Sa voix de baryton et son look à la Mike Brant ont permis à Gabilou de pénétrer dans le showbusiness parisien dans les années 1970.
PAPEETE, le 24 avril 2015. Le documentaire Humanahum, l'histoire de John Gabilou, sera diffusé ce lundi à 19 h 35 sur Polynésie 1ère. Un portrait intimiste de 52 minutes.
On connaît tous quelques paroles des chansons de Gabilou. Mais combien d'entre nous connaissent véritablement son parcours ? De ses débats avec les Barefoot boys à sa 3e place à l'Eurovision en 1981, devant 400 millions de téléspectateurs, en passant par ses rencontre avec Charles Aznavour et Claude François, il a marqué les esprits.
Gabilou a accepté de se confier sous l'objectif de la caméra de Philippe Sintes. Le documentariste l'a suivi pendant plusieurs mois entre Tahiti, Nouméa et la métropole pour la préparation de son dernier grand spectacle mais aussi sur les traces de son passé.
La carrière de Gabilou a commencé en 1963. Le jeune Gabriel Lewis Laughlin vient d'obtenir avec succès son brevet. Pour fêter son diplôme, il part retrouver sa bande de copains à l'hôtel Matavai. Un ami, robert Raoul, lui demande alors de chanter une mélodie. Il interprète deux valses et un chant religieux intitulé « When the saints go marching in » en version rock. Le soir-même, il décroche son premier contrat à 60 Fcfp de l'heure et décide de se lancer dans la chanson.
Deux ans plus tard, il intégrera les mythiques Barefoot Boys.
Par la suite, sa carrière lui permettra de rencontrer de nombreuses célébrités, pari lesquelles Charles Aznavour, Herbert Léonard, Carlos, Hervé Villard, Johnny Halliday, Jacques Dutronc… Il y aura aussi l'aventure Eurovision.
Dans ce documentaire, des proches de Gabilou dévoilent également les facettes plus personnelles de l'artiste. Gabilou est aussi un homme tendre, généreux et surtout courageux. Celui-ci revient ainsi sur l'épisode de 1995. Après une manipulation cette année-là chez un ostéopathe, Gabilou perd sa voix pendant plusieurs mois. Il ne retrouve toute ses capacités qu'après de longues semaines de rééducation. Une voix qui lui a permis d'écrire de nombreux tubes.
On connaît tous quelques paroles des chansons de Gabilou. Mais combien d'entre nous connaissent véritablement son parcours ? De ses débats avec les Barefoot boys à sa 3e place à l'Eurovision en 1981, devant 400 millions de téléspectateurs, en passant par ses rencontre avec Charles Aznavour et Claude François, il a marqué les esprits.
Gabilou a accepté de se confier sous l'objectif de la caméra de Philippe Sintes. Le documentariste l'a suivi pendant plusieurs mois entre Tahiti, Nouméa et la métropole pour la préparation de son dernier grand spectacle mais aussi sur les traces de son passé.
La carrière de Gabilou a commencé en 1963. Le jeune Gabriel Lewis Laughlin vient d'obtenir avec succès son brevet. Pour fêter son diplôme, il part retrouver sa bande de copains à l'hôtel Matavai. Un ami, robert Raoul, lui demande alors de chanter une mélodie. Il interprète deux valses et un chant religieux intitulé « When the saints go marching in » en version rock. Le soir-même, il décroche son premier contrat à 60 Fcfp de l'heure et décide de se lancer dans la chanson.
Deux ans plus tard, il intégrera les mythiques Barefoot Boys.
Par la suite, sa carrière lui permettra de rencontrer de nombreuses célébrités, pari lesquelles Charles Aznavour, Herbert Léonard, Carlos, Hervé Villard, Johnny Halliday, Jacques Dutronc… Il y aura aussi l'aventure Eurovision.
Dans ce documentaire, des proches de Gabilou dévoilent également les facettes plus personnelles de l'artiste. Gabilou est aussi un homme tendre, généreux et surtout courageux. Celui-ci revient ainsi sur l'épisode de 1995. Après une manipulation cette année-là chez un ostéopathe, Gabilou perd sa voix pendant plusieurs mois. Il ne retrouve toute ses capacités qu'après de longues semaines de rééducation. Une voix qui lui a permis d'écrire de nombreux tubes.