PAPEETE, le 13 juin 2015 - La gendarmerie a annoncé hier soir que 31 armes à feu (fusils et pistolets) et 750 munitions avaient été déposées ce dernier mois dans les gendarmeries de Polynésie et à la DSP, dans le cadre de l'opération "Déposez les armes". Elle a débuté le 7 mai.
Si ces armes, étaient détenues illégalement, lors d'un contrôle leurs propriétaires auraient été passibles de 3 ans de prison et 5,4 millions de francs pacifiques d’amende selon l'article L317-4 du Code de la Sécurité Intérieure. Mais grâce à cette campagne, ils ne risquent plus rien.
Les forces de l'ordre renouvellent donc leur appel aux possesseurs d'armes, légalement ou non. Ceux qui le souhaitent peuvent abandonner la propriété de ces armes au profit de l'Etat en les déposant à la gendarmerie la plus proche ou à la DSP de Papeete. "Les personnes détenant des armes sans autorisation sont également invitées à les déposer dans les mêmes conditions , en contrepartie aucune poursuite judiciaire ne sera engagée par le Procureur de la République" rappelle la gendarmerie. Mais l'amnistie ne court que jusqu'au 1er septembre.
Toutes les catégories d'armes sont concernées (elles sont passé de 8 à 4 cette année), de la catégorie A (arme et matériel de guerre) à la catégorie D (en détention libre ou simplement soumises à enregistrement : lames, armes neutralisées, armes historiques et de collections, armes de tir à blanc...)
En Polynésie française, quelques 1500 armes enregistrées sont actuellement recensées pour 1000 détenteurs identifiés. Mais en zone Gendarmerie, depuis 5 ans, environ 15 infractions relatives à des détentions illégales sont relevées chaque année.
Si ces armes, étaient détenues illégalement, lors d'un contrôle leurs propriétaires auraient été passibles de 3 ans de prison et 5,4 millions de francs pacifiques d’amende selon l'article L317-4 du Code de la Sécurité Intérieure. Mais grâce à cette campagne, ils ne risquent plus rien.
Les forces de l'ordre renouvellent donc leur appel aux possesseurs d'armes, légalement ou non. Ceux qui le souhaitent peuvent abandonner la propriété de ces armes au profit de l'Etat en les déposant à la gendarmerie la plus proche ou à la DSP de Papeete. "Les personnes détenant des armes sans autorisation sont également invitées à les déposer dans les mêmes conditions , en contrepartie aucune poursuite judiciaire ne sera engagée par le Procureur de la République" rappelle la gendarmerie. Mais l'amnistie ne court que jusqu'au 1er septembre.
Toutes les catégories d'armes sont concernées (elles sont passé de 8 à 4 cette année), de la catégorie A (arme et matériel de guerre) à la catégorie D (en détention libre ou simplement soumises à enregistrement : lames, armes neutralisées, armes historiques et de collections, armes de tir à blanc...)
En Polynésie française, quelques 1500 armes enregistrées sont actuellement recensées pour 1000 détenteurs identifiés. Mais en zone Gendarmerie, depuis 5 ans, environ 15 infractions relatives à des détentions illégales sont relevées chaque année.