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PAPEETE, le 10 juin 2014 - (COMMUNIQUE) Ce mardi 10 juin 2014, le vice-président Nuihau LAUREY, en mission à Paris avec le ministre de l’équipement Albert SOLIA, a reçu les représentants de la banque Natixis et du groupe Generali Investment France, conduit par M. Bruno SERVANT, directeur général délégué, dans le cadre de l’emprunt obligataire lancé par le Pays pour le financement de ses investissements.
Ces discussions viennent confirmer la souscription par le groupe Generali d’un montant de 40 millions d’euro (4,8 milliards FCFP) remboursables en 8 ans dans l’emprunt obligataire finalisé en début d’année par la Polynésie française.
Cette opération succède à une première souscription initiée en mai dernier par un grand groupe bancaire européen pour un montant de 17 millions d’euros (2 milliards de FCFP) et aux deux emprunts récemment finalisés avec la BPCE et la Banque de Polynésie (groupe Société Générale).
Elles confirment de manière éclatante la confiance retrouvée des plus grandes institutions financières dans la situation de notre pays. Dans ce contexte, le pays dispose d’ores et déjà de l’ensemble des financements nécessaires à la réalisation de ses investissements pour la totalité de l’exercice 2014, situation que la Polynésie n’avait pas rencontré depuis plus de cinq années.
Ces discussions viennent confirmer la souscription par le groupe Generali d’un montant de 40 millions d’euro (4,8 milliards FCFP) remboursables en 8 ans dans l’emprunt obligataire finalisé en début d’année par la Polynésie française.
Cette opération succède à une première souscription initiée en mai dernier par un grand groupe bancaire européen pour un montant de 17 millions d’euros (2 milliards de FCFP) et aux deux emprunts récemment finalisés avec la BPCE et la Banque de Polynésie (groupe Société Générale).
Elles confirment de manière éclatante la confiance retrouvée des plus grandes institutions financières dans la situation de notre pays. Dans ce contexte, le pays dispose d’ores et déjà de l’ensemble des financements nécessaires à la réalisation de ses investissements pour la totalité de l’exercice 2014, situation que la Polynésie n’avait pas rencontré depuis plus de cinq années.