PAPEETE, le 25 mars 2015. Une autopsie a eu lieu ce mercredi matin pour déterminer les causes de la mort du militaire tahitien retrouvé mort lundi à Papeete. Le médecin légiste, accompagné d'un chirurgien militaire, a mis en avant que la « cause la plus probable serait une crise de paludisme aiguë » a-t-on appris auprès du parquet.
Pour lever le doute de manière définitive, des prélèvements ont été envoyés à un laboratoire métropolitain. Le corps a été remis à la famille après l'autopsie.
Ce n'est pas le premier cas d'un militaire polynésien mort du paludisme. Le 5 novembre dernier, le soldat tahitien, Moana Heiarii, 26 ans, originaire de Huahine, était décédé à Paris d'une forme grave de paludisme. Lui aussi était intervenu en Centrafrique. « Tous les militaires suivent un traitement antipaludique obligatoire et quotidien lorsqu’ils se trouvent dans une zone concernée par la maladie », expliquait alors le Comsup. « Néanmoins, la forme contractée par le jeune homme étant rare et particulièrement active, les traitements actuels n’ont pas permis de le sauver. »
Il n'y a aucun risque que le paludisme se propage en Polynésie. Le paludisme, causé par des parasites, est principalement transmis d’homme à homme par le biais d’une piqûre d’un moustique, l’anophèle femelle. Ce type de moustique n'existe pas en Polynésie.
Le paludisme touche près de 200 millions de personnes chaque année et tue environ un demi-million d'individus, principalement des enfants en Afrique, selon les estimations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Il n'existe pas de vaccin contre le paludisme. Mais des médicaments peuvent être pris pour se protéger par les personnes qui vont dans un pays où le paludisme est très présent.
Pour lever le doute de manière définitive, des prélèvements ont été envoyés à un laboratoire métropolitain. Le corps a été remis à la famille après l'autopsie.
Ce n'est pas le premier cas d'un militaire polynésien mort du paludisme. Le 5 novembre dernier, le soldat tahitien, Moana Heiarii, 26 ans, originaire de Huahine, était décédé à Paris d'une forme grave de paludisme. Lui aussi était intervenu en Centrafrique. « Tous les militaires suivent un traitement antipaludique obligatoire et quotidien lorsqu’ils se trouvent dans une zone concernée par la maladie », expliquait alors le Comsup. « Néanmoins, la forme contractée par le jeune homme étant rare et particulièrement active, les traitements actuels n’ont pas permis de le sauver. »
Il n'y a aucun risque que le paludisme se propage en Polynésie. Le paludisme, causé par des parasites, est principalement transmis d’homme à homme par le biais d’une piqûre d’un moustique, l’anophèle femelle. Ce type de moustique n'existe pas en Polynésie.
Le paludisme touche près de 200 millions de personnes chaque année et tue environ un demi-million d'individus, principalement des enfants en Afrique, selon les estimations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Il n'existe pas de vaccin contre le paludisme. Mais des médicaments peuvent être pris pour se protéger par les personnes qui vont dans un pays où le paludisme est très présent.