Pour cette reprise, la guitare classique, le piano et le chant lyrique étaient à l'honneur.
La jeune et jolie élève en piano de Fabienne Boutin, Miki Lamblin, a interprêté avec rythme et détermination la célèbre pièce de Scott Joplin, "The Entertainer", un sommet du Rag Time. Ses mains, déjà pleines d'assurance, n'ont pas tremblé. Peu avant, le bal avait été ouvert par un élève en guitare classique de Didier Michaud, Tunui Conroy, également très studieux, qui a interprété "Le Dragon de Papier".
La surprise est en fait venue des élèves de la classe d'art lyrique d'Emmanuelle Vidal et notamment des élèves débutants, qui ont interprété en groupe, avec brio, une série de "Panofkas". Ce sont de magnifiques vocalises pour toutes les voix - sans doute parmi les plus chantées au monde - composées par Heinrich Panofka, violoniste prodige, collaborateur de Robert Schumann et, bien évidemment, compositeur (1807/1887).
Deux chanteuses plus confirmées, Marie-Odile Dantin et Florence Guerchet, ont interprété à leur tour "l'hôtesse arabe", une mélodie de Bizet sur un texte de VIctor Hugo et le célèbre mais difficile "Domine Deus Gloria", de Vivaldi.
La jeune et jolie élève en piano de Fabienne Boutin, Miki Lamblin, a interprêté avec rythme et détermination la célèbre pièce de Scott Joplin, "The Entertainer", un sommet du Rag Time. Ses mains, déjà pleines d'assurance, n'ont pas tremblé. Peu avant, le bal avait été ouvert par un élève en guitare classique de Didier Michaud, Tunui Conroy, également très studieux, qui a interprété "Le Dragon de Papier".
La surprise est en fait venue des élèves de la classe d'art lyrique d'Emmanuelle Vidal et notamment des élèves débutants, qui ont interprété en groupe, avec brio, une série de "Panofkas". Ce sont de magnifiques vocalises pour toutes les voix - sans doute parmi les plus chantées au monde - composées par Heinrich Panofka, violoniste prodige, collaborateur de Robert Schumann et, bien évidemment, compositeur (1807/1887).
Deux chanteuses plus confirmées, Marie-Odile Dantin et Florence Guerchet, ont interprété à leur tour "l'hôtesse arabe", une mélodie de Bizet sur un texte de VIctor Hugo et le célèbre mais difficile "Domine Deus Gloria", de Vivaldi.