Edouard Fritch, Président de la Polynésie française
PUNAAUIA, 12 novembre 2014 – Edouard Fritch se joint aux représentants des collectivités françaises du Pacifique pour accompagner le chef de l’Etat en Australie, à Brisbane où François Hollande doit participer au sommet du G20, les 15 et 16 novembre prochains.
Le Président de la Polynésie française participe à ce voyage à l’invitation du Président de la République. Edouard Fritch sera ensuite présent en début de semaine prochaine en Nouvelle-Calédonie à Nouméa où François Hollande doit s’exprimer, le 17 novembre, devant les représentants des pays de la Communauté du Pacifique (CPS).
Cette visite, doit-on la voir comme l'illustration d’une collaboration renforcée entre l’Etat et les collectivités françaises du Pacifique ?
Edouard Fritch : Cette visite ne se fait pas dans le cadre d’une coopération. Je crois que depuis deux ans nous travaillons en bonne entente avec l’Etat, ici comme à Paris. Nous avons effectivement entretenu de très bonnes relations et cette visite se situe dans la continuité de ce qui a été engagé, notamment au niveau du Parlement. Cela fait quelques temps que nous avons une oreille attentive du côté de l’Etat.
Comment comptez-vous mettre à profit le temps que vous allez passer avec le chef de l’Etat ?
Edouard Fritch : Je pense que l’on aura vraisemblablement des échanges avec le chef de l’Etat. Je n’ai pas eu l’opportunité, lors de ma dernière visite à Paris, de lui exposer toutes les difficultés que nous rencontrons ici, tant sur le plan financier que sur le plan social. J’ai effectivement là une petite chance d’en discuter plus amplement avec lui. Mais je ne peux pas vous dire de manière précise combien de temps d’entretien me sera accordé. J’ai la chance de voyager avec lui et cela me laisse espérer que de nouvelles opportunités me seront offertes.
Avez-vous un dossier prioritaire à évoquer lors de ce possible entretien ?
Edouard Fritch : Toujours le même : l’emploi et la défiscalisation, naturellement, parce que nous en avons extrêmement besoin. Et derrière l’emploi, le pan social de la solidarité en Polynésie française, également… Ce sont les mêmes sujets. Je ne vais pas créer de dossiers supplémentaires. Il n’y a pas plus urgent aujourd’hui que de régler le problème de l’emploi dans notre Pays.
Le Président de la Polynésie française participe à ce voyage à l’invitation du Président de la République. Edouard Fritch sera ensuite présent en début de semaine prochaine en Nouvelle-Calédonie à Nouméa où François Hollande doit s’exprimer, le 17 novembre, devant les représentants des pays de la Communauté du Pacifique (CPS).
Cette visite, doit-on la voir comme l'illustration d’une collaboration renforcée entre l’Etat et les collectivités françaises du Pacifique ?
Edouard Fritch : Cette visite ne se fait pas dans le cadre d’une coopération. Je crois que depuis deux ans nous travaillons en bonne entente avec l’Etat, ici comme à Paris. Nous avons effectivement entretenu de très bonnes relations et cette visite se situe dans la continuité de ce qui a été engagé, notamment au niveau du Parlement. Cela fait quelques temps que nous avons une oreille attentive du côté de l’Etat.
Comment comptez-vous mettre à profit le temps que vous allez passer avec le chef de l’Etat ?
Edouard Fritch : Je pense que l’on aura vraisemblablement des échanges avec le chef de l’Etat. Je n’ai pas eu l’opportunité, lors de ma dernière visite à Paris, de lui exposer toutes les difficultés que nous rencontrons ici, tant sur le plan financier que sur le plan social. J’ai effectivement là une petite chance d’en discuter plus amplement avec lui. Mais je ne peux pas vous dire de manière précise combien de temps d’entretien me sera accordé. J’ai la chance de voyager avec lui et cela me laisse espérer que de nouvelles opportunités me seront offertes.
Avez-vous un dossier prioritaire à évoquer lors de ce possible entretien ?
Edouard Fritch : Toujours le même : l’emploi et la défiscalisation, naturellement, parce que nous en avons extrêmement besoin. Et derrière l’emploi, le pan social de la solidarité en Polynésie française, également… Ce sont les mêmes sujets. Je ne vais pas créer de dossiers supplémentaires. Il n’y a pas plus urgent aujourd’hui que de régler le problème de l’emploi dans notre Pays.
