La jeunesse et ses défis
Ce lundi 8 novembre, 473 jeunes âgés de 16 à 25 ans ont débattu autour d’ateliers débats et actions mis en place pour le Festival de la jeunesse. « La jeunesse et ses défis » voilà le thème qui a captivé ces jeunes de 8h30 à 10h30. Les jeunes ont été répartis en plusieurs groupes afin de faciliter les échanges..
Après une brève présentation de chacun, c'est autour d'un brainstorming (: remue-ménage) que les jeunes ont été invité à débattre sur le thème de l'identité sous toutes ses formes (identité culturelle, professionnelle, religieuse, ethnique,...).
C'est dans la bonne humeur et dans la convivialité qu’ils ont pu partager leurs points de vue entre eux mais aussi avec les animateurs présents. Ces derniers ont pu apprécier la motivation des participants.
Animer des débats, une expérience enrichissante et épanouissante
Tuterarii Tihoni, à la recherche d’emploi, a été l’un des animateurs qui participait au débat sur l’identité avec 35 jeunes. « Animer les débats est une expérience enrichissante et épanouissante pour moi, j’ai appris des jeunes mais j’ai aussi appris à connaître ma propre identité en débattant avec les festivaliers et le public qui s’est glissé dans la foule. »
Selon lui, le festival doit répondre aux attentes des jeunes, ils peuvent s’exprimer sur ce qu’ils ressentent et ce dans tous les domaines. Le message qui est ressorti de son atelier est que les jeunes veulent s’en sortir ; il est nécessaire de montrer sa motivation et sa détermination.
L’identité c’est ton avenir
Dans l’atelier intitulé « ton identité c’est ton avenir » animé en français et en tahitien par Francis Tahutini, « famille », « culture », « identité géographique » ont été les mots d’ordre pour les jeunes. En effet ce qui a commencé par un cours magistral est très vite devenu véritable échange d’opinion et de vécu. Les langues se sont dénouées et les jeunes se sont exprimés à cœur ouvert.
« Se connaître soi-même, apprendre à connaître les autres, connaître ses ancêtres et la maîtrise de sa langue » ont été les définitions retenues lors de ce débat. L’identité d’une personne se révèle être d’une grande importance pour les jeunes car selon eux « ton identité, ta culture, ta langue, ton nom sont les cadeaux de tes ancêtres »
Rires, sourires et applaudissements dans le stand de Mamie Berthe
Dans le stand de Mamie Berthe, toujours sous le thème de l’identité, ce sont près de 80 jeunes qui étaient réunis pour débattre avec cette grand-mère, membre de l’association sur l’illettrisme, ancienne enseignante et directrice d’école qui est intervenue auprès des jeunes, car pour elles « les jeunes sont l’avenir et je prends plaisir à leur apprendre des choses et les aider du mieux que je peux. Ayant moi-même été jeune j’estime que ce genre d’atelier est important. »
Pour cet atelier, une question a animé le débat : Qui suis-je ?
Pour y répondre les jeunes ont jugé bon de parler de sujets précis tels que la famille, la commune, le quartier, le social, le logement et la spiritualité.
Pour ces jeunes ce qui semble important c’est que les parents et la famille sont les piliers pour la quête de l’identité et des origines. Ils ont rappelé que les administrations, la commune, sont importantes pour l‘accès à cette identité.
Mamie Berthe souhaite quant à elle, que nos jeunes prennent conscience de leur identité et qu’il faut la protéger. « Il est important pour nos jeunes d’apprendre à se respecter, à respecter les règles, à se respecter les uns et les autres pour pouvoir les aider à construire leur propre identité afin de les aider lors de leur insertion dans la vie. »
Après une brève présentation de chacun, c'est autour d'un brainstorming (: remue-ménage) que les jeunes ont été invité à débattre sur le thème de l'identité sous toutes ses formes (identité culturelle, professionnelle, religieuse, ethnique,...).
C'est dans la bonne humeur et dans la convivialité qu’ils ont pu partager leurs points de vue entre eux mais aussi avec les animateurs présents. Ces derniers ont pu apprécier la motivation des participants.
Animer des débats, une expérience enrichissante et épanouissante
Tuterarii Tihoni, à la recherche d’emploi, a été l’un des animateurs qui participait au débat sur l’identité avec 35 jeunes. « Animer les débats est une expérience enrichissante et épanouissante pour moi, j’ai appris des jeunes mais j’ai aussi appris à connaître ma propre identité en débattant avec les festivaliers et le public qui s’est glissé dans la foule. »
Selon lui, le festival doit répondre aux attentes des jeunes, ils peuvent s’exprimer sur ce qu’ils ressentent et ce dans tous les domaines. Le message qui est ressorti de son atelier est que les jeunes veulent s’en sortir ; il est nécessaire de montrer sa motivation et sa détermination.
L’identité c’est ton avenir
Dans l’atelier intitulé « ton identité c’est ton avenir » animé en français et en tahitien par Francis Tahutini, « famille », « culture », « identité géographique » ont été les mots d’ordre pour les jeunes. En effet ce qui a commencé par un cours magistral est très vite devenu véritable échange d’opinion et de vécu. Les langues se sont dénouées et les jeunes se sont exprimés à cœur ouvert.
« Se connaître soi-même, apprendre à connaître les autres, connaître ses ancêtres et la maîtrise de sa langue » ont été les définitions retenues lors de ce débat. L’identité d’une personne se révèle être d’une grande importance pour les jeunes car selon eux « ton identité, ta culture, ta langue, ton nom sont les cadeaux de tes ancêtres »
Rires, sourires et applaudissements dans le stand de Mamie Berthe
Dans le stand de Mamie Berthe, toujours sous le thème de l’identité, ce sont près de 80 jeunes qui étaient réunis pour débattre avec cette grand-mère, membre de l’association sur l’illettrisme, ancienne enseignante et directrice d’école qui est intervenue auprès des jeunes, car pour elles « les jeunes sont l’avenir et je prends plaisir à leur apprendre des choses et les aider du mieux que je peux. Ayant moi-même été jeune j’estime que ce genre d’atelier est important. »
Pour cet atelier, une question a animé le débat : Qui suis-je ?
Pour y répondre les jeunes ont jugé bon de parler de sujets précis tels que la famille, la commune, le quartier, le social, le logement et la spiritualité.
Pour ces jeunes ce qui semble important c’est que les parents et la famille sont les piliers pour la quête de l’identité et des origines. Ils ont rappelé que les administrations, la commune, sont importantes pour l‘accès à cette identité.
Mamie Berthe souhaite quant à elle, que nos jeunes prennent conscience de leur identité et qu’il faut la protéger. « Il est important pour nos jeunes d’apprendre à se respecter, à respecter les règles, à se respecter les uns et les autres pour pouvoir les aider à construire leur propre identité afin de les aider lors de leur insertion dans la vie. »
ATELIER VIVRE SANS DROGUE DE JACQUELINE LIENARD
« Agir, réagir, être aidé » ont été les mots d'ordre de l'Atelier « Vivre sans Drogues » qui a participé activement ce lundi 8 novembre à la prévention contre toutes formes de drogues auxquelles les jeunes sont confrontés.
Jacqueline LIENARD a tenu à faire passer un message fort celui de « faire prendre conscience que dès qu'on a consommé, on ne peut plus s'arrêter, il faut maîtriser sa consommation et il faut connaître le terrain. »
C'est avec engagement que Jacqueline LIENARD animatrice active de son atelier durant le Festival de la Jeunesse a contribué au projet de cohésion sociale qui représente l'un des objectifs fixés par le Festival de la Jeunesse.
Jacqueline s’est exprimée auprès des jeunes et a rappelé que « le déni est la pire des choses puisque in fine la maladie continue et prend l'apparence de la skyzophrénie qui est irréversible. Elle se justifie dans le laps de temps de la consommation. On a un partie de sa vie que l'on a oublié. Notre vie ne nous appartiens plus, elle est comme effacée, oubliée par notre esprit, ce qui est une impression terrible. »
Elle a aussi expliqué que les jeunes consommateurs peuvent avoir des comportements violents envers leur entourage et "provoquer des méfaits malgré eux. « Ils consomment de plus en plus et de plus en plus jeunes ce qui rend obsolète la prévention. La difficulté que l'on rencontre est, de parvenir à sensibiliser ses différentes tranches d'âges. »
En effet, selon Jacqueline LIENARD « les chiffres sont alarmants et aucune structure n'est adapté pour soigner ses jeunes en difficultés. »
Alors le slogan du Festival de la Jeunesse "Stop Chalala Action" s'illustre à travers le projet entreprit par l'association "Vivre sans Drogues" qui est de construire un centre de désintoxication à Hao.
Jacqueline LIENARD a tenu à faire passer un message fort celui de « faire prendre conscience que dès qu'on a consommé, on ne peut plus s'arrêter, il faut maîtriser sa consommation et il faut connaître le terrain. »
C'est avec engagement que Jacqueline LIENARD animatrice active de son atelier durant le Festival de la Jeunesse a contribué au projet de cohésion sociale qui représente l'un des objectifs fixés par le Festival de la Jeunesse.
Jacqueline s’est exprimée auprès des jeunes et a rappelé que « le déni est la pire des choses puisque in fine la maladie continue et prend l'apparence de la skyzophrénie qui est irréversible. Elle se justifie dans le laps de temps de la consommation. On a un partie de sa vie que l'on a oublié. Notre vie ne nous appartiens plus, elle est comme effacée, oubliée par notre esprit, ce qui est une impression terrible. »
Elle a aussi expliqué que les jeunes consommateurs peuvent avoir des comportements violents envers leur entourage et "provoquer des méfaits malgré eux. « Ils consomment de plus en plus et de plus en plus jeunes ce qui rend obsolète la prévention. La difficulté que l'on rencontre est, de parvenir à sensibiliser ses différentes tranches d'âges. »
En effet, selon Jacqueline LIENARD « les chiffres sont alarmants et aucune structure n'est adapté pour soigner ses jeunes en difficultés. »
Alors le slogan du Festival de la Jeunesse "Stop Chalala Action" s'illustre à travers le projet entreprit par l'association "Vivre sans Drogues" qui est de construire un centre de désintoxication à Hao.
AVANT-PREMIÈRE DU FILM LE « SYNDROME DU TITANIC"
Lundi à 20h00, à la salle omnisport de Vairao, leplus de 450 jeunes festivaliers présents ont eu le privilège d'assister en exclusivité au film documentaire de Nicolas Hulot, intitulé "Le syndrome du Titanic" sortie dans le courant de l'année 2009 - 2010. Le renommé défenseur de l'environnement à lui-même réalisé son film en s'inspirant des différents voyages qu'il a effectué dans les quatre coins du monde. “Ce film est une sonnette d'alarme aux êtres humains que nous sommes, en fin de compte tout se résume dans le titre , nous déclare Ludovic Bardoux membre de la fondation Nicolas Hulot; les personnes sur le Titanic continuaient de faire la fête, alors qu'ils fonçaient droit vers un ice berg, là, la planète c'est le Titanic et les gens vont droit dans le mur en agissant de la sorte.”
Avant de diffuser le film, Ludovic a averti les jeunes de sa difficulté, et fut étonné que les 3/4 soient restés, il a aussi sollicité leur participation en leur faisant répondre à un petit quizz sur les thématiques du film, pour se voir repartir avec un tee-shirt.
Cette soirée cinéma n'a pas été prévue par hasard, car le lendemain étaient programmés « le clean up day » et le surlendemain, l'activité "verte" où les festivaliers doivent 50 arbres. « Pas de chalala, action pour la planète ! »
Avant de diffuser le film, Ludovic a averti les jeunes de sa difficulté, et fut étonné que les 3/4 soient restés, il a aussi sollicité leur participation en leur faisant répondre à un petit quizz sur les thématiques du film, pour se voir repartir avec un tee-shirt.
Cette soirée cinéma n'a pas été prévue par hasard, car le lendemain étaient programmés « le clean up day » et le surlendemain, l'activité "verte" où les festivaliers doivent 50 arbres. « Pas de chalala, action pour la planète ! »