Les deux secousses telluriques se sont produites respectivement à 23h04 et 23h35 (locales, GMT+10), à une profondeur de 57 kilomètres en-dessous du niveau de la mer.
L’épicentre a été localisé tout près de la côte, à 75 kilomètres au Sud-sud-est de la ville de Kimbé (centre de la côte Sud de l’île), soit 520 kilomètres au Nord-est de la capitale Port-Moresby, rapporte l’institut géophysique américain USGS, basé à Denver (Colorado).
Ces deux secousses principales ont été suivies de deux répliques de magnitude 4,9, intervenues à 14h01 et 17h41 GMT.
Aucun dégât, ni blessé n’a été immédiatement signalé.
Le centre régional d’alerte au tsunami pour le Pacifique (Pacific Tsunami Warning Centre, PTWC, basé à Pearl Harbour, Hawaii) a émis trois bulletins à titre informatif, dans lesquels il est précisé qu’aucun tsunami d’ampleur régionale n’était à redouter, mais que les mesures prises à proximité du séisme indiquaient une hausse du niveau de la mer pouvant signifier que localement, un tsunami aurait pu être généré avec un potentiel destructeur.
Le PTWC, comme à son habitude, rappelle aussi par précaution que « des séismes de cette magnitude peuvent parfois générer des tsunamis localisés qui peuvent se révéler destructeurs le long des côtes situées dans un périmètres de cent kilomètres autour de l’épicentre. Les autorités de la région doivent donc être conscientes de cette éventualité et prendre les mesures appropriées ».
Une brève alerte a rapidement été levée en Indonésie voisine.
Le 24 juin 2010, dans la même région, un séisme de magnitude 6,1 frappait également l’île de Nouvelle-Bretagne, là aussi la partie centrale de l’île où se trouvent aussi plusieurs volcans en activité.
Aucun dégât, ni blessé n’a été immédiatement signalé.
Aucune alerte au tsunami n’a été déclenchée.
Le 2 juin 2010, dans la même région, un autre séisme important, de magnitude 6,2, frappait la partie occidentale de l’île de Nouvelle-Bretagne.
Dans la même zone, le 21 mars 2010, un puissant séisme de magnitude 6,6 s’est produit dans la province insulaire toute proche de Nouvelle-Irlande.
Le chef-lieu de la Nouvelle-Bretagne, la ville de Rabaul, est notoirement flanquée de deux volcans en activité épisodique, le Vulcain et le Tavurvur.
Le plus important réveil de ces deux cônes, en 1994, avait quasi-totalement enseveli la ville sous une épaisse couche de cendres et de pluies acides.
D’autres regains d’activité avaient eu lieu plus récemment, en mars 2008, en septembre 2008, puis en janvier 2009, avec là aussi à la clé une épaisse couche de cendres volcaniques sur la ville et de forte perturbations au trafic aérien de toute la zone ainsi que des complications respiratoires pour les personnes prédisposées.
L’épicentre a été localisé tout près de la côte, à 75 kilomètres au Sud-sud-est de la ville de Kimbé (centre de la côte Sud de l’île), soit 520 kilomètres au Nord-est de la capitale Port-Moresby, rapporte l’institut géophysique américain USGS, basé à Denver (Colorado).
Ces deux secousses principales ont été suivies de deux répliques de magnitude 4,9, intervenues à 14h01 et 17h41 GMT.
Aucun dégât, ni blessé n’a été immédiatement signalé.
Le centre régional d’alerte au tsunami pour le Pacifique (Pacific Tsunami Warning Centre, PTWC, basé à Pearl Harbour, Hawaii) a émis trois bulletins à titre informatif, dans lesquels il est précisé qu’aucun tsunami d’ampleur régionale n’était à redouter, mais que les mesures prises à proximité du séisme indiquaient une hausse du niveau de la mer pouvant signifier que localement, un tsunami aurait pu être généré avec un potentiel destructeur.
Le PTWC, comme à son habitude, rappelle aussi par précaution que « des séismes de cette magnitude peuvent parfois générer des tsunamis localisés qui peuvent se révéler destructeurs le long des côtes situées dans un périmètres de cent kilomètres autour de l’épicentre. Les autorités de la région doivent donc être conscientes de cette éventualité et prendre les mesures appropriées ».
Une brève alerte a rapidement été levée en Indonésie voisine.
Le 24 juin 2010, dans la même région, un séisme de magnitude 6,1 frappait également l’île de Nouvelle-Bretagne, là aussi la partie centrale de l’île où se trouvent aussi plusieurs volcans en activité.
Aucun dégât, ni blessé n’a été immédiatement signalé.
Aucune alerte au tsunami n’a été déclenchée.
Le 2 juin 2010, dans la même région, un autre séisme important, de magnitude 6,2, frappait la partie occidentale de l’île de Nouvelle-Bretagne.
Dans la même zone, le 21 mars 2010, un puissant séisme de magnitude 6,6 s’est produit dans la province insulaire toute proche de Nouvelle-Irlande.
Le chef-lieu de la Nouvelle-Bretagne, la ville de Rabaul, est notoirement flanquée de deux volcans en activité épisodique, le Vulcain et le Tavurvur.
Le plus important réveil de ces deux cônes, en 1994, avait quasi-totalement enseveli la ville sous une épaisse couche de cendres et de pluies acides.
D’autres regains d’activité avaient eu lieu plus récemment, en mars 2008, en septembre 2008, puis en janvier 2009, avec là aussi à la clé une épaisse couche de cendres volcaniques sur la ville et de forte perturbations au trafic aérien de toute la zone ainsi que des complications respiratoires pour les personnes prédisposées.