WELLINGTON, lundi 28 novembre 2011 (Flash d’Océanie) – Le Parti National du Premier ministre sortant de Nouvelle-Zélande, John Key, a été confortablement reconduit samedi à l’issue des élections législatives et devrait former un nouveau gouvernement dans les prochains jours pour un second mandat de trois ans.
À l’issue des élections, le décompte officiel donne 48 pour cent (soixante circonscriptions en valeur absolue) des sièges au National de John Key (sur les 121 sièges au Parlement), contre 27,1 pour cent au parti travailliste, 10,6 pour cent aux Verts, 6,8 pour cet au parti New Zealand First, pour les plus grandes formations représentées au sein de l’hémicycle.
Pour le National Party, il s’agit de la plus grande victoire depuis soixante ans.
Pour les travaillistes, qui furent au pouvoir sans discontinuer onze années durant, jusqu’en 2008, sous un gouvernement dirigé par Mme Helen Clark (désormais directrice générale du Programme des Nations-Unies pour le Développement, le PNUD), il s’agit d’une des plus sévères défaites de ces dernières décennies.
Le prochain gouvernement, qui devrait être à nouveau conduit par John Key, devrait probablement s’appuyer une nouvelle fois sur des alliances en vue de faire l’appoint de voix nécessaire à une majorité parlementaire solide et gouvernable.
Au cours des trois années précédentes, sous la précédente législature, les petits partis ACT et United future (Avenir Ensemble) avaient été inclus dans le cadre d’alliance au coup par coup.
Le parti Maori, valeur montante dans le paysage politique local, ainsi que celui des Verts, font aussi l’objet de propositions, mais n’ont jusqu’ici pas indiqué s’ils étaient prêts à donner suite.
Fort de cette victoire électorale, M. Key a d’ores et déjà annoncé qu’il considérait désormais avoir un mandat pour mener à bien l’un des volets annoncés de on plan économique, à savoir la privatisation des secteurs de la production électrique, ainsi que celle de la compagnie nationale aérienne, Air New Zealand.
John Key, 50 ans, a évolué ces derniers mis à la tête du gouvernement néo-zélandais dans un contexte marqué par plusieurs catastrophes nationales : celle de la mine de charbon de Pike River, qui a fait 29 morts en novembre 2010 et deux séismes, le 4 septembre 2010 et le 1 février 2011 qui ont frappé la ville de Christchurch (île du Sud) et fait plus de cent quatre vingt victimes.
Mais les dernières semaines de campagne se sont inscrites dans la continuité de la Coupe du Monde de Rugby IRB, qui, à domicile, a vu la victoire des All Blacks, injectant un sentiment national d’euphorie.
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À l’issue des élections, le décompte officiel donne 48 pour cent (soixante circonscriptions en valeur absolue) des sièges au National de John Key (sur les 121 sièges au Parlement), contre 27,1 pour cent au parti travailliste, 10,6 pour cent aux Verts, 6,8 pour cet au parti New Zealand First, pour les plus grandes formations représentées au sein de l’hémicycle.
Pour le National Party, il s’agit de la plus grande victoire depuis soixante ans.
Pour les travaillistes, qui furent au pouvoir sans discontinuer onze années durant, jusqu’en 2008, sous un gouvernement dirigé par Mme Helen Clark (désormais directrice générale du Programme des Nations-Unies pour le Développement, le PNUD), il s’agit d’une des plus sévères défaites de ces dernières décennies.
Le prochain gouvernement, qui devrait être à nouveau conduit par John Key, devrait probablement s’appuyer une nouvelle fois sur des alliances en vue de faire l’appoint de voix nécessaire à une majorité parlementaire solide et gouvernable.
Au cours des trois années précédentes, sous la précédente législature, les petits partis ACT et United future (Avenir Ensemble) avaient été inclus dans le cadre d’alliance au coup par coup.
Le parti Maori, valeur montante dans le paysage politique local, ainsi que celui des Verts, font aussi l’objet de propositions, mais n’ont jusqu’ici pas indiqué s’ils étaient prêts à donner suite.
Fort de cette victoire électorale, M. Key a d’ores et déjà annoncé qu’il considérait désormais avoir un mandat pour mener à bien l’un des volets annoncés de on plan économique, à savoir la privatisation des secteurs de la production électrique, ainsi que celle de la compagnie nationale aérienne, Air New Zealand.
John Key, 50 ans, a évolué ces derniers mis à la tête du gouvernement néo-zélandais dans un contexte marqué par plusieurs catastrophes nationales : celle de la mine de charbon de Pike River, qui a fait 29 morts en novembre 2010 et deux séismes, le 4 septembre 2010 et le 1 février 2011 qui ont frappé la ville de Christchurch (île du Sud) et fait plus de cent quatre vingt victimes.
Mais les dernières semaines de campagne se sont inscrites dans la continuité de la Coupe du Monde de Rugby IRB, qui, à domicile, a vu la victoire des All Blacks, injectant un sentiment national d’euphorie.
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