L’intersyndicale des enseignants du public, primaire et secondaire a rencontré le vice-recteur ce jeudi en fin de journée. Il a fait un point sur sa mission en métropole et sur les postes qui seront supprimés à la rentrée prochaine. Ainsi sur les 177 prévus, ce sont finalement 136 postes sur l’ensemble de la Polynésie qui n’existeront plus.
Concrètement ce sont 70 postes dans le primaire, 70 dans le secondaires, 4 postes de CPE et 8 postes basés sur les heures supplémentaires. L’intersyndicale est toujours opposée à ces chiffres, elle va se rendre à Paris pour rencontrer le ministre de l’Education Luc Châtel pour que ces suppressions soient diminuées.
Pour l’intersyndicale, les chiffres transmis à la Direction Générale de l’Enseignement Secondaire ne correspondent pas à la réalité. Et cette divergence viendrait de la DESS qui localement n’aurait pas transmis à la DGSCO des informations essentielles.
Pour comprendre, lors de la réforme des lycées professionnels, des filières ont été fermées. Selon les estimations, cela représentait une baisse d’environ 500 élèves pour la prochaine rentrée scolaire, et donc concernait 60 postes de professeurs. Mais les enseignants, refusant de voir ces jeunes sortis du système, ont proposé la création notamment de BTS. Proposition acceptée par la DESS, celle-ci devait alors transmettre les demandes de création de filières à la DGSCO. Chose jamais faite selon le vice-recteur.
Autre point soulevé pendant cette rencontre, le gouvernement local avait été informé il y a de cela trois ans de cette prochaine baisse des effectifs. Aucun des ministres qui se sont succédés avec l’instabilité politique que l’on connait, ne se sont occupé de ce dossier. Ainsi, l’intersyndicale a demandé à rencontrer Tauhiti Nena, ministre de l'Education local, afin de tirer les choses au clair. Mais les représentants ne se font pas d’illusion et savent que désormais tout se jouera à Paris.
Concrètement ce sont 70 postes dans le primaire, 70 dans le secondaires, 4 postes de CPE et 8 postes basés sur les heures supplémentaires. L’intersyndicale est toujours opposée à ces chiffres, elle va se rendre à Paris pour rencontrer le ministre de l’Education Luc Châtel pour que ces suppressions soient diminuées.
Pour l’intersyndicale, les chiffres transmis à la Direction Générale de l’Enseignement Secondaire ne correspondent pas à la réalité. Et cette divergence viendrait de la DESS qui localement n’aurait pas transmis à la DGSCO des informations essentielles.
Pour comprendre, lors de la réforme des lycées professionnels, des filières ont été fermées. Selon les estimations, cela représentait une baisse d’environ 500 élèves pour la prochaine rentrée scolaire, et donc concernait 60 postes de professeurs. Mais les enseignants, refusant de voir ces jeunes sortis du système, ont proposé la création notamment de BTS. Proposition acceptée par la DESS, celle-ci devait alors transmettre les demandes de création de filières à la DGSCO. Chose jamais faite selon le vice-recteur.
Autre point soulevé pendant cette rencontre, le gouvernement local avait été informé il y a de cela trois ans de cette prochaine baisse des effectifs. Aucun des ministres qui se sont succédés avec l’instabilité politique que l’on connait, ne se sont occupé de ce dossier. Ainsi, l’intersyndicale a demandé à rencontrer Tauhiti Nena, ministre de l'Education local, afin de tirer les choses au clair. Mais les représentants ne se font pas d’illusion et savent que désormais tout se jouera à Paris.