WELLINGTON, jeudi 3 mars 2011 (Flash d'Océanie) – Le dernier bilan annoncé jeudi des victimes du séisme qui a frappé la ville néo-zélandaise de Christchurch (côte Centre-est de l’île du Sud) le 22 février 2011 fait état de 160 morts, sur fonds d’intensification des efforts des secours.
Les équipes néo-zélandaises de la sécurité civile, ainsi que de l’armée, épaulés par plus d’un milliers de personnes venues d’Australie, du Royaume-Uni, du Japon, de Chine, de Corée du Sud, de Taïwan, de Singapour ou de Malaisie, poursuivaient leur efforts en vu de tenter de récupérer des survivants, mais sans grand espoir que une bonne cinquantaine de personnes toujours portées disparues.
Le bilan final pourrait atteindre les deux cent quarante victimes.
Les espoirs de retrouver des survivants s’est constamment amenuisé, au fil des jours.
La coordination des opérations de secours insiste néanmoins toujours sur le fait que les opérations en cours sont encore considérées comme des opérations de sauvetage et non pas de récupération pure et simple des corps.
Depuis le séisme du 22 février 2011, près de soixante dix mille habitants de Christchurch ont quitté la ville, a souligné pour sa part le maire Bob Parker.
Coupe du Monde : maintenir les matches à Christchurch
Entre-temps, le Premier ministre néo-zélandais John Key, mercredi, s’est fait l’avocat du maintien des matches prévus pour être joués à Christchurch lors de la prochaine Coupe du Monde IRB de rugby, prévue pour avoir lieu en Nouvelle-Zélande en septembre 2011.
Face à une capacité d’accueil désormais sérieusement entamée des établissements hôteliers de Christchurch, M. Key a notamment évoqué une option, à fouiller : celle d’avoir recours à un appui en chambre « flottantes », dans des paquebots de luxe amenés pour l’occasion.
« En tout cas, ce serait une formidable démonstration que Christchurch est à nouveau sur pied », a-t-il déclaré à la presse locale.
Dans le programme de cette compétition mondiale, Christchurch devait accueillir plusieurs matches du tournoi, y compris deux des quarts de finale.
Mais le stade de Christchurch a aussi souffert du séisme, à commencer par sa pelouse et ses infrastructures.
Il demeure fermé au public et tous les matches de la ligue nationale ont dû, depuis le 22 février, être déplacés dans des villes voisines.
pad
Les équipes néo-zélandaises de la sécurité civile, ainsi que de l’armée, épaulés par plus d’un milliers de personnes venues d’Australie, du Royaume-Uni, du Japon, de Chine, de Corée du Sud, de Taïwan, de Singapour ou de Malaisie, poursuivaient leur efforts en vu de tenter de récupérer des survivants, mais sans grand espoir que une bonne cinquantaine de personnes toujours portées disparues.
Le bilan final pourrait atteindre les deux cent quarante victimes.
Les espoirs de retrouver des survivants s’est constamment amenuisé, au fil des jours.
La coordination des opérations de secours insiste néanmoins toujours sur le fait que les opérations en cours sont encore considérées comme des opérations de sauvetage et non pas de récupération pure et simple des corps.
Depuis le séisme du 22 février 2011, près de soixante dix mille habitants de Christchurch ont quitté la ville, a souligné pour sa part le maire Bob Parker.
Coupe du Monde : maintenir les matches à Christchurch
Entre-temps, le Premier ministre néo-zélandais John Key, mercredi, s’est fait l’avocat du maintien des matches prévus pour être joués à Christchurch lors de la prochaine Coupe du Monde IRB de rugby, prévue pour avoir lieu en Nouvelle-Zélande en septembre 2011.
Face à une capacité d’accueil désormais sérieusement entamée des établissements hôteliers de Christchurch, M. Key a notamment évoqué une option, à fouiller : celle d’avoir recours à un appui en chambre « flottantes », dans des paquebots de luxe amenés pour l’occasion.
« En tout cas, ce serait une formidable démonstration que Christchurch est à nouveau sur pied », a-t-il déclaré à la presse locale.
Dans le programme de cette compétition mondiale, Christchurch devait accueillir plusieurs matches du tournoi, y compris deux des quarts de finale.
Mais le stade de Christchurch a aussi souffert du séisme, à commencer par sa pelouse et ses infrastructures.
Il demeure fermé au public et tous les matches de la ligue nationale ont dû, depuis le 22 février, être déplacés dans des villes voisines.
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