En présence de nombreuses personnalités parmi lesquelles Mgr Guy Chevalier, le directeur de l’enseignement catholique, Michel Leboucher, le ministre de l’Equipement, Tearii Alpha, ainsi que les tavana de l’archipel, Benoît Kautai et Joseh Kaiha, ou encore le représentant marquisien à l’assemblée, René Kohumoetini, le porte-parole du gouvernement a prononcé une allocution dans laquelle il a notamment salué «l’esprit visionnaire» ainsi que le «courage» des pionniers de l’église catholique qui, à l’époque, ont «décidé d’inclure les îles parmi les plus éloignées de la capitale dans leur mission d’éducation indissociable de leur mission d’évangélisation (…)».
Cinquante ans après la loi Debré qui fixe le cadre d’un contrat d’association entre l’Etat et l’enseignement privé, ce dynamisme ne se dément pas avec l’ouverture de trois nouvelles classes de maternelle. Ce dont s’est félicité Edouard Fritch, réaffirmant devant ses hôtes : « Le pays que je représente ne peut que continuer à vous accompagner, comme il l’a fait par le passé en finançant notamment un bâtiment pour le CED ».
Second temps fort du déplacement sur la Terre des hommes, le vice-président a procédé à l’inauguration d’une nouvelle école maternelle publique dans le village de Hatiheu.
Cet établissement, d’un coût de 160 millions de Fcfp, va ainsi pouvoir accueillir vingt-cinq enfants. Mais plus que tout, et en dépit de l’isolement, il contribue à maintenir les populations dans leur vallée.
Là encore, Edouard Fritch a voulu rappeler l’importance d’instruire la jeunesse polynésienne et si possible, dans un environnement préservé : «La Charte de l’éducation réactualisée qui va être présentée en loi du Pays, inscrit l’accueil des enfants en maternelle comme priorité. Elle considère en effet que l’éducation de l’enfant commence dès la maternelle, celle-ci ne devant pas être un simple centre d’accueil de jeunes enfants».
Cinquante ans après la loi Debré qui fixe le cadre d’un contrat d’association entre l’Etat et l’enseignement privé, ce dynamisme ne se dément pas avec l’ouverture de trois nouvelles classes de maternelle. Ce dont s’est félicité Edouard Fritch, réaffirmant devant ses hôtes : « Le pays que je représente ne peut que continuer à vous accompagner, comme il l’a fait par le passé en finançant notamment un bâtiment pour le CED ».
Second temps fort du déplacement sur la Terre des hommes, le vice-président a procédé à l’inauguration d’une nouvelle école maternelle publique dans le village de Hatiheu.
Cet établissement, d’un coût de 160 millions de Fcfp, va ainsi pouvoir accueillir vingt-cinq enfants. Mais plus que tout, et en dépit de l’isolement, il contribue à maintenir les populations dans leur vallée.
Là encore, Edouard Fritch a voulu rappeler l’importance d’instruire la jeunesse polynésienne et si possible, dans un environnement préservé : «La Charte de l’éducation réactualisée qui va être présentée en loi du Pays, inscrit l’accueil des enfants en maternelle comme priorité. Elle considère en effet que l’éducation de l’enfant commence dès la maternelle, celle-ci ne devant pas être un simple centre d’accueil de jeunes enfants».
