Le groupe Kakaia a testé la fusion des rythmes marquisiens avec d'autres formes d'art
Tahiti, le 19 janvier 2020 - Pour la troisième Nuit de la lecture, deux soirées pour les fans d’histoires, de légendes et de beaux textes : la première à la Maison de la culture sur le thème de l’Asie, la seconde à la bibliothèque universitaire sur le thème 'Āruerue : Echos dans la nuit. Les deux ont rencontré un franc succès.
Grand succès samedi soir pour la Nuit de la lecture à la Maison de la culture. Que ce soit au petit théâtre, à la salle Marama, dans la salle de projection ou dans les bibliothèques, les ateliers sur le thème de l’Asie ont rapidement affiché complet. Initiation à la cérémonie du thé, origami, calligraphie japonaise, initiation au mah-jong et autres ont ravi petits et grands.
Grand succès samedi soir pour la Nuit de la lecture à la Maison de la culture. Que ce soit au petit théâtre, à la salle Marama, dans la salle de projection ou dans les bibliothèques, les ateliers sur le thème de l’Asie ont rapidement affiché complet. Initiation à la cérémonie du thé, origami, calligraphie japonaise, initiation au mah-jong et autres ont ravi petits et grands.
En parallèle, une ambiance plus bruyante à l’Université de la Polynésie française avec des prestations
de slam par les étudiants, des parcours adaptés coachés par l’artiste Malatexta, une démonstration de beatbox et une performance très originale du groupe marquisien Kakaia qui a mêlé ses sons et textes marquisiens avec du beatbox, un chant occitan et une légende marquisienne sur l’origine du tatouage. Les plus jeunes ont aussi adoré les différents ateliers et les rencontres avec les auteurs.
de slam par les étudiants, des parcours adaptés coachés par l’artiste Malatexta, une démonstration de beatbox et une performance très originale du groupe marquisien Kakaia qui a mêlé ses sons et textes marquisiens avec du beatbox, un chant occitan et une légende marquisienne sur l’origine du tatouage. Les plus jeunes ont aussi adoré les différents ateliers et les rencontres avec les auteurs.
Patrick Chastel, auteur
"Tout ça pour la promotion du livre, de la lecture, de la culture… C’est parfait"
Êtes-vous content de voir autant de gens venir à la Nuit de la lecture ?
"Absolument, je pense que c’est vraiment très intéressant de rencontrer d’autres personnes, dans d’autres lieux que les librairies pour les dédicaces ou les Salons du livre. C’est vraiment une chance que l’Université s’ouvre à ce genre de soirée, de manifestation où il y a des animations, des livres qui sont présentés. Tout ça pour la promotion du livre, de la lecture, de la culture… C’est parfait, tout ça dans un décor qui s’y prête parfaitement."
Beaucoup d’enfants sont présents, est-ce qu’ils sont intéressés ?
"Oui, ils passent, ils feuillettent, ils posent des questions. Ce qui est surprenant ce soir c’est qu’il y a des enfants, des adultes, des ados, il y a de tous les âges et donc différents types de questions."
Êtes-vous content de voir autant de gens venir à la Nuit de la lecture ?
"Absolument, je pense que c’est vraiment très intéressant de rencontrer d’autres personnes, dans d’autres lieux que les librairies pour les dédicaces ou les Salons du livre. C’est vraiment une chance que l’Université s’ouvre à ce genre de soirée, de manifestation où il y a des animations, des livres qui sont présentés. Tout ça pour la promotion du livre, de la lecture, de la culture… C’est parfait, tout ça dans un décor qui s’y prête parfaitement."
Beaucoup d’enfants sont présents, est-ce qu’ils sont intéressés ?
"Oui, ils passent, ils feuillettent, ils posent des questions. Ce qui est surprenant ce soir c’est qu’il y a des enfants, des adultes, des ados, il y a de tous les âges et donc différents types de questions."
Valentine et Armelle, visiteuses de la Nuit de la lecture
"Ils devraient faire ça plus souvent !"
Valentine : "C’est très sympa et accessible, il y a beaucoup de choix de livres, avec les auteurs et les éditeurs, en plus des ateliers. Je suis arrivée en Polynésie il y a tout juste quelques semaines, et avant de venir je cherchais des auteurs locaux et j’en ai peu trouvé en métropole. Donc là je suis contente de voir qu’il y a beaucoup plus de production locale que je ne pensais et beaucoup qui ont l’air très intéressants !"
Armelle : "Je suis venue participer à la conférence de Jacques Vernaudon, c’était très intéressant. Maintenant je vais visiter les autres ateliers. C’est très intéressant ce concept de mélanger la lecture avec des ateliers slam, beatbox, des jeux, ils devraient faire ça plus souvent ! Ça met la culture en valeur."
Valentine : "C’est très sympa et accessible, il y a beaucoup de choix de livres, avec les auteurs et les éditeurs, en plus des ateliers. Je suis arrivée en Polynésie il y a tout juste quelques semaines, et avant de venir je cherchais des auteurs locaux et j’en ai peu trouvé en métropole. Donc là je suis contente de voir qu’il y a beaucoup plus de production locale que je ne pensais et beaucoup qui ont l’air très intéressants !"
Armelle : "Je suis venue participer à la conférence de Jacques Vernaudon, c’était très intéressant. Maintenant je vais visiter les autres ateliers. C’est très intéressant ce concept de mélanger la lecture avec des ateliers slam, beatbox, des jeux, ils devraient faire ça plus souvent ! Ça met la culture en valeur."
Ces étudiants inscrit en "parcours adapté" de l'Université ont fait une prestation de slam. "Ils ont fait preuve de courage et d'audace en participant à cette 3eme éditions des nuits de la lecture à l'Université de la Polynésie française. Sortir de son petit confort pour écrire sur soi-même est un challenge qui a été relevé avec succès pour les 5 étudiants qui y ont participé" assure une de leurs enseignantes.