C’est avec tristesse que le Président Gaston FLOSSE a appris la nouvelle du décès de Jean Charles BOULOC qu’il considérait comme un ami, et qui est l’un des derniers grands peintres de Tahiti. Né le 25 novembre 1930, il avait 83 ans.
Arrivé en Polynésie française en 1962, Jean Charles BOULOC décida d’y poser ses valises, inspiré par la beauté de notre Pays, après de multiples voyages de par le monde et des études à l’école des Beaux Arts de Paris qui confirmèrent son talent et sa vocation. Il est surtout connu pour ses oeuvres d’une grande finesse consacrées aux fillettes qu’il peint avec de grands yeux en amandes et des traits parfaits, presqu’irréels, dans des tonalités pastels, avec un souci extraordinaire du détails qui fait sa signature. Sa notoriété a dépassé les frontières de la Polynésie française, et il aura contribué à faire rayonner notre Pays en lui donnant le visage doux et heureux de nos enfants.
Jean Charles BOULOC a participé à la création de ce qui restera « l’école de Tahiti », réunissant des peintres comme Fay, Heymann, Ravello, Juventin, Masson et Gouwe. Par leurs talents, ils ont tous contribués au rayonnement de la Polynésie française, entretenant le mythe de Tahiti, terre privilégiée des peintres, depuis que Gauguin et Matisse, notamment, y posèrent leurs chevalets. Jean Charles BOULOC laisse une oeuvre immense derrière lui et le souvenir d’un homme exigeant et discret qui était profondément attaché à sa terre d’accueil qu’il a faite sienne, et aux Polynésiens auxquels il rendait hommage dans sa peinture. Il avait fondé avec son épouse Marguerite une boutique d’antiquités orientales et asiatiques située sur le front de mer de Papeete, dans laquelle le Président Gaston FLOSSE aimait se rendre pour le rencontrer et partager avec lui cette passion des beaux objets, que Jean Charles BOULOC nourrissait aux côtés de la peinture et qui lui donnait matière à voyager et à raconter.
A son épouse Marguerite, née LIU, à leurs deux enfants, Stéphane et Dewi, à leur petit fils Okahi, à sa famille et à ses amis, le Président Gaston FLOSSE adresse ses condoléances attristées. Depuis vendredi 7 mars 2014 au matin, Jean Charles BOULOC repose au cimetière de la Pointe des Pêcheurs à Punaauia où il a été inhumé dans l’intimité de sa famille.
Communiqué de la Présidence
Arrivé en Polynésie française en 1962, Jean Charles BOULOC décida d’y poser ses valises, inspiré par la beauté de notre Pays, après de multiples voyages de par le monde et des études à l’école des Beaux Arts de Paris qui confirmèrent son talent et sa vocation. Il est surtout connu pour ses oeuvres d’une grande finesse consacrées aux fillettes qu’il peint avec de grands yeux en amandes et des traits parfaits, presqu’irréels, dans des tonalités pastels, avec un souci extraordinaire du détails qui fait sa signature. Sa notoriété a dépassé les frontières de la Polynésie française, et il aura contribué à faire rayonner notre Pays en lui donnant le visage doux et heureux de nos enfants.
Jean Charles BOULOC a participé à la création de ce qui restera « l’école de Tahiti », réunissant des peintres comme Fay, Heymann, Ravello, Juventin, Masson et Gouwe. Par leurs talents, ils ont tous contribués au rayonnement de la Polynésie française, entretenant le mythe de Tahiti, terre privilégiée des peintres, depuis que Gauguin et Matisse, notamment, y posèrent leurs chevalets. Jean Charles BOULOC laisse une oeuvre immense derrière lui et le souvenir d’un homme exigeant et discret qui était profondément attaché à sa terre d’accueil qu’il a faite sienne, et aux Polynésiens auxquels il rendait hommage dans sa peinture. Il avait fondé avec son épouse Marguerite une boutique d’antiquités orientales et asiatiques située sur le front de mer de Papeete, dans laquelle le Président Gaston FLOSSE aimait se rendre pour le rencontrer et partager avec lui cette passion des beaux objets, que Jean Charles BOULOC nourrissait aux côtés de la peinture et qui lui donnait matière à voyager et à raconter.
A son épouse Marguerite, née LIU, à leurs deux enfants, Stéphane et Dewi, à leur petit fils Okahi, à sa famille et à ses amis, le Président Gaston FLOSSE adresse ses condoléances attristées. Depuis vendredi 7 mars 2014 au matin, Jean Charles BOULOC repose au cimetière de la Pointe des Pêcheurs à Punaauia où il a été inhumé dans l’intimité de sa famille.
Communiqué de la Présidence