PAPEETE, 17 février 2016 - Mercredi aura été une journée marathon de négociations entre les syndicats et la direction du groupe La Dépêche de Tahiti.
A 17 heures, mercredi soir, le service de la comptabilité du groupe, les employés de l’imprimerie et les journalistes du pôle magazine annonçaient qu’ils entreraient probablement en grève, tandis que la centrale CSIP avait quitté la table des négociations depuis la mi-journée, pour semble-t-il organiser le blocage des imprimeries du groupe.
Par solidarité, une partie de l’équipe des journalistes pourraient également observer une journée de grève, jeudi, bien que selon les informations que nous avons pu recueillir, la direction ait assoupli sa position sur les points de revendication, au cours de la journée de mercredi.
Cinq centrales syndicales A Ti'a i Mua, CSIP, CSTP-FO, Otahi et O Oe to oe rima, ont déposé des préavis de grève en fin de semaine dernière dans sept sociétés du groupe aujourd’hui détenu par l’homme d’affaires Dominique Auroy. Cyril Le Gayic, directeur général des services de la CSIP, précisait ce lundi qu'il y a des revendications communes, notamment le rétablissement de l'unité économique et sociale La Dépêche de Tahiti et le paiement des dotations au comité d'entreprise et d'autres spécifiques selon les sociétés. Pour les journalistes, il est notamment demandé le maintien "des acquis, suite à l'accord d'entreprise de 2003".
A 17 heures, mercredi soir, le service de la comptabilité du groupe, les employés de l’imprimerie et les journalistes du pôle magazine annonçaient qu’ils entreraient probablement en grève, tandis que la centrale CSIP avait quitté la table des négociations depuis la mi-journée, pour semble-t-il organiser le blocage des imprimeries du groupe.
Par solidarité, une partie de l’équipe des journalistes pourraient également observer une journée de grève, jeudi, bien que selon les informations que nous avons pu recueillir, la direction ait assoupli sa position sur les points de revendication, au cours de la journée de mercredi.
Cinq centrales syndicales A Ti'a i Mua, CSIP, CSTP-FO, Otahi et O Oe to oe rima, ont déposé des préavis de grève en fin de semaine dernière dans sept sociétés du groupe aujourd’hui détenu par l’homme d’affaires Dominique Auroy. Cyril Le Gayic, directeur général des services de la CSIP, précisait ce lundi qu'il y a des revendications communes, notamment le rétablissement de l'unité économique et sociale La Dépêche de Tahiti et le paiement des dotations au comité d'entreprise et d'autres spécifiques selon les sociétés. Pour les journalistes, il est notamment demandé le maintien "des acquis, suite à l'accord d'entreprise de 2003".