Paris, France | AFP | lundi 19/10/2015 - Les centrales électriques fonctionnant avec du résidu de canne à sucre (bagasse) et situées dans les zones non interconnectées, c'est-à-dire en outre-mer, auront dorénavant droit à une prime plus élevée, a annoncé lundi le ministère de l'Ecologie et de l'Energie.
La prime versée à ces installations passe de 13 euros à 14,5 euros par tonne de canne à sucre, selon un arrêté publié dimanche au journal officiel, une mesure décidée pour favoriser le développement des énergies renouvelables en outre-mer.
Le nouvel arrêté modifie d'autres éléments entrant en compte dans le calcul de la prime.
"Cette revalorisation sera prise en compte dès la campagne sucrière de 2015", précise le ministère dans un communiqué.
Le potentiel de production d'électricité à partir de biomasse est très important pour les territoires d'outre-mer, dans la mesure où cette énergie n'a pas le caractère intermittent d'autres énergies renouvelables comme le solaire ou l'éolien.
Comme les autres énergies renouvelables, la biomasse bénéficie également d'un tarif de rachat bonifié de l'électricité produite.
mhc/fpo/phc
La prime versée à ces installations passe de 13 euros à 14,5 euros par tonne de canne à sucre, selon un arrêté publié dimanche au journal officiel, une mesure décidée pour favoriser le développement des énergies renouvelables en outre-mer.
Le nouvel arrêté modifie d'autres éléments entrant en compte dans le calcul de la prime.
"Cette revalorisation sera prise en compte dès la campagne sucrière de 2015", précise le ministère dans un communiqué.
Le potentiel de production d'électricité à partir de biomasse est très important pour les territoires d'outre-mer, dans la mesure où cette énergie n'a pas le caractère intermittent d'autres énergies renouvelables comme le solaire ou l'éolien.
Comme les autres énergies renouvelables, la biomasse bénéficie également d'un tarif de rachat bonifié de l'électricité produite.
mhc/fpo/phc