L’agriculture biologique est une des priorités du ministre de l’économie rurale en charge de l’agriculture Frédéric Riveta.
Afin de tendre vers une agriculture plus saine, un nouveau procédé a été mis en place, celui du vermicompost ou lombricompost. L’« eisenia fetida » et le « perionyx excavatus» sont deux types de vers qui participent grandement à la fertilisation des sols.
Ils se nourrissent de matières organiques comme les déchets alimentaires ou les déjections animales. Leurs propres déjections s'accumulent et constituent le lombricompost ou vermicompost de la consistance d'un terreau et sans odeur : C’est le meilleur engrais naturel au monde.
Ces vers proviennent de la Nouvelle Zélande et n’existent pas en Polynésie Française. Ce sont des vers présents dans tous les pays du pacifique et sont les plus utilisés pour le vermicompost dans le monde.
Suite à la mise en place d’un protocole d’étude par le ministère de l’économie rurale et le ministère de l’environnement afin d’analyser l’impact des vers importés sur notre environnement, nous avons pu conclure que la présence de ces vers n’a influé ni sur la survie ni sur la reproduction des vers locaux.
Demain, ce ne sont pas moins de 100 kilos de vers qui arriveront au fenua et qui serviront d’une part à la création d’un vermicompost de grande taille mais également à la vente au particulier.
Afin de tendre vers une agriculture plus saine, un nouveau procédé a été mis en place, celui du vermicompost ou lombricompost. L’« eisenia fetida » et le « perionyx excavatus» sont deux types de vers qui participent grandement à la fertilisation des sols.
Ils se nourrissent de matières organiques comme les déchets alimentaires ou les déjections animales. Leurs propres déjections s'accumulent et constituent le lombricompost ou vermicompost de la consistance d'un terreau et sans odeur : C’est le meilleur engrais naturel au monde.
Ces vers proviennent de la Nouvelle Zélande et n’existent pas en Polynésie Française. Ce sont des vers présents dans tous les pays du pacifique et sont les plus utilisés pour le vermicompost dans le monde.
Suite à la mise en place d’un protocole d’étude par le ministère de l’économie rurale et le ministère de l’environnement afin d’analyser l’impact des vers importés sur notre environnement, nous avons pu conclure que la présence de ces vers n’a influé ni sur la survie ni sur la reproduction des vers locaux.
Demain, ce ne sont pas moins de 100 kilos de vers qui arriveront au fenua et qui serviront d’une part à la création d’un vermicompost de grande taille mais également à la vente au particulier.
