PAPEETE, mercredi 24 avril 2013. Les agents de la DSP (direction de la sécurité publique) ont traité durant le week-end dernier une affaire de violence conjugale au sein d’un couple d’une trentaine d’années. Sauf que la victime, c’est plus exceptionnel, est le mari, très légèrement blessé au visage. Dimanche matin, ce mari explique au réveil à sa vahine qu’il sort pour aller acheter le pain.
Lorsqu’il revient, trois heures plus tard, l’épouse, très énervée de cette longue absence, a des arguments pour le moins frappants pour réclamer des comptes à son tane sur l’utilisation de ces trois heures hors du domicile conjugal. Les explications fournies n’étant pas convaincantes, elle fait usage de ce qu’elle a sous la main : en l’occurrence un couteau à pain. L’homme reçoit plusieurs coups sur le visage et le haut du corps : des estafilades attestent de l’agression subie. 4 jours d’ITT lui sont accordés.
Son épouse devra s’expliquer sur son geste d’énervement lors d’une composition pénale. D’ici là, mari et femme pourront réfléchir sur la situation de leur couple.
Lorsqu’il revient, trois heures plus tard, l’épouse, très énervée de cette longue absence, a des arguments pour le moins frappants pour réclamer des comptes à son tane sur l’utilisation de ces trois heures hors du domicile conjugal. Les explications fournies n’étant pas convaincantes, elle fait usage de ce qu’elle a sous la main : en l’occurrence un couteau à pain. L’homme reçoit plusieurs coups sur le visage et le haut du corps : des estafilades attestent de l’agression subie. 4 jours d’ITT lui sont accordés.
Son épouse devra s’expliquer sur son geste d’énervement lors d’une composition pénale. D’ici là, mari et femme pourront réfléchir sur la situation de leur couple.