. E riro ihoa teie tārimara’a parau fa’aaura’a nō te tīti’a i te mau pehu rau i roto i te mau piha ‘ohipa ato’a, ‘ei hi’ora’a pāpū nō te mau pū rau a te hau fenua.
Tahiti-Infos : ‘Eāha te hōhonura’a o teie parau fa’aaura’a i roto pū ‘outou ‘e te pū a te SEP ?
Benjamin Teihotu : ‘Ua ‘ite tātou i te mea ē, mea maita’i roa i te ‘ohipa pārurura’a i tō tātou heipuni. Nō reira, ‘ua fa’ari’i vau i te mana’o ē, ‘ua tae i te taime e au ato’a iā te Fare rata e fa’a ō iāna i roto i teie fa’anahora’a nō te ‘ananāhi o tō tātou hua’ai.
Tahiti-Infos : ‘e parare ato’a teie fa’anahora’a nā roto i tā ‘outou mau pū nō te mau motu, ‘e ‘ere ānei ?
Benjamin Teihotu : ‘Ua riro teie fa’anahora’a ‘ei ha’amana’ona’ora’a nō mātou i te mau mahana ato’a. ‘Ia aupuru hia te heipuni. Te hīna’aro nei mātou e fa’a’ohipa i teie mau ‘arata’ira’a i’ō nei, tae roa atu i roto i te mau motu. Te reira te fā rahi o tā’u e tītau nei.
Tahiti-Infos : E riro i teie ‘ohipa ‘ei ha’api’ira’a i tā ‘outou mau rave ‘ohipa mea nāhea ia tīti’a ana’e i te mau pehu huru rau ?
Benjamin : ‘ē ! o te reira ihoa i te arata’ira’a. Nō reira ihoa mātou i tārima ai i teie parau fa’aau. Ma te rave atu i te reira, e fa’ahepo hia i te mau rave ‘ohipa ‘ia tīti’a maita’i i tā rātou mau pehu. ‘Ia tīti’a maīte hia ihoa nā roto i te ta’ato’ara’a o te mau piha ‘ohipa.
Tahiti-Infos : ‘Ua fā’oti ato’a ‘outou i te tahi fa’anahora’a ‘āpī nō te mau tauturu o tā ‘outou e hōro’a nei nā te mau tā’atira’a, ‘eāha ra ?
Benjamin Teihotu : ‘Oia mau ! e taui ri’i te huru teie fa’anahora’a. I te taime e haere mai ai teie mau ta’atira’a nō te āni i te tauturu, e fa’ahepo mātou iā rātou i te ‘āna’i i te tahi ā mau ‘īrava ta’a ‘ē nō i ni’a i te teie tumu parau ‘āpī. Nō te mea, tē ‘ite pinepine noa nei tātou. Mea ‘ōta’a noa te mau pehu i te mau vāhi e fa’atupu hia ra i te mau tāta’ura’a ānei, te mau ha’utira’a ato’a. ‘Aita mātou e fāri’i fa’ahou i te reira mau ravera’a. Mai te peu ‘aita te mau rēni rarahi o te parau fa’aau i fa’atura hia, ‘e tāpū te Fare rata i tā na tauturura’a.
Tahiti-Infos : ‘Eāha atu ra o tā ‘oe parau pōro’ira’a o tā ‘oe e hīna’aro e fa’atae atu i tā ‘outou mau rave ‘ohipa ?
Benjamin Teihotu : ‘ē ! Teriā ihoa ! Te ani atu nei au i te tā’ato’ara’a o te mau rave ‘ohipa nō te Fare rata ‘ia fa’atura mai rātou i teie fa’anahora ‘ia tae ana’ e i te taime e fa’a’ohipa hia ai ‘oia. ‘E ‘ere i te mea ‘ōhie nō te taui i te mau peu. Terā ra, ‘e ‘ohipa maita’i roa i teie. E Mātau hia ihoa i muri mai. Mai te peu ē, e ha’apa’o maīte tātou i te mau arata’ira’a a te pū a te SEP, e riro ihoa tātou e hi’ora’a nō te toe’a o te mau pū rave ‘ohipa a te hau fenua.