Varsovie, Pologne | AFP | jeudi 17/09/2015 - Deux jeunes Français qui se proposent de relier à vélo la France à la Nouvelle-Zélande en récoltant des fonds pour offrir de l'eau potable aux écoliers népalais ont traversé jeudi Varsovie en route pour le Bélarus.
Théo Rohfritsch, 24 ans, et Simon Valdenaire, 25 ans, tous deux diplômés de management, sportifs mais pas cyclistes, ont quitté Toulouse le 27 juillet dernier sur leurs vélos de bambou et d'aluminium, et ont parcouru jusqu'à présent un peu plus de 3000 km à travers l'Italie, la Slovénie, l'Autriche et la Slovaquie.
"Nous faisons en moyenne 80 km par jour", dit Théo, "cela nous laisse le temps pour partager avec les gens". Car leur périple vise non seulement à réunir des fonds, mais aussi à contacter les organisations intéressées pour les sensibiliser à la cause de l'eau dans sa dimension mondiale, liée aux changements climatiques.
Ainsi, des rendez-vous sont déjà pris en Inde et en Thaïlande, avant qu'ils prennent l'avion à Singapour pour l'Australie, puis pour la Nouvelle-Zélande où ils comptent arriver fin juillet/début août 2017.
L'opération, baptisée "Cycle for water" ( www.cycleforwater.com), est financée par KPGM, un réseau international de services d'audit et de conseils fiscaux. Du coup, dans la plupart des 21 pays traversés, ils peuvent compter sur le soutien de ses bureaux, ont-ils expliqué lors d'une rencontre à l'ambassade de France à Varsovie.
Ils n'ont rencontré pour le moment que de l'intérêt et du soutien de la part des gens qu'ils ont croisé. Seul moment difficile: la traversée des Tatras, une chaîne de hautes montagnes entre la Slovaquie et la Pologne. Avec leurs sacs et leurs remorques, chacun transporte environ 70 kilos d'équipements.
Théo Rohfritsch, 24 ans, et Simon Valdenaire, 25 ans, tous deux diplômés de management, sportifs mais pas cyclistes, ont quitté Toulouse le 27 juillet dernier sur leurs vélos de bambou et d'aluminium, et ont parcouru jusqu'à présent un peu plus de 3000 km à travers l'Italie, la Slovénie, l'Autriche et la Slovaquie.
"Nous faisons en moyenne 80 km par jour", dit Théo, "cela nous laisse le temps pour partager avec les gens". Car leur périple vise non seulement à réunir des fonds, mais aussi à contacter les organisations intéressées pour les sensibiliser à la cause de l'eau dans sa dimension mondiale, liée aux changements climatiques.
Ainsi, des rendez-vous sont déjà pris en Inde et en Thaïlande, avant qu'ils prennent l'avion à Singapour pour l'Australie, puis pour la Nouvelle-Zélande où ils comptent arriver fin juillet/début août 2017.
L'opération, baptisée "Cycle for water" ( www.cycleforwater.com), est financée par KPGM, un réseau international de services d'audit et de conseils fiscaux. Du coup, dans la plupart des 21 pays traversés, ils peuvent compter sur le soutien de ses bureaux, ont-ils expliqué lors d'une rencontre à l'ambassade de France à Varsovie.
Ils n'ont rencontré pour le moment que de l'intérêt et du soutien de la part des gens qu'ils ont croisé. Seul moment difficile: la traversée des Tatras, une chaîne de hautes montagnes entre la Slovaquie et la Pologne. Avec leurs sacs et leurs remorques, chacun transporte environ 70 kilos d'équipements.