En 2017, 72 % des recrutements ont concerné des créations de poste, contre 59 % l’année précédente, mais 68 % d’entre eux (53 % en 2016) ont été faits dans le cadre de contrats à durée déterminée (CDD), contre 32 % en CDI.
PAPEETE, 6 août 2018 - Le nombre d’offres d’emploi a connu une augmentation de 13 % en 2017, hors recrutements liés au recensement général de la population. Le nombre de salariés a progressé de 2 % et a concerné 63 196 personnes en Polynésie française.
Une comparaison faite entre 2016 et 2017 par l’Institut de la statistique en Polynésie française (ISPF) constate que le nombre d’offres d’emploi normal a progressé de 13 % sur les 12 mois d’observation. Le nombre d’employeurs est resté stable sur la période (6 612), tandis que le nombre de salariés déclarés à la Caisse de prévoyance sociale (CPS) a augmenté de 2 % pour atteindre 63 193 personnes.
Si l’on comptabilise le pic exceptionnel de recrutements (733 personnes) lié au recensement général de la population mené en août 2017, le nombre d’offre d’emploi a bondi de 50 % sur la période.
En 2017, 88 % des offres d’emploi ont été manifestées dans le secteur tertiaire (+ 51 % avec 2 880 postes), 5 % dans le secteur de l’industrie (- 2 % avec 178 postes), 5 % dans celui de la construction (+ 43 % avec 162 postes) et 2 % dans le secteur primaire (+ 16 % avec 67 postes). Dans l’ensemble 3 287 postes ont été offerts.
Hormis le recensement de la population, à l’origine d’un bondissement provisoire de + 669 % des recrutements dans l’administration publique pour quelques semaines en 2017, la hausse la plus importante d'offre d'emplois cette année-là s'observe dans la construction et dans les activités de services administratifs et de soutien (+ 76 %).
En 2017, 72 % des recrutements ont concerné des créations de poste, contre 59 % l’année précédente, mais 68 % d’entre eux (53 % en 2016) ont été faits dans le cadre de contrats à durée déterminée (CDD), contre 32 % en CDI.
Les recrutements ont principalement été faits dans l’archipel des îles du Vent (88,5 %), où l’essentiel de la hausse entre 2016 et 2017 a concerné des postes à Papeete (904 postes), avec une prépondérance fortement liée aux 733 postes d’enquêteurs créés provisoirement pour mener le recensement général de la population d’août 2017.
Une comparaison faite entre 2016 et 2017 par l’Institut de la statistique en Polynésie française (ISPF) constate que le nombre d’offres d’emploi normal a progressé de 13 % sur les 12 mois d’observation. Le nombre d’employeurs est resté stable sur la période (6 612), tandis que le nombre de salariés déclarés à la Caisse de prévoyance sociale (CPS) a augmenté de 2 % pour atteindre 63 193 personnes.
Si l’on comptabilise le pic exceptionnel de recrutements (733 personnes) lié au recensement général de la population mené en août 2017, le nombre d’offre d’emploi a bondi de 50 % sur la période.
En 2017, 88 % des offres d’emploi ont été manifestées dans le secteur tertiaire (+ 51 % avec 2 880 postes), 5 % dans le secteur de l’industrie (- 2 % avec 178 postes), 5 % dans celui de la construction (+ 43 % avec 162 postes) et 2 % dans le secteur primaire (+ 16 % avec 67 postes). Dans l’ensemble 3 287 postes ont été offerts.
Hormis le recensement de la population, à l’origine d’un bondissement provisoire de + 669 % des recrutements dans l’administration publique pour quelques semaines en 2017, la hausse la plus importante d'offre d'emplois cette année-là s'observe dans la construction et dans les activités de services administratifs et de soutien (+ 76 %).
En 2017, 72 % des recrutements ont concerné des créations de poste, contre 59 % l’année précédente, mais 68 % d’entre eux (53 % en 2016) ont été faits dans le cadre de contrats à durée déterminée (CDD), contre 32 % en CDI.
Les recrutements ont principalement été faits dans l’archipel des îles du Vent (88,5 %), où l’essentiel de la hausse entre 2016 et 2017 a concerné des postes à Papeete (904 postes), avec une prépondérance fortement liée aux 733 postes d’enquêteurs créés provisoirement pour mener le recensement général de la population d’août 2017.