Lors de cette rencontre, à laquelle assistaient le directeur de cabinet, Sylvestre Bodin, et la conseillère technique en charge de la coordination des actions relatives à la reconversion des sites militaires, Liliana Meslin, le vice-président a fait part à son interlocuteur d’un certain nombre d’attentes et d’interrogations qui sont actuellement exprimées par les communes dans la perspective d’un retrait programmé des forces armées.
Outre l’extension souhaitée par les communes du périmètre des surfaces susceptibles d’être transférées dans le cadre d’un schéma directeur d’organisation des forces armées en Polynésie française attendu pour la fin mai 2010, la discussion a notamment porté sur la réalisation prochaine d’une étude comportant un diagnostic. Celle-ci constitue la phase préliminaire et l’un des éléments-clé servant de base à la définition du Contrat de redynamisation de site de défense (CRSD) associant l’Etat, le Pays et les communes.
Sur ce point en particulier, les communes sont perçues comme volontaristes et prêtes à se mobiliser. En retour, « les maires attendent des consultants une réflexion novatrice et un appui technique dans le cadrage de leurs projets de développement », a indiqué le vice-président à son interlocuteur tout aussi soucieux que lui de connaître quelles sont les communes qui vont être le plus négativement impactées du point de vue socio-économique par le départ des militaires.
Le vice-président et Patrick Cunin sont appelés à se revoir en fin de semaine dans le cadre d’un Comité de site programmé au haut-commissariat de la République.
Outre l’extension souhaitée par les communes du périmètre des surfaces susceptibles d’être transférées dans le cadre d’un schéma directeur d’organisation des forces armées en Polynésie française attendu pour la fin mai 2010, la discussion a notamment porté sur la réalisation prochaine d’une étude comportant un diagnostic. Celle-ci constitue la phase préliminaire et l’un des éléments-clé servant de base à la définition du Contrat de redynamisation de site de défense (CRSD) associant l’Etat, le Pays et les communes.
Sur ce point en particulier, les communes sont perçues comme volontaristes et prêtes à se mobiliser. En retour, « les maires attendent des consultants une réflexion novatrice et un appui technique dans le cadrage de leurs projets de développement », a indiqué le vice-président à son interlocuteur tout aussi soucieux que lui de connaître quelles sont les communes qui vont être le plus négativement impactées du point de vue socio-économique par le départ des militaires.
Le vice-président et Patrick Cunin sont appelés à se revoir en fin de semaine dans le cadre d’un Comité de site programmé au haut-commissariat de la République.