NOUMEA, 8 décembre 2010 (AFP) - Deux Français de Nouvelle-Calédonie veulent parcourir en ULM les 22.000 kilomètres qui séparent Paris de Nouméa, sur les traces d'aviateurs du siècle dernier, ont-ils indiqué à l'AFP.
"C'est la passion de l'aventure, de l'aviation et des rencontres avec des gens différents, qui nous motivent", a déclaré à l'AFP, Marc Perdu.
Ce gynécologue-obstétricien de 46 ans est un pilote chevronné d'avion et d'hélicoptère, qui a pris goût à l'ivresse des altitudes à 17 ans, à bord d'un planeur.
Plus novice, son coéquipier, Christian Tiriault, promoteur immobilier, a découvert l'ULM il y a juste six ans.
Les deux hommes ont déjà à leur actif un tour de Nouvelle-Calédonie, deux tours de France et un tour d'Europe en ULM, à bord de leur Dynamic WT9, baptisé "Spirit of Noumea" et capable de voler à 240 km/h.
Mi-septembre 2011, ils quitteront l'aéroport du Bourget pour un périple de 22.000 km, avec un appareil actuellement en construction en Slovaquie, disposant d'une autonomie de 1.500 km et équipé d'un parachute.
"Notre ULM possède toutes les dernières technologies en terme de sécurité dont un transpondeur, un pilote automatique, un GPS, une balise de détresse et un téléphone satellite. Nous voulons partir sereins", a indiqué Marc Perdu, qui prévoit de boucler ce raid aérien en deux mois.
Leur itinéraire sera une succession de sauts de puces d'environ 800 km à travers l'Europe méditerranéenne, puis le Moyen-Orient, l'Asie et l'Australie.
Le dernier tronçon, entre Bundaberg, dans l'Etat australien du Queensland, et l'aéroport international de Nouvelle-Calédonie, sera le plus long, avec quelques 1.500 km.
L'objectif de cette aventure est de raviver le souvenir de deux vols inauguraux.
Le premier remonte à 1932, celui de Max Devé, capitaine d'aviation, Charles de Verneilh et Emile Munch, entre Paris et Nouméa, à bord du "Biarritz", un trimoteur de tourisme en bois et en toile.
Le second à mai 1939, lorsque Henri Martinet et son coéquipier Paul Klein accomplissaient la première liaison aérienne entre Nouméa et Paris, à bord d'un monomoteur Aiglon.
cw/rh/ed
"C'est la passion de l'aventure, de l'aviation et des rencontres avec des gens différents, qui nous motivent", a déclaré à l'AFP, Marc Perdu.
Ce gynécologue-obstétricien de 46 ans est un pilote chevronné d'avion et d'hélicoptère, qui a pris goût à l'ivresse des altitudes à 17 ans, à bord d'un planeur.
Plus novice, son coéquipier, Christian Tiriault, promoteur immobilier, a découvert l'ULM il y a juste six ans.
Les deux hommes ont déjà à leur actif un tour de Nouvelle-Calédonie, deux tours de France et un tour d'Europe en ULM, à bord de leur Dynamic WT9, baptisé "Spirit of Noumea" et capable de voler à 240 km/h.
Mi-septembre 2011, ils quitteront l'aéroport du Bourget pour un périple de 22.000 km, avec un appareil actuellement en construction en Slovaquie, disposant d'une autonomie de 1.500 km et équipé d'un parachute.
"Notre ULM possède toutes les dernières technologies en terme de sécurité dont un transpondeur, un pilote automatique, un GPS, une balise de détresse et un téléphone satellite. Nous voulons partir sereins", a indiqué Marc Perdu, qui prévoit de boucler ce raid aérien en deux mois.
Leur itinéraire sera une succession de sauts de puces d'environ 800 km à travers l'Europe méditerranéenne, puis le Moyen-Orient, l'Asie et l'Australie.
Le dernier tronçon, entre Bundaberg, dans l'Etat australien du Queensland, et l'aéroport international de Nouvelle-Calédonie, sera le plus long, avec quelques 1.500 km.
L'objectif de cette aventure est de raviver le souvenir de deux vols inauguraux.
Le premier remonte à 1932, celui de Max Devé, capitaine d'aviation, Charles de Verneilh et Emile Munch, entre Paris et Nouméa, à bord du "Biarritz", un trimoteur de tourisme en bois et en toile.
Le second à mai 1939, lorsque Henri Martinet et son coéquipier Paul Klein accomplissaient la première liaison aérienne entre Nouméa et Paris, à bord d'un monomoteur Aiglon.
cw/rh/ed
mai 1939, lorsque Henri Martinet et son coéquipier Paul Klein